Ironie

conséquences du combat - Troisième paragraphe : Fuite de Candide après le combat ANNONCE DU PLAN CHOISI Analyse selon trois axes : - Vision positive de la guerre - Vision négative de la guerre - Dénonciation de l’absurdité de la guerre (ironie) EXPLICATION DE L’EXTRAIT 1) Vision optimiste Cette vision optimiste est celle de Candide, un jeune homme naïf, surnommé l’optimiste (Candide ou l’optimisme). - La guerre dans sa beauté : champ lexical "si beau", "si leste", "si brillant"

son âge » répétition du verbe aimer pour insister sur le sentiment amoureux, « travailler plus efficacement que vous à mon bonheur et à mes plaisirs. » comparatif de supériorité, elle montre que Valmont n'est pas indispensable. •Ton de la lettre: -ironie est sarcasme : antiphrases « en esclave soumise », « les sublimes faveurs de votre Hautesse », « vos précieuses bontés », « Votre servante », ton faussement indigné « Qui, moi ! je sacrifierais un goût [...] les sublimes faveurs de votre Hautesse

Le XVIIIe siècle, siècle des Lumières, a connu de nombreux artistes de renom, qui ont permis à la France et au Monde de découvrir et d’appliquer les valeurs de liberté et fraternité. Voltaire était l’un d’eux, célèbre pour son ironie et ses contes philosophiques, qui ont soulevé plus d’un tabou. Le Monde comme il va met en scène un génie qui charge un naïf barbare, nommé Babouc d’examiner les folies et les excès de Persépolis, ville corrompue, et de juger du sort de celle-ci. Babouc va assister à

travers le personnage de Candide, ces trois auteurs du milieu du XVIIIème siècle s’adressent aux lecteurs. MONTESQUIEU parle ouvertement de l’esclavage en Afrique, en tant qu’esclavagiste. Mais à travers ses paroles, nous découvrons une certaine ironie. Candide quant à lui, lors de sa discussion avec un esclave en hollandais ( tirets, guillemets en début de phrases), en approchant de la ville de Surinam, expose son dégoût envers l’esclavagisme. Chevalier de JAUCOURT en fait de même lorsqu’il définit

monde, découle l'humour de Voltaire. L'auteur utilise donc d'ironie dans tout le chapitre sept, pour réussir à critiquer. En conclusion, dans les trois passages, l'ironie est omniprésente. Voltaire, utilise cette ironie à des fins semblables : il critique son monde. Cette ironie, qui compose l'humour de Voltaire, lui permet de réaliser une satyre de sa société, sans devoir la réaliser explicitement. II – Quels aspects du mal Voltaire fait-il découvrir ? Montrer que la naïveté de Candide

dans sont tord. Elle dénonce tout d’abord l’ambition politique de Titus, son gout inhumain et cruel (v1) pour la gloire. Ce gout du pourvoir fait de lui in infidèle incapable de tenir sa parole. L’enjambement de la métaphore filée rappelle avec une ironie amère les 1 000 serments d’amour, les déclarations enflammées où il lui promettait une fidélité éternelle. La synecdoque « cette bouche » reprise deux fois accentue la déception de la renne bafouée. Pour Bérénice les raisons politiques ne peuvent

retire ses pansements.  Le vieillard hurle en découvrant un Noir face à lui.  Un miroir lui renvoit son propre reflet : il est ce qu’il a toujours haï ! 3. Le sens du récit : • Récit à chute  coup de théâtre, renversement de situation. • Ironie  Le vieil homme tyrannique se rend compte qu’il est ce qu’il déteste le plus (comme un nazi qui se découvrirait juif !) ; ce qui est terrifiant, pour lui, fait rire ceux qui condamnent ses opinions. • Le racisme est le fruit de l’ignorance et de

dûe à la spéculation générée par la politique économique de Law qui s'effondre en 1920. Le peuple manque de "choses nécessaires" (l.4) 3 - Vanité des comportements * Rica relève la bizzarerie "des moeurs et des coutumes européennes" (l.19) ... Ironie * Il souligne la facilité usurpatrice du souverain. III - Une critique du pouvoir 1 - Allusion ironique au pouvoir monarchique européen * Dénonciation du mercantilisme colonial (Roi d'Espagne => Pérou) * Critique des guerres incessantes

donnant ainsi l’image d’un clergé superficiel se souciant peu du tiers état. En premier lieu, l’auteur de «Marie Calumet» évoque la richesse du prélat de manière ironique ce qui amène un regard dégradant sur la religion catholique. Cette ironie se manifeste d’abord lorsque l’on décrit les bijoux de Monseigneur : «Alors, levant la main enrichie de l’améthyste grosse comme une noix, […].» (p.30, l.3) Cette comparaison fait un lien entre l’améthyste de l’évêque qui symbolise la richesse et

brèves et rapides l. 69 "les pavillons solitaires" ; "forêt sombre" → nature associée aux messieurs + exotisme avec les lions. Ailleurs = nature d'un parc ou d'un château Ailleurs sociologique = rêve de manoir, château, roi et forêt sombre. D'où ironie.