Ionesco La Leçon Comique

actions se passent ailleurs, à l'entracte ou dans les coulisses. Le spectateur l'apprend par les récits que font les personnages. La Tragédie doit aussi respecter la bienséance ; le langage sera noble, le style soutenu. Toute familiarité et tout comique est exclu. On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou de suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l'histoire ou la Bible. Les héros doivent être des personnages d'un rang élevé. La Tragédie se présente en cinq

fuite et celui qui le poursuit. On comprend que dans un tel cadre le quiproquo présente de véritables possibilités pour enrichir l‘intrigue et créer des situations amusantes. Il ne s’agirait que d’arranger le dramaturge en lui procurant des effets, comiques faciles et des commodités qui l’arrangent en faisant bon marché de la vraisemblance, voire de l’honnêteté artistique. Toutefois ce ressort n’est pas uniquement une facilité pour auteurs en manque d’inspiration mais un outil dramatique universellement

avec un regard souriant, parfois faussement naïf. Constituez-vous une réserve d’exemples de textes, de films, de spectacles, d’images qui traitent de sujets sérieux (guerre, peine de mort, trahison, mort…) sur un ton amusé et amusant. L’extrait de La Leçon vous donne une piste. La forme interrogative de la consigne invite à la discussion. > Pour réussir la dissertation : voir guide méthodologique. > Les genres de l’argumentation voir lexique des notions. Les titres en couleur et les indications en italique

méprisé, sans pouvoir initial, mais qui parvient à se tirer d'affaire par son habileté à déchiffrer les énigmes.)(grec) Phedre (inspire d'Esope) _Contemporain :Alexandre VI (Attirer l'attention du lecteur) Mieux convaincre II) Une lecon de realisme politique : a) Les princes et les hommes: Comparaison : Relation de domination justifier (le comportmement des princes ) par le comportement des hommmes . Societe ≈ Jungle où 2 types d'animaux : Hommes(faibles , credules , et

principaux : Eschyle, Sophocle, Euripide... - La comédie, qui représente surtout les conflits familiaux. Auteurs principaux : Aristophane, Plaute... Le théâtre a un enjeu moral. A la fin de la pièce, le conflit est réglé, le spectateur peut tirer une leçon de la pièce qu’il vient de voir. Dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit la tragédie. Il y définit la mimêsis : il faut que les personnages soient une imitation des passions humaines aussi vraisemblable que possible. Aristote voit dans

celle-ci menant très souvent à la mort. L’origine de cette pensée étant sans conteste le traumatisme, la chute de l’humanisme à la sortie de la deuxième guerre mondiale. Ionesco, Adamov, Beckett, Genet, voire Pinter sont parmi les auteurs de ces œuvres qui ont bouleversé les conventions du genre. La particularité de Eugène Ionesco et Samuel Beckett est qu'ils ont exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités

coulisses. Auteurs : Molière (Comédie) L’école des femmes Le Misanthrope Tartuffe Dom Juan Jean Racine (Tragédie) Andromaque Bérénice Pierre Corneille (Tragédie – Comédie) Le Cid (1636) (Tragi-comédie) Le Menteur (1643) L'illusion comique * * La querelle du Cid (p.120) : devant le succès du Cid, la jalousie d'autres écrivains accuse Corneille d'avoir plagier un auteur espagnol. * * Les pièces de théâtre sont écrites pour la plupart en vers. Dans beaucoup de pièces

fêtes de Dionysos des représentations théâtrales étaient données. Ces cérémonies de théâtre avaient alors un enjeu religieux, social et éducatif. Le théâtre a un enjeu moral. A la fin de la pièce, le conflit est réglé, le spectateur peut tirer une leçon de la pièce qu’il vient de voir. Deux grands genres existent alors : la tragédie, un drame représentant traditionnellement des personnages issus des légendes et des épopées grecques (dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit

Racine et Corneille L’Ecole des femmes ; Dom Juan ; Le XVIIIème siècle : Marivaux L’Ecole des mères, L’Île des Esclaves L’Illusion comique XIXème siècle : Cyrano de Bergerac d’ Edmond Rostand Alfred de Musset On ne badine pas avec l’amour, Il ne faut jurer de rien XXème siècle : Antigone de Jean Anouilh Rhinocéros, La leçon, La Cantatrice chauve d’ Eugène Ionesco Jean Claude Lagarce Juste la fin du monde VIII. POESIE : XIXème siècle Baudelaire Les Fleurs du Mal XXème siècle : Apollinaire Zone,

n'y a t-il pas meilleure remède que le rire ? D'ailleurs Sacha Guitry a dit : « J’aime la comédie, elle me délasse, elle me divertit » car selon lui la mise en scène des personnages, le langage et le contexte théâtrale favorise le bon humour. Le comique de répétition fait rire les spectateurs, par exemple dans l'Avare de Molière lorsque Harpagon répond à sa fille Elise en reprenant exactement les mêmes phrases. Marivaux aime utiliser le quiproquo comme procédé humoristique. Dans l'amour du jeux