Ironie Du Sort

Reconnaissance de l'autorité du juge. B. Les marques du conflit - Registre polémique de Las Casas. - Invectives : pronom « vous » pour apostropher l'interlocuteur + impératifs + questions oratoires. ==> Il sous-entend que le professeur ne sort pas sa bibliothèque et ne connaît pas la peine de vivre. - Répétitions : « précisément » ll17-18 II – Le circuit argumentatif A. Les deux intervenants cherchent à convaincre l'auditoire et notamment le juge. 1 - Las Casas reproche à l'éminence

sont les tristes captives De leur guet - apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur œuvre ; Ô sort ! fatals nœuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux ; Parce qu'elles ont l'ombre

monarchie de Juillet c'est surtout le pouvoir aux riches et aux banquiers, aux affaires : Laffite. Quelle attitude adoptent ils? Nerval s'engage, va sur les barricades. Musset, lui, c'est différent : non ne sort pas lui dit sa mère. Au fond Musset ça ne le dérange pas. Mais en Aout 1830, Musset sort, se promène et fait du tourisme de barricade. Il traverse son époque en touriste. Il s'en fiche de la politique. Aussi une attitude de désenchantement. DONC tous les deux impliqués dans l'histoire d'une

chaussettes sales », « le pantalon usagé », « le châle troué » - Dimension métaphorique « flanc vide de la male » > personne n’a mangé B. Toucher le lecteur - Sort de G > malédiction - mélange d’ironie et de tendresse (enfants couchés l’un contre l’autre) - insouciance des enfants et l’inquiétude de la mère > ironie du sort « petit » ici touchant mais pathétique 3. Mise en place narrative A. La recherche du sommeil - 1ere scène : recherche du sommeil > motif récurrent - dualité

réplique de Sganarelle atténue la mort de tragique de Dom Juan. Il apparaît comme une victime exclusive, dindon de la farce renforcé par le refrain matérialiste comique « mes gages, mes gages » (l.38 et 43). Nous pouvons également voir une certaine ironie du sort dans cette fin. Sganarelle fait une énumération de toutes les victimes des vices de Dom Juan qui seront, elles, satisfaites de cette mort « un chacun satisfait » (l. 39), « tout le monde est content » (l. 41 et 42) alors que le pauvre Sganarelle

fraternels, il la complimente et l'invite à diner au château…[ il n'y a pas dans le village de plus jolie fille que toi]. Scène 5: Des acolytes grotesques Scène comique entre le baron et Blazius ,qui accuse Bridaine de boire plus que raison. Mais ironie du sort c'est l'alcoolisme de Blazius que le baron constate. [le curé de la paroisse est un ivrogne], [ Ce Blazius sent le vin d'une manière horrible.]. Puis vient Blazius explique au baron que son fils [tient sous le bras une jeune paysanne]. Le baron

mettre au lit. – À propos, pourquoi donc as-tu fait demander des chevaux de poste à l’évêque de Marzi ? LORENZO. Pour aller voir mon frère, qui est très malade, à ce qu’il m’écrit. LE DUC. Va donc chercher ta tante. LORENZO. Dans un instant. (Il sort.) LE DUC, seul. Faire la cour à une femme qui vous répond «oui » lorsqu’on lui demande «oui ou non », cela m’a toujours paru très sot, et tout à fait digne d’un Français. Aujourd’hui surtout que j’ai soupé comme trois moines, je serais incapable de

de belles paroles. On peut penser à la fumée du début qui nous indiques un écran de fumée malheureusement sans parvenir la colère d’Elvire qui se retourne vers Dom Juan moqueuse : «  vous plait-il, Dom Juan, nous éclaircirent ces beau mystères » (ironie) 3) Le mensonge de Dom Juan Ce mensonge est rendu nécessaire par une nouvelle attaque d’Elvire sr un ton de plus en plus railleur. On peut noter toutes ces interrogations rhétoriques qui semblent épuisées les techniques habituelles des séducteurs :

deshumanisation des esclaves par leur maître. « Le pauvre homme » a certains membres coupés, « comme le veut l’usage ». Les paroles de cet homme prouvent sa soumission. Ici, c’est la triste vérité, Voltaire ne fait aucune exagération, cela étant vraiment le sort réservé aux esclaves. De plus les esclavagistes sont aussi beaucoup critiqués, car ils paient très peu les parents des esclaves, mais pour Voltaire, c’est aussi le faute de l’Europe, car « c’est à ce prix là que les européens mangent du sucre ». Ainsi

Socrate (470-399) En résumé Socrate n’a rien écrit ; il discute avec les gens (ironie et maïeutique) et leur montre qu’ils ne savent rien ; lui-même prétend ne rien savoir : « tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien » En distinguant ainsi savoir et opinion, Socrate est le fondateur de la rationalité et de la philosophie (Descartes introduira une révolution comparable, lui aussi par l’application d’un doute méthodique, au XVIIe siècle) Cette reconnaissance de notre ignorance