Je Me Révolte Donc Nous Sommes

reconnaissance dans le monde des lettres. Il poursuivra donc ces deux métiers en parallèle, ceux-ci s’interpénétrant, la mine constituant le thème principal de ses œuvres. Il faut attendre l’année 1983, année de parution d’une anthologie[1] de nombreux de ses textes, pour que Constant Malva fasse enfin l’objet de nombreuses critiques et qu’on le reconnaisse comme un écrivain à part entière. A la lecture de cette anthologie, nous nous sommes donc rendue compte d’une grande particularité de Malva :

parisien et devient l’ami de Sartre. Mais des divergences d’opinion finissent par les séparer : alors que Sartre et l’élite intellectuelle défendent des idées d’extrême gauche, Camus s’oppose au communisme qui suppose la révolution. Il se retrouve donc isolé. En 1957, il reçoit le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre. Il meurt trois ans plus tard, en 1960, dans un accident de voiture. Pour la petite anecdote, on a retrouvé dans la poche de l’imperméable de Camus un billet de train

Weber (Le Savant et le politique). L'autorité de l'État au sens propre du terme est de nature légale : elle a une légitimité juridique. Toutefois, dans les sociétés primitives, l'autorité du chef est de nature traditionnelle ou charismatique. Il semble donc possible de concevoir une société encadrée par une autorité de nature différente de celle de l'État. BLe libéralisme politique • Selon le libéralisme politique, les sociétés n'ont en effet pas besoin d'un État. Le libéralisme est une doctrine politique

nous force à nous poser cette question, même si elle peut paraître saugrenue. Ainsi, les révoltes en partie abouties en Tunisie et en Egypte, le succès du petit livre de Stéphane Hessel, le développement en France du mouvement Uncut, le record d’abstention aux élections cantonales et certains sondages récents ne peuvent-ils pas être vus comme les signes avant-coureur d’un possible mouvement de révolte en France, dont les effets de la crise financière, la politique d’austérité menée par le Gouvernement

adjectifs employés par Candide : « le pauvre homme », « l’état horrible », « eh mon dieu » font appel à la sensibilité du lecteur. - Tout ceci est ainsi fait pour mettre en valeur la dignité du nègre face à sa situation d’homme mutilé. Cela suscite donc de l’admiration de la part du lecteur. TRANSISTION : La neutralité du ton n’est évidement pas une marque de sécheresse de cœur de la part de Voltaire mais un outil de dénonciation complété par l’ironie. II) l’ironie Omniprésente 1) le jeu

Clytemnestre parle de liberté et du droit d’aimer avec « nous ». Elle est plus « haut » qu’Agathe. ¤ Travail sur les répétitions, les jeux d’opposition + anaphores et antithèses => comme un réquisitoire pour vivre autrement. ¤ Répliques brèves, donc rythmées. ¤ Détails de la vie quotidienne (linge, pellicules, cirage…) => dérisoires face à la situation qui monte = Argos + Electre en danger ¤ Une situation comique : - contraste prosaïsme / politique meurtrière = disproportion

de ce qu’on peut faire, entre autres possibilités. Existe-t-il un droit à la révolte ? Se révolter c’est opposer à la loi un refus : celui d’obtempérer et de respecter cette loi. Un droit, c’est une liberté garantie par la loi : mes droits sont l’ensemble des libertés que me reconnaît la loi. On voit tout de suite la difficulté : comment la loi pourrait-elle me garantir la liberté de ne pas la respecter ? Si la révolte – c’est-à-dire le refus d’obéir aux lois – est un droit garanti par ces lois

socialise en nous inculquant sa langue et ses codes de conduite. Nous parlons ainsi d’une culture d’origine. Or ceci conduit à penser que nous sommes déterminés par une appartenance que nous n’avons pas choisie et cette prise de conscience peut générer le désir d’échapper à cette première socialisation. Mais un tel souhait, s’il est légitime, est-il possible ? Ne sommes-nous pas condamnés à demeurer, quoi que nous fassions, dans les cadres qui nous ont été inculqués dès l’enfance ? La réponse à cette question

autre nous sommes tous destinés à mourir. Le passage est un long pathétique mais à la fois tragique monologue où s'opposent la croyance et la réalité, la révolte, les pensées enfouies et la nuit estivale mais aussi deux subjectivités : celle du condamné et la condition humaine. Annonce des axes Deux axes de lecture constitueront notre étude, le premier : La révolte de Meursault et le second, le regard de Meursault « l'homme absurde » sur la vie. Commentaire I. La révolte de Meursault

autre nous sommes tous destinés à mourir.      Le passage est un long pathétique mais à la fois tragique monologue où s'opposent la croyance et la réalité, la révolte, les pensées enfouies et la nuit estivale mais aussi deux subjectivités : celle du condamné et la condition humaine. Annonce des axes Deux axes de lecture constitueront notre étude, le premier : La révolte de Meursault et le second, le regard de Meursault « l'homme absurde » sur la vie. Commentaire I. La révolte de Meursault