Jeanne Duval

l'ambivalence de la femme qui pose à son tour cette question. Faut-il adorer ou fuir cet être, tantôt angélique tantôt satanique? Les Fleurs du Mal ne sont pas un recueil destiné à chanter une seule femme il y a donc trois portraits féminins. Celui de Jeanne Duval, puis le portrait d’ Apollonie Sabatier et enfin celui de Marie Daubrun. Il y a aussi beaucoup de figures de femmes venant de la littérature ou de la mythologie, comme Lady Macbeth dans «L'Idéal». La femme n'est pas seulement femme désirée, maîtresse

sensuelle et envoûtante, figure maternelle et aimante, mais aussi beauté inaccessible, allégorie de l'absolu. Les Fleurs du Mal sont divisées en quatre cycles, dont les premiers s'inspirent de trois de ses maîtresses : on distingue ainsi le cycle de Jeanne Duval, le cycle d'Apollonie Sabatier, une semi-mondaine présentée par Baudelaire comme une madone pure et inaccessible, le cycle de la comédienne Marie D'Aubrun, et un quatrième cycle consacré à des femmes diverses, réelles ou fictives. Structure [modifier]

poème la sensation d’admirationdomine. Il éprouve un sentiment fort pour Jeanne duval (femme métisse qu’il aime, il la surnomme la Venus noire). L’amour charnel et la passion sont des sensations que Baudelaire décide de partager avec le lecteur Baudelaire fait l’éloge de Jeanne Duval, nous pouvons le voir grâce à la comparaison qu’il fait de son corps avec « une étoffe vacillante » v.3 Il fait un rappel à l’exotisme de Jeanne duval avec les termes « aux âcres parfums » v.6 « l’élephant » v.24. Ses yeux

poésie romantique, il écrit à Hugo, rencontre Balzac et Nerval. Son voyage de 1841Baudelaire fait escale à l'île Maurice puis s'installe quelques mois sur l'île Bourbon. A une dame créole et Parfum exotique relatent ce voyage. La rencontre avec Jeanne Duval en 1842Cette liaison durera jusqu'en 1856. Entre 1842 et 1844, heureux et libre, il écrit de nombreux poèmes des Fleurs du Mal. La majoritéIl réclame l'héritage de son père mais sa mère le met sous la tutelle de Mme Ancelle qui est chargé de

alexandrins et aux sonorités douces qui bercent le lecteur. Grâce à l’odorat il nous décrit ses sensations et ses souvenirs de son voyage dans les îles mais aussi de Jeanne Duval on peut donc voir ce lieu à travers ses pensées et son rêve. Le poème décrit une île paradisiaque connue par Baudelaire et peut être île natale de Jeanne Duval , il nous la présente au moment du couché du soleil un soir chaud d’automne, l’eau berçante et le soleil monotone et apaisant. Le deuxième lieu est un port , le paysage

inspiré par Jeanne Duval, une créole qui fût sa compagne. Ces deux quatrains et ces deux tercets sont composés d’Alexandrin et l’ensemble relève du registre lyrique. Comment la femme aimée guide-t-elle l’auteur vers un Eden décrit de manière suggestive ? Dans un premier temps nous essaierons de montrer en quoi la femme joue un rôle de guide. Dans un second temps nous nous attacherons à la manière dont Charles Baudelaire décrit ce paysage Edénique. La femme, en l’occurrence Jeanne Duval n’est pas

envoûtante, figure maternelle et aimante, mais aussi beauté inaccessible, allégorie de l'absolu. Ce poème le Serpent qui danse est dédié à Jeanne Duval, une des maîtresses et principales muses de l’auteur, une jeune métisse surnommée la Vénus noire, rencontrée à Paris en 1842. A travers l’animalisation (métaphore animale) du serpent qui danse, Baudelaire sublime Jeanne. Nous verrons dans un premier temps que ce poème est une éloge de la femme aimée, puis nous montrerons qu’il célèbre l’union amoureuse

Le serpent qui danse Le Serpent qui danse évoque l'amour charnel et passionnel entre Jeanne et le poète. Dans le poème, le «je» s'adresse à un «tu». Le « je » est le poète et le « tu » est Jeanne Duval, Charles Baudelaire s'adresse donc directement à elle et le tutoiement indique une intimité. Il y a donc une proximité dans le vécu mais aussi une proximité spatiale. L’importance du champ lexical du corps Strophe 1 : vision globale du corps Strophe 2 : chevelure, symbole de la féminité Strophe

août 1867, il meurt, à 46 ans dans la clinique du docteur Duval. Il est alors inhumé au cimetière Montparnasse le 2 septembre. {draw:frame} {draw:frame} {draw:frame} - Charles Baudelaire rencontra Jeanne Duval en 1842, lors de son retour en France après son long voyage. C’était une grande femme métisse, qu’il surnomait sa « Vénus noire ». Baudelaire l’aimait passionément, malgrès que leur relation soit houleuse. Jeanne Duval a particulièrement inspiré Baudelaire pour écrire les poèmes

du recueil Les Œuvres fait l’éloge de la femme aimée par le poète un matin au lever du soleil, il la divinise, en l’élevant au même niveau qu’une « Nymphe divine », comme Baudelaire dans « sed non sasiata » qui qualifie son amante Jeanne Duval de « Bizarre déité ». Jean-Baptiste Joseph Willart de Grécourt, dans son sonnet « Le bien vient en dormant », préfère observer la femme qu’il aime Climène dormir sur un hamac pendant un rand jour d’été. Il en profite alors pour observer sa dulcinée et finit