José Corti

Subversion of Power, in : Knapp, B. L. (éd.) : Critical Essays on Marguerite Duras. G. K. Hall & Co., New York. Marini, M. (1977) : Territoires du féminin. Avec Marguerite Duras. Éditions de Minuit, Paris. Pierrot, J. (1986) : Marguerite Duras. Librairie José Corti, Paris. 17 

quelle que soit la nature des ces informations : événements, descriptions, jugements moraux, remarques philosophiques, faits ou idées... 18. Pour la restriction de champ chez Stendhal, cf. Georges Blin, Stendhal et les problèmes du roman, Paris, José Corti, 1954. des temps, des modes, de la longueur des phrases, des figures de rhétorique... Les caractéristiques de la façon d’écrire d’un écrivain, qu’elles relèvent du style ou des choix techniques, définissent ce qui est aujourd’hui appelé l’écriture

dans L’Improbable. Bonnefoy le « prend au sérieux », mais pour en faire un contre-exemple de la tâche poétique. Sa poésie se fonde entre autre sur un « rejet héroïque » de Valéry, comme l’écrit Michèle Finck (Yves Bonnefoy, le simple et le sens, José Corti, 1989) 9 Charles Baudelaire, « L’œuvre et la vie de Delacroix », dans Œuvres Complètes (OC), édition de Claude Pichois, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, t. 2, 1976, p. 754 Les « Tombeaux » de Mallarmé page 9 sur 17 Et si ce ne sont pas

vue, La Scène capitale serait le pendant sanctificateur de Paulina 1880. ----------------------- [1]. P.J. Jouve, Proses, Mercure de France, 1960, p. 105. [2]. M. Raimond, La Crise du roman des lendemains du naturalisme aux années vingt, Paris, José Corti, 1966. [3]. P.J. Jouve, "Commentaire à Vagadu", La Nouvelle Revue Française, juil.-déc. 1931, p. 927. [4]. L. Bruder, "La Scansion de l'interrègne", L'Autre, 1992, p. 89-90. [5]. R. Micha, Pierre Jean Jouve, Poètes d’Aujourd’hui, Seghers, 1971

Niane, Chaka, Ed. Pierre Jean Oswald, Honfleur, 1971, p. 73. [10] Ibid, p. 74. [11] S. Badian Kouyaté, op. cit., p. 99. [12] Ibid, p. 191. [13] D. T. Niane, op. cit., p. 69. [14] Gilbert Durand, Le décor mythique de la Chartreuse de Parme, José Corti, Paris, p. 46. [15] Ibid, p. 47. [16] D. T. Niane, op. cit., p. 78 [17] Le 3 mai 1976, Samora Machel, président de la République du Mozambique, prononçait un discours très important qui mettait son pays en état de guerre contre le régime d’Ian

Paris, Gallimard. ——————, (1958), Théâtre II, Paris, Gallimard. ——————, (1954), Théâtre I, Paris, Gallimard. Rykner, Arnaud, (2010), Les Mots du Théâtre, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail. ———————, (2000), Paroles Perdues, Paris, José Corti. Sénart, Philippe, (1964), Ionesco, Paris, Editions Universitaires. 60 Plume 32 Tabatabai, Sara TABATABAI, (2010), «Artaud et le Théâtre oriental», Plume, Vol. 6, n°11, pp. 108-122. URL: http://www.revueplume.ir/article_48828.html?lang= fa

Stein, « Victor Hugo vient de mourir. Les Funérailles du siècle », dans Dans les secrets de la police, éditions l'Iconoclaste, 2008, (ISBN 9782913366206). Anne Ubersfeld, Le Roi et le Bouffon, étude sur le théâtre de Hugo de 1830 à 1839, Librairie José Corti, 1974. Frank Wilhelm, Victor Hugo et l'Idée des États-Unis d'Europe, Luxembourg, éd. par les Amis de la Maison de Victor Hugo à Vianden, 2000. Notes et références Notes ↑ Certains biographes donnent la date du 28 juillet - vide Annette Rosa

Gallimard, 1974, p. 200. 53 Enriquez, De la horde à l’Etat, op.cit., p. 24. 54 Ibid., p. 25 55 Ibid., pp. 25-26 56 ibid., p. 26 57 Id. 58 Ibid., pp. 27-28. 59 Ibid., pp. 26-27 60 G. Bachelard, La psychanalyse du feu, Gallimard, 1938, p, José Corti, 1942, p. 39. 61 Enriquez, De la horde à l’Etat, op.cit., p. 28. 62 E. Enriquez., « Du crime au groupe, du groupe à l’Etat », Pouvoirs, n° 11, 1979. 63 Enriquez, De la horde à l’Etat, op.cit., p. 31. 64 Ibid., p. 33. 65 Certeau, op.cit

à lui seul à accéder à la connaissance aboutie de l’auteur et de son œuvre. Il faut pour cela qu’intervienne à ses côtés la pensée, qui alors va permettre le recul et la 1 POULET Georges, La conscience critique, quatrième édition, Paris : éd. José Corti, 1998.2 distance nécessaire à la perception de l’unité de l’œuvre et de ses contours. Chez madame de Staël, c’est dans la douleur, l’expérience de la privation semblable à celle vécue lors d’un échec amoureux, que surgit la pensée, pensée d’un

partance ou en quête identitaire, ce je se perd dans ses mouvements, demeure insaisissable. Impossible de l'arrêter, parfois même de le voir; il est vrai que ce qui bouge devient parfois simple flou. 46 Jean-Michel Maulpoix, Du lyrisme, Paris, Éd. José Corti, 2000, p. ]6. 47 Jean-Michel Maulpoix, « La quatrième personne du singulier », dans Figures du sujet lyrique, sous la direction de Dominique Rabaté, PUF, 1996, p. ]48. 48 Ibid., p. J50. 111 On dit que le sujet lyrique n'existe pas. C'est