Inégalités Des Chance Bourdieu Boudon

Mobiliser ses connaissances Les éléments qui contribuent à la construction de la cohésion sociale doivent être mis évidence : les valeurs fondatrices du pacte républicain, le respect des normes sociales partagées, l’idéal méritocratique, l’égalité des chances, etc.). De ce point de vue, le document 2 est particulièrement riche dans le rappel des attentes à l’égard de l’école. Il faut noter que le document 3 est ambivalent. Il montre en effet que, depuis 25 ans, l’école a été le support d’une progression

systématisations des règles de droit ainsi que les différentes représentations d'un ordre légitime, afin d'étudier comment ces ensembles de normes se répercutent dans les conduites sociales. Il se proposerait "l'étude de la mesure de la probabilité, des chances, des conduites sociales d'après le schéma d'un système cohérent de règles, élaboré pour une société donnée" (14). Weber appauvrirait artificiellement la réalité juridique en la réduisant exclusivement aux conduites "guidées par des règles rigides

domination.1. Puissance et domination Le pouvoir et conçut dans une relation commandement/obéissance. Il pense que la contrainte physique n’est pas toujours nécessaire dans cette relation d’où cette nécessité de cette relation. La puissance est la chance que possède un acteur d’imposer sa volonté à un autre acteur même contre sa résistance. Ici, il y a une contrainte qui s’exerce. Dans la notion de domination, le maitre obtient l’obéissance sans la contrainte. L’obéissance est fondée sur la reconnaissance

suppose une clarification préalable des multiples significations attachées au mot « politique ». Pour tenter de sérier ses nombreux emplois, il convient de distinguer entre les deux genres du mot. La politique C’est la scène (un champ, dirait Pierre Bourdieu) où s’affrontent des individus et des groupes en compétition pour l’exercice du pouvoir. Concrètement, cela rend compte, pour l’essentiel, de la concurrence entre partis et personnalités politiques pour accéder au contrôle de l’État, des collectivités

l’esprit scientifiques (livre) qui commence en disant que l’observation est l’un des obstacles rencontrés lorsqu’on fait des sciences. Ce risque est amplifié en sciences humaines pour deux raisons : • L’observation est rarement reproductive. • Il y a des chances que par notre simple présence on influe ce qui se passe autour de nous. On transforme, modifie ce que l’on souhaite observé. L’observation peut témoigner de ma vision du monde et pas telle qu’elle est. L’empirique n’est pas un accès garantie à la science

peines… Le criminel est un calculateur rationnel Le modèle de l’économiste est évidemment en concurrence avec d’autres modèles dont il faut reconnaître que ces modèle l’ont largement emporté jusqu’il y a peu d’année, ainsi le modèle sociologique (BOURDIEU) est il encore très répandu. Il définit l’homme comme un être conformiste et conventionnel, dont le comportement est un pur produit de l’environnement culturel. Il s’en suit que les choix les fins propres, l’adaptation consciente au contexte n’existe

vulgarisation. La théorie des « Cités » et des « Mondes » est ainsi utilisée, par exemple, par des formateurs en travail social. Elle vient concurrencer les analyses classiques en termes de stratégie (Crozier, Friedberg) ou en termes de champ et d’habitus (Bourdieu). Il est donc utile de la présenter brièvement, étant donné la place qu’elle commence à occuper dans la sociologie francophone. Il reste qu’il s’agit d’un langage s’écartant du langage habituel de la sociologie, élaboré par une école de pensée particulière

cœur des inégalités sociales entre élèves (M. Duru-Bellat) 219 1 Accès universel mais réussite inégale… 219 2 Les choix du collège 220 3 Des collèges inégaux 223 4 Conclusion 227 VIII TRAITÉ DES SCIENCES ET DES PRATIQUES DE L’ÉDUCATION 20 Le lycée de masse : entre démocratisation et ségrégation (J.-Y. Rochex) 229 1 Un paysage institutionnel profondément bouleversé 230 2 Accès accru et démocratisation ségrégative 234 3 L’expérience lycéenne : tensions, ambivalences et inégalités 237

étant une alternative à la pensée marxiste. Ex : c'est pas la conscience qui détermine la vie, mais c'est la vie qui détermine la conscience = ce que nous sommes c'est ce que nous vivons = Ce qu'on pense provient de nos lieux de socialisation (cf Bourdieu). Il prend le contre pied de cela : il considère que les idées peuvent contribuer à construire le monde Cf : « Ethique protestante et esprit du capitalisme » : il montre l'étroite relation entre le développement du capitalisme et les idées religieuses

10 Quels liens sociaux dans des sociétés où s’affirme le primat de l’individu ? 161 Chapitre 11 La conflictualité sociale : pathologie, facteur de cohésion ou moteur du changement social ? 172 Chapitre 12 Comment analyser et expliquer les inégalités ? 188 Chapitre 13 Comment les pouvoirs publics peuvent-ils contribuer à la justice sociale ? 206 Chapitre 14 Comment s’articulent marché du travail et organisation dans la gestion de l’emploi ? 220 Chapitre 15 Quelles politiques pour l’emploi