Intérêt Regard Extérieur Argumenter

déploie alors. Tout au long de son histoire, l'Église a de façon récurrente condamné le théâtre10. Que deviennent sous la plume des nouveaux accusateurs les arguments traditionnels ? Quelles valeurs assument-ils dans le contexte culturel de l'âge classique ? La condamnation des Pères de l'Église11, on le sait, repose sur deux principaux arguments : le premier s'en prend aux manifestations extérieures des mœurs dissolues des acteurs auxquels étaient reprochées leur vulgarité et leurs attitudes indécentes

certains cas, être assimilés aux positions dominantes. 4.1.1. Les caractéristiques de la position dominante La position dominante peut être analysée à l'aide de différents critères. Ils portent sur les caractéristiques de la position dominante au regard du marché géographique en cause et du marché des produits concernés. Un autre critère doit être ajouté à ces deux premiers. Il concerne la place qu'une entreprise occupe sur un marché. C'est à partir de l'examen de cette place qu'il est possible de

ministère des Finances, ou tout au moins une partie des services de ce ministère. L’État dispose également de services à l'échelon local, services furent appelés jusqu'en 1992 « services extérieurs ». Cette formule est d'ailleurs au passage, remarquons le, significative de cette centralisation française car ce qui est extérieur, c'est ce qui est loin, c'est ce qui est en dehors du cercle où l'on prend les décisions. Depuis 1992, ces services sont appelés plus justement « services déconcentrés ». Ces services

premier temps, la CJCE a estimé que certains intérêts étaient hors champ. Lorsque des intérêts sont hors champ, c’est parce qu’ils ne relèvent pas de l’activité habituelle de leur bénéficiaire. S’ils doivent être hors champ, c’est parce qu’ils sont le fait de l’activité d’un non-assujetti. CJCE 6 février 1997 affaire 80/95. La CJCE a réellement inventé le concept d’ « opérations imposables par contamination » : se situent dans le champ de la TVA, les intérêts perçus dans le cadre d’une activité dans

singularités garderont de l’importance, il faudrait se hasarder à des anticipations bien hardies. Ce qui est certain, c’est que jusqu’ici les possibilités de la femme ont été étouffées et perdues pour l’humanité et qu’il est grand temps dans son intérêt et dans celui de tous qu’on lui laisse enfin courir toutes ses chances. Thomas Jefferson (1743-1826) : président des Etats-Unis, qui a contribué à la rédaction de la Déclaration d’indépendance. 6 Célèbres auteurs contemporains. 7 Lettre à Pierre

de tous Error communis facit jus : l’erreur commune crée le droit Fraus omnia corrumpit : la fraude corrompt tout Infans conceptus pro natu habetur quoties de commodo ejus agitur : l’enfant conçu est tenu pour né chaque fois qu’il y va de son intérêt (matériel) 3 MJ Robert-Lamar, AES L1, cours d’Introduction générale au droit – 2013-2014 Intuitu personae : en considération de la personne Nemo auditur propriam turpitudinem allegans : on n’est pas entendu en justice quand on se prévaut

L’homme est fait pour la société politique dans la mesure même où la nature l’a doté du pouvoir de communiquer des valeurs. Dire cela c’est s’en prendre aux sophistes, pour eux, l’homme n’a pas besoin de la cité pour se réaliser, il n’y vit que par intérêt. Pour Aristote, les sophistes ratent la destination du langage. Les sophistes n’ont pas vu que le langage et la politique sont liés par la nature, ils ont découplé ce que la nature a couplé. L’anthropologie d’Aristote est ANTI-INDIVIDUALISTE.

également les travaux remarquables du Professeur Niangoran Bouah sur les poids à peser l’or qui constituent une mine de recherches potentielles. Il y a les travaux sur le langage tambouriné. Il nous faut dépasser l’aspect folklorique et convertir le regard sur nos réalités pour dégager tout ce qu’on peut découvrir comme idées, comme pensées… Tout un chantier d’études philologiques pour déboucher sur un univers de pensée africaine reste à ouvrir… Ce n’est donc pas en termes de questionnement théorique

commerciaux et l’ouverture des économies C’est la question de savoir s’il vaut mieux préconiser le libre échange ou le protectionnisme. On se demande à quoi ça sert. Est-ce que le libre échange permet aux économies de se développer ? Quand on regarde le commerce international on s’aperçoit qu’il a connu un essor considérable depuis 50 ans. (Document 3 : Les X et I de biens et de service. Depuis els année 80 on s’aperçoit qu’aujourd’hui le commerce mondiale représente près de 32% du PIB mondial

achetant à d’autres ce qui est produit ailleurs à moindre coût au lieu de le produire lui-même. C'est pourquoi le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque mondiale ont poussé la quasi-totalité des pays du Sud à libéraliser leurs échanges extérieurs. C'est peu dire que tous les pays n'ont pas réussi leur développement ! Cette constatation empirique commence à être reconnue par les économistes : l’ouverture commerciale est une condition nécessaire au développement (aucun pays ne s'en est sorti