Iphigenie Texte

permettant de commenter le tableau généalogique de la famille ! (voir document 3 en annexe) ARES TANTALE HIPPODAMIE AEROPE MENELAS ATREE PLOUTO(nymphe) ZEUS OENAMAOS PELOPS TRYESTE PELOPIA AGAMEMNON CLYTEMNESTRE EGISTHE HELENE CHRYSOTHEMIS IPHIGENIE ORESTE ELECTRE HERMIONE PYLADE fille de Ménélas et Hélène ami d’Oreste © Éditions Ellipses, 1997 Au cours d'un festin, Tantale servit aux dieux son fils Pélops, qui fut ensuite ressuscité. Pélops épousa Hippodamie après avoir triomphé d'Œnamaos

amant Egisthe. AGAMEMNON Assassiné par sa femme et l’amant de celle-ci. MENELAS Marié à Hélène (sœur de Clytemnestre), il est tué à Troie. Les quatre enfants de Clytemnestre et Agamemnon : CHRYSOTHEMIS Fille préférée de Clytemnestre. IPHIGENIE Sacrifiée par son père pour apaiser la colère des dieux et avoir des vents favorables pour aller jusqu’à Troie. ELECTRE Pousse son frère à venger la mort de leur père en tuant Clytemnestre et Egisthe. ORESTE Tue sa mère et l’amant de celle-ci

fois expropriés, les métayers et les agriculteurs n'ont plus droit de cité dans un univers qui n'est plus le leur. Il n'en va pas autrement pour le climat mortifère établi dans le réel tragique du texte d'Eschyle, qui prend sa source de la guerre de Troie au cours de laquelle il fallut sacrifier Iphigénie pour enclencher ainsi une machine infernale et ravageuse. Un devin, Calchas, qui est aveugle, dit à Agamemnon : « Artémis veut le sacrifice de ta fille, sinon il n'y aura pas de vent ».Il en ressort

chef des grecs qui vont partir de la Grèce. Ils sont bloqué a Aulis dut a l’absence de vent pour que les vents re souffle il doit sacrifier sa fille Iphigénie, elle est donc mise a mort selon la volonté des dieux mais ceci est intolérable pour la mère Clytemnestre, Agamemnon a semer involontairement chez son épouse une haine indestructible. Iphigénie et une frère Oreste et une petit sœur Electre qui sont enfant lors du sacrifice il reste a Argos avec leur mère qui prend pour amant le cousin germain

2) [Voir Acte I, scène 1 et les références : Atrée et Thyeste sont frères. Leurs fils sont Ménélas et Agamemnon pour Atrée et Égisthe pour Thyeste. Ménélas épouse Hélène la sœur de Clytemnestre qui épouse Agamemnon. Agamemnon sacrifie sa fille Iphigénie pour apaiser la colère des dieux et rendre les vents favorables à la flotte grecque. A son retour il est tué par sa femme aidée de son amant Égisthe. Oreste, le fils d’Agamemnon tue Clytemnestre et Égisthe pour venger son père, avec l’aide de sa

modestie,l'étrangeté[...] la splendeur ». Elle renforçait d'autant plus cette fausseté par le mensonge, en « lui jur[ant] qu'il était un dieu.» ligne 31. Le sacrifice d'Iphigénie a été l'élément déclencheur de la haine meurtrière : Agamemnon a donné Iphigénie en sacrifice et Clytemnestre ne s'en est jamais remise. Elle emploie d'ailleurs le mot « horreur », qui ici a une connotation très forte, comme si on assistait au passage de l'amour à la haine. De par son explication, Clytemnestre explique à Électre

----------------- Le personnage de Cassandre est tiré de la pièce « Agamemnon » de l’Orestie d’ Eschyle. Cette pièce raconte le retour de la guerre de Troie d’Agamemnon et son assassinat par sa femme pour se venger du sacrifice de sa fille Iphigénie par celui-ci pour faciliter son voyage jusqu’à Troie. Cassandre est une princesse, fille du roi Priam qui régnait sur Troie jusqu’à la guerre. Agamemnon la ramène chez lui à Argos comme esclave de guerre, ce qui engendrera la colère de Clytemnestre

tuant Égisthe et Clytemnestre sept ans après. Les dieux, frappés d'horreur, dépêchèrent à Oreste les Erinyes, mais Apollon le défendit et Athéna l'acquitta de son meurtre. Électre protégea également son frère de la colère de son peuple. Sauvé par Iphigénie en Tauride, Oreste succéda à son père et épousa Hermione. Électre épousa Pylade, cousin et ami d'Oreste.[1] La source mythologique des Mouches Au début du XXe siècle, dans la continuité d’une tendance française, les tragédies grecques sont remises

dire qu’Eriphile est une parfaite illustration d’un pers. de tragédie classique ? Intro : Jean Racine est l’un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique. Après avoir été élu à l’Académie française en 1672, il fait jouer « Iphigénie » en 1674, ce qui est un vrai succès. On étudiera ici un extrait de cette pièce (Acte II, scène 1) qui se déroule après l’enlèvement d’Eriphile et de Doris par Achille. I. Une scène d’exposition typique tu théâtre classique 1. Un dialogue

charge d’Agamemnon : c’est un vrai réquisitoire. - Tout le discours de Clytemnestre est un caractère passionnel : jubilation de l’aveu. On se retient quand on ne l’avoue pas. Celui qui avoue ne s’arrête plus : caractéristique qui c’est révéler dans le texte. (=libération). En avouant, on se retrouve, on avère à ce que l’on est. « Oui, [...] oui, [...] oui. » : anaphore qui vient scander, marquer le rythme. « Je vais m’offrir la joie » : expression même du cadeau qu’elle se fait. - Autre aspect : flux