Ironie Du Sort

l’injustice comme (Calas en 1762, Sirven en 1764, et certaines autres …). La réputation de Voltaire tient aussi à son style, et sont ironie très rechercher. Il adopte aussi la philosophie épicurienne. Le 4 mai 1716 François est exilé à Tulle a cause de ces écrits satiriques envers le Régent suite a sa récidive il restera enfermé 11 mois a la bastille. Quand il sort il décide de changer de nom, il décide de s’appelé voltaire. Pendant son emprisonnement, il écrivit sa première pièce de théâtre, "Œdipe"

pensionnaire (au sujet de Mme Vauquer) 1)Mme Vauquer: «attifée de son bonnet de tuile sous lequel prend un tour de faux cheveux mal mis.» «Elle marche en traînant ses pantoufles grimacées.» «Sa face vieillote, grassouillette du mileur de laquelle sort un nez a bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop pleins et qui flotte», «Sa figure fraîche comme une première gelée d'automne, ses yeux ridés», «Son jupon de laine tricoté.» «Elle

seule compte et l'homme n'a que faire d'une révélation toujours incertaine: sa conscience personnelle doit être le seul guide de son existence morale. 2. Les idées sociales et politiques de Voltaire Toute l'œuvre de Voltaire est œuvre de combat; son ironie et son irrespect n'ont rien épargné. Il a critiqué tous les abus de régime et ses audaces lui valurent souvent d'être inquiété. En politique, il souhaite un despotisme éclairé, un « roi philosophe ». Ce beau rêve qu'il avait cru un moment pouvoir

des phrases, pouvoir saisissant des images et de leurs contrastes, texte tendu vers un auditoire (plaidoyer, réquisitoire). polémique : netteté des positions, souci de l'exemple et de la preuve, confrontation des thèses, techniques de réfutation (ironie) injonctif : adresse au lecteur, impératifs, interrogations oratoires. POSITION DU LECTEUR réflexion et esprit critique. réception émue et complice du message.     LES  FORMES    Les formes conditionnent, quant à elles, les différentsgenres littéraires:

ainsi. Mon prénom vient de mon grand père très croyant qui voulait qu’un de ses petits enfants porte le nom de ce personnage si important de la Bible. Il est mort, assassiné par Eve Kornhot, le jour de ma naissance, le 14 mars 1994, très grande ironie du sort malheureusement. J’habite Ajapaj, un village perdue, un trou paumé, enfin un endroit qui ne plait pas à des adolescents de mon âge du fait du trop grand vide et de sa trop grande tranquillité, et ou bien sûr tous les habitants se connaissent

L’esclave semble accepter son sort Ex : « j’attends mon maître » -->Aucune signe de révolte, il semble avoir été « apprivoisé » et reste passif face à cette inégalité   L’esclave explique en toute neutralité sa condition Il raconte sans sentiment, d’une façon purement didactique ses conditions de vie, ce qui doit horrifier le lecteur face à cette telle absence d’humanité. Ex : « On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois dans l’année. Quand nous travaillons aux sucreries

respect et sa soumission totale à l’autorité paternelle, puis fait appel à la raison de son père ,à sa compréhension et finalement à son intérêt. Il a entendu dire dans la ville que Créon n’a pas raison et qu’il est trop sévère. Il chasse son fils qui sort furieux et menaçant que si Antigone meurt, sa mort entrainera une autre. Créon annonce au chœur sa décision de la faire enterrer vivante. A ce moment apparait Antigone. Elle est enchainée et dialoguant avec le chœur, elle se lamente sur le destin

de reproche. Injonction : Claire domine Solange, lui donne des ordres. CCL « à la cuisine » précise au lecteur le type de gants : de ménage + lieu réservé aux domestiques. C'est avec ça, sans doute, que tu espères séduire le laitier. Antiphrase : ironie : se moque son interlocutrice. Décalage entre les gants pour ménage et la séduction d’un homme. Tournure emphatique « C’est…que » qui met en évidence le pronom dévalorisant « ça » qui désigne les gants : image péjorative de la fonction qu’ils représentent

premiers pas en tant qu’intermédiaire pour Coelio, passionnément amoureux de la jolie Marianne. Dès le début de la discussion, Octave ne remplit pas bien son rôle car il laisse comprendre à Marianne que Coelio en aime une autre. Marianne écoute avec ironie les propos de son cousin, Octave. En effet, tous les propos qu’elle tient sont ironiques : « Quel dommage ! Quel grand malheur ! » (l.38), cette antiphrase permet aux lecteurs de connaître la vraie pensée de Marianne. Celle-ci est très heureuse d’apprendre

que dans le fond vous ne savez pas vraiment ce que vous voulez: vous vous étes battu pour Tante Julia pour la quitter huit ans plus tard en allant avec votre cousine Patricia. C'etait un peu inattendu comme fin de livre, ça préte à rire cette ironie du sort. Voilà, monsieur, j'espère ne pas avoir été trop désagréable à lire, pas trop lourde. Je vous remercie pour cette belle histoire d'amour, bien qu'aujourd'hui c'est avec Patricia que vous la viviez. Lara