J'ai deux amours

du secteur, «  Ah le petit vin blanc » Je passe devant chaque résident et les incite à chanter avec moi, ceux qui font sans trop tarder et avec beaucoup d’entrain ! Puis j’enchaîne avec, « j’ai deux amour » puis bien d’autre titres : - Les amants de saint Jean - La Java Bleu - J’ai deux amours - Voulez vous danser grand-mère - Sous les ponts de Paris - La Valse brune - Tant qu’il y aura des étoiles - Auprès de ma blonde - Au clair de la lune (chanter

de Sydney Bechet. Inspirée et influencée par l'Empire colonial français, Joséphine Baker monte La Folie du jour en 1926. Elle reprend aussi des chansons à succès de cafés-concerts telles que La Petite Tonkinoise de Vincent Scotto. La chanson J'ai deux amours en 1930 la consacre comme une star de la vie parisienne, vedette complète qui, à l'instar des chansonniers, ne se contente pas de danser mais commente les airs de musique et donne dans le comique.

Pure Innocence! Vertu sainte! O les deux sommets d'ici-bas! Où croissent, sans ombre et sans crainte, Les deux palmes des deux combats! Palme du combat Ignorance! Palme du combat Vérité! L'âme, à travers sa transparence, Voit trembler leur double clarté. Innocence! Vertu! sublimes Même pour l'oeil mort du méchant! On voit dans l'azur ces deux cimes, L'une au levant, l'autre au couchant. Elles guident la nef qui sombre; L'une est phare, et l'autre est flambeau; L'une a le berceau dans son ombre

Consolation a M. Du Perier sur la mort de sa fille de Francois De Malherbe écrit en 1599 extrait de strophes 1-7. Sur ce thème il y aura aussi un hémisphère dans une chevelure de Charles Baudelaire rédigé en 1869 extrait de le spleen de Paris , et aussi J'ai tant rêve de toi de Robert Desnos extrait de A la mystérieuse recueillis dans corps et bien rédigé en 1930. Ce thème nous y sommes tous passé on a toujours déjà étais blessé a trop aimer, ou encore perdu quelqu'un qui nous étais chère. Nous avons tous

vif, et mort, ton corps ne soit que roses.           Pierre de Ronsard, Sur la mort de Marie, 1578 Sur un Tombeau Celle dont la dépouille en ce marbre est enclose  Fut le digne sujet de mes saintes amours.  Las ! Depuis qu'elle y dort, jamais je ne repose,  Et s'il faut en veillant que j'y songe toujours. Ce fut une si rare et si parfaite chose  Qu'on ne peut la dépeindre avec l'humain discours

en 1856 mais les poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1830, la plupart ayants été écrits entre 1841 et 1855. Il s'organise en deux parties, décomposées en trois parties chacune: Autrefois, avec Aurore (livre de la jeunesse évoquant ses souvenirs de collège, ses premiers émois amoureux et ses premières luttes littéraires), L'âme en fleur (livre des amours, constitué de poèmes évoquant les premiers temps de son aventure avec Juliette Drouet), et Les luttes et les rêves (livre de la pitié et

conception fixiste du beau, règles et normes strictes Auteurs La plupart anonymes, Rutebeuf, Charles d’Orléans Du Bellay, Ronsard Corneille, Saint-Amant, Jean de Sponde La Fontaine, Malherbe Oeuvres La chanson de Roland, Le pélérinage de Charlemagne Amours, Discours de Jules César avant le passage du Rubicond L’astrée, Oeuvres Le corbeau et le renard, Odes, Elégies Nom Romantisme Parnasse Symbolisme Surréalisme Epoque 1820-1850 1850-1860 1869-1896 1918-1969 Contexte politique Révolution

poursuivi par la déesse de l'amour, Aphrodite, qui dès les premiers vers clame sa fureur d'être délaissée par le jeune homme au profit d'Artémis. Dans Phèdre, Vénus s'acharne contre la famille de la reine dont l'ancêtre, le Soleil, avait révélé les amours coupables de la déesse et de Mars. La fatalité prend ainsi la forme de cette haine implacable attachée à toute la descendance du Soleil. Sénèque, philosophe et poète romain du premier siècle après J.-C., est également l'auteur d’une Phèdre. Le récit

XXVII Texte Texte Texte A : Victor Hugo, « J'aime I'araignee », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les reves », (1856). B : Lautreamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11,9 (1869). C : Tristan Corbiere, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). 0 : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887). Texte A - Victor Hugo (1802-1885), « J'aime I'araignee », Les Contemplations, XXVII (1856). J'aime I'araignee et j'aime I'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et

âme sœur qui pense à elle chaque seconde Pour un beau jour se retrouver, Et vivre ce pourquoi nous sommes nés...» Guillaume, «L'amour» C'est l'histoire d'une jeune fille qui vivait dans un petit appartement modeste avec sa mère et ses deux frères, ils n'étaient pas riches mais pas pauvres non plus, elle était heureuse, mais elle sentait qu'il lui manquait quelque chose... I La rentrée [ 09/2013, Nancy__ ] C'est la rentrée, et les élèves