John Locke La Loi

des pouvoirs en Grande-Bretagne « Ceux qui exercent le pouvoir législatif ou le pouvoir suprême dans une communauté doivent gouverner selon des lois stables, rendues publiques et connues du peuple, et non par des décrets improvisés. » écrivait John Locke dans les "Deux traités sur le gouvernement civil", 1690. Il énonce que la séparation des pouvoirs est un principe de répartition des différentes fonctions de l'État, qui sont confiées à différentes composantes de ce dernier : le pouvoir législatif

ses propres convictions. C'est aussi la vertu qui porte à se montrer vi- gilant tant envers l'intolérance qu'envers l'intolérable[1]. Toute liberté ou tout droit implique nécessairement, pour s’exercer complètement, un devoir de tolérance. Selon John Locke, la tolérance signifie « cesser de com- battre ce qu'on ne peut changer ». Selon certains moralistes, la notion de tolérance est asso- ciée à la notion absolue de bien et de mal. La tolérance s’exerce lorsqu'on reconnaît qu'une chose est unmal,

l’individu avait des droits basés sur d’autres fondements que la seule tradition. On parle alors d’avènement du sujet pensant, en tant que l’individu peut décider par son raisonnement propre et non plus sous le seul joug des us et coutumes. Ainsi, John Locke rédigea ses deux Traités du gouvernement civil dans lequel il avance que le droit de propriété n’est pas familial, mais totalement individuel et retiré du travail consacré au terrain concerné, ainsi que de sa protection face à autrui. Une fois l’idée

credo de la démocratie libérale ». Selon l’idée du Professeur Turpin, la séparation des pouvoirs est, dans une démocratie libérale, un idéal à atteindre pour réguler la pratique du pouvoir, un mythe historico philosophique. D’abord théorisé par John Locke, puis par Montesquieu dans L’esprit des Lois en 1748, ce principe connaît une division classique en trois pouvoirs : le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire. Montesquieu, bien que son propos ait été sur interprété (il

ensemble d'idées qui propose un système d'organisation social (exemple: Marx >> prolétaires de tout pays unissez vous). I- Le libéralisme 1°- le libéralisme politique libéralisme politique nait avant le libéralisme économique. Théorisé par John Locke avec un Second traité sur le gvt civil, l'homme est un homme avant de vivre en société, il n'a pas besoin de la société pour être un homme, l'état est un état de malaise l'homme est toujours "animé d'inquiétude" car il se projette vers le futur

pas absolue, des limites sont posées, afin de protéger l’intérêt de tous, et afin de ne pas priver autrui de sa propre liberté. Les limites de la liberté sont fixées par une loi. En effet, sans loi, il n’y a aucune liberté. John LOCKE parle de la loi telle qu’elle est pensée dans la DDHC, cette pensée est celle qui fait que la loi est utilisée comme un instrument visant à maximiser les libertés de tous les individus. Le principe « liberté », veut que tous les individus naissent et demeurent libres et

l'exécutif traditionnels, législatif et judiciaire, est l'un des principes plus importants l'état de droit depuis le XVIIIe siècle. La division tripartite des pouvoirs conçu à l'origine par John Locke et Montesquieu, conduit à une analyse des fonctions de l'Etat, qui a finalement porté et tournait autour de la loi (création, mise en œuvre, l'interprétation). Cette division est justifiée en tant que le seul moyen d'assurer la liberté et les droits individuels. Toutefois, après plus de deux siècles

de justice naturelle d'Aristote. La date des débuts formels du libéralisme ou de ses composantes politiques, économiques ou religieuses diffère selon les auteurs. De nombreux auteurs font débuter le libéralisme avec la Lettre sur la tolérance de John Locke (1689) qui complète les racines préexistantes. Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales

annonce de la problématique - annonce du plan Pas de conclusion. Constitution sert à définir la forme de l’état, les principes sur lesquels repose l’origine politique ( souveraineté nationale, séparation des pouvoirs) c la norme suprême. C une loi fondamentale. C une constit ou y un melange entre souveraineté nationale et populaire. Constitution crée par le pvr constituant originaire. Souveraineté nationale : on élit des représentants pour élire des lois. souveraineté Populaire : le peuple

fait qu'elle a préparé l'avènement de la modernité politique. C'est ici, en effet, que Bodin élabore le concept clé de l'État moderne : la souveraineté, à partir duquel sera remodelé l'espace théorique de la pensée politique. « Hobbes, Pufendorf, Locke, Rousseau, Kant, et, jusqu'à nos jours, philosophes et juristes y feront référence ». Dès sa publication, Les six livres de la République, a connu un immense succès. Dans cet ouvrage Bodin invente l’Etat moderne. Invention toute théorique, car invention