Ironie Du Sort

réelles et de la polyphonie narrative. Une lettre composée en deux parties - présentation de sa nouvelle vie sur un ton un peu fanfaron à une amie de couvent - une anecdote en contraste où elle se ridiculise. - un personnage naïf : - elle est jeune, sort du couvent et ne connaît rien de la vie : comment pourrait-elle être conduite vers le vice ? (décalage avec la préface) - elle découvre avec émerveillement tous les privilèges de sa nouvelle vie (se vante de ses nouvelles possessions et de sa nouvelle

histoire » --> sort commun * « nous » x9 utilisé par Iphicrate --> tente de convaincre Arlequin * « je » omniprésent --> égoïsme d’Iphicrate --> esclave qui se rebelle Opposition des personnages: * « je t’en prie », « je t’aime », « mon cher Arlequin » --> poli * « le coquin », « esclave insolent », « misérable » --> hypocrite * anaphore « je t’en prie » + exclamatif « comme vous êtes poli » + reprise des mêmes termes « mon cher patron » --> ironie d’Arlequin qui

peinture d’une passion fatale.  Procédés : Interrogations, exclamations, oppositions, discours indirect libre et discours direct mêlés. La composition :  - Les pensées.  - La décision brutale.  - Un récit avec portrait : la fonction de Lescaut => Ironie et mépris pour le personnage. (Reflet => autodérision). La visée :  Faire partager au lecteur le déchirement de l’honnête homme entre ses aspirations au bonheur et la misérable réalité Commentaire littéraire : Problématique :  Qu’est ce que

conséquences du combat - Troisième paragraphe : Fuite de Candide après le combat ANNONCE DU PLAN CHOISI Analyse selon trois axes : - Vision positive de la guerre - Vision négative de la guerre - Dénonciation de l’absurdité de la guerre (ironie) EXPLICATION DE L’EXTRAIT 1) Vision optimiste Cette vision optimiste est celle de Candide, un jeune homme naïf, surnommé l’optimiste (Candide ou l’optimisme). - La guerre dans sa beauté : champ lexical "si beau", "si leste", "si brillant"

baron de Dietrich, avait demandé à Rouget de Lisle en garnison à Strasbourg d'écrire un chant de guerre. Rouget de Lisle composa ainsi un Hymne de guerre dédié au maréchal de Luckner. (le Bavarois Nicolas Luckner commandait alors l'armée du Rhin). Ironie du sort : le futur hymne national est ainsi dédié à un Bavarois qui sera guillotiné moins de 2 ans plus tard. C'est pourtant bien ce chant qu'il présenta le lendemain, à Dietrich, à son domicile. Cette scène a été immortalisée, notamment dans le tableau

point de vue du contenu, et aussi, plus important, du point de vue du style (ironie, drôlerie, subtilité des remarques) si c’était moi, par exemple, je choisirais la rencontre de Charles qui cherche sa cravache, les soirées avec Charles, ou la promenade avec la levrette, ou un extrait des comices, ou le moment où Rodolphe écrit la lettre, le moment où Emma la reçoit, l’hôtel avec Léon, la mort d’Emma quand la langue lui sort de la bouche,… Si c’était le moment où Rodolphe écrit la lettre, ce serait

Paris (dont Offenbach était le directeur) Compositeur : Jacques Offenbach, compositeur français (juin 1819-octobre 1880) « Auto-ironie biographique » (Notice rédigée par Offenbach à l'intention d'un journaliste en 1864) : « Je suis venu au monde à Cologne : le jour de ma naissance, je me rappelle parfaitement qu'on me berçait avec des mélodies. J'ai joué de toutes sortes d'instruments, un peu, du violoncelle, beaucoup. Je suis arrivé à Paris à l'âge de treize ans. J'ai été au Conservatoire, comme

personnages sont en désaccord complet (2ème partie), alors même que les ambiguïtés tragiques de la scène sont lourdes de menaces. (3ème partie). Du lamento à la supplication, et de la supplication au revirement de Médée : Les thèmes du lamento : a. Le sort de Médée et de leur amour : On remarque la forme poétique choisie par le dramaturge pour ce passage : disposition des phrases, regroupées en versets, comme dans les lignes 241- 242-2473 : «  Veux-tu que je recule jusqu’à la vierge Médée, veux-tu

ex: il nous a quitté... Litote (f) : on dit le "moins" pour faire comprendre le plus. ex: Va, je ne te hais point !" Antithèse (f) : elle consiste à rapprocher des mots, des expressions ou des propositions de sens opposés. ex: On entre ébloui, on sort terrifié. Hyperbole (f) : elle consiste à employer délibérément des termes exagérés pour produire un effet. ex : Le cous de français, une vraie galère ! Anaphore (f) : elle consiste à répéter volontairement un mot ou un groupe de mot en début de

intégrale, le Bourgeois Gentilhomme (1670) et les Fourberies de Scapin (1671) qui célébra un retour au style italien. En 1673, durant la quatrième représentation du Malade Imaginaire (1673), Molière jouant le rôle d’un hypocondriaque, grande ironie du sort, fut pris de malaise respiratoire, on le ramena chez lui et il y mourut quelques heures plus tard. C’est un auteur toujours d’actualité puisque les plus grands comédiens le jouent encore aujourd’hui soit au théâtre, soit au cinéma comme Louis