Judith Butler

William Butler yeats -William Butler Yeats (1865-1939) was born in Dublin. -His father was a lawyer and a well-known portrait painter. -Yeats was educated in London and in Dublin, but he spent his summers in the west of Ireland in the family's summer house at Connaught. - The young Yeats was very much part of the fin de siècle in London; at the same time he was active in societies that attempted an Irish literary revival. His first volume of verse appeared in 1887. -Together with Lady Gregory

passé de la sœur durant cette guerre. Mon axe de lecture démontre l’hypocrisie des personnages de la diligence. Dans la première partie, les personnages de la diligence compare Boule de Suif qui est une prostituée à de grands personnages tels que Judith et Holopherne (p.80,l.3), Lucrèce ou encore Cléopâtre (p.80,l.4). Accompagné d’un champ lexical portant sur la guerre avec des mots comme généraux, ennemis (p.80,l.5), esclave (p.80,l.6), lieutenants, mercenaires (p.80,l.10), un champ de bataille

noir l'isole * de l'essentiel de son être". (2). Le détail du ruban peut être rapproché d'un thème cher à LEIRIS : la décollation. Dans son premier ouvrage autobiographique, L'Age d'homme, ce thème apparaît à travers l'évocation du récit de Judith et Holopherne (3), celui de Salomé et le récit de rêves. Dans Le Ruban au cou d'Olympia, on retrouve ce même thème (que l'on peut aisément mettre en parallèle avec celui des mutilations (4) chirurgicales que LEIRIS nous décrit ). La question posée

Manane Khodja 3°3 Recherche : ‘‘Judith et Holopherme’’ : Judith et Holopherne est une peinture à l'huile, rehaussée d'or plaqué. Gustav Klimt peint Judith et Holopherne en 1901. Le tableau est conservé à l'Österreichische Galerie Belvedere de Vienne, en Autriche[1] Description de l‘œuvre : Nous pouvons constater une femme qui nous regarde de travers , en dirait qu’elle ricane . Elle a la bouche ouverte, montrant un signe de sensualité . Elle est sein

Caravage, haussant d’un ton : Caravage ! Rubens : Veuillez m’excuser, j’ai la mémoire courte ! Caravage : Bon je vais vous parler de.. Nom d’une œuvre + description et analyse rapide → Affichage de Judith et Holopherne sur le power point au tableau Caravage (parle de son œuvre Judith et Holopherne : nom + description + analyse) Rubens (ne s'étant pas encore retourné, se retourne, il est choqué) : Ah ! Mon Dieu ! Je n'ai jamais vu une telle force se dégager d'un quelconque tabeau. C 'est

John Butler qu'elle fut attribuée, et est encore aujourd'hui un des plus précieux objets qu'il possède. En 1996, John Butler s'inscrit à la Curtin University de Perth où il suit des enseignements pour devenir professeur d'art. Il y suit notamment des enseignements sur les accords ouverts, ce qui lui permet de jouer de la musique celtique et indienne. Au milieu de l'année 1996, en réponse à l'enthousiasme dégagé par le public de Perth quant à la musique qu'il joue dans la rue, John Butler, sort

 :     1. La  figure  de  la  femme  comme  objet  linguistique  chez  Lacan   2. Hegel  et  le  principe  de  reconnaissance  dans  la  parenté   3. Vision  reprise  par  Butler     II. Les  raisons  liées  à  la  parenté  pour  lesquelles  Antigone  va  à  l’encontre  de  ce  qui  est   «  normal  »  pour  les  autres  :     1. Hegel  et

Exposé FINAL PHILO.docxMonique Wittig : le féminisme matérialiste et l’hétérosexualité obligatoire Judith Butler, Trouble dans le genre, p. 242-245. Introduction : Monique Wittig (1935-2003) est connue pour son expression « Les lesbiennes ne sont pas des femmes » prononcé en 1971 à l’occasion de la naissance du MLF. Très vite, Wittig et tout un collectif dénonce l’hétéro sexisme de ces mouvements (féminismes et mouvement du FAHR). Pour elles, ces pratiques militantes et leurs discours construisent

progressivement évincé le paradigme initial organico-biologique jusqu’à le délégitimer à son tour puisque le genre devient, dans cette perspective, le fondement ultime du sexe. Dans cette nouvelle et ultime perspective de recherche sur le genre social, Judith Butler féministe post post-moderne définit ainsi le genre : il est le résultat d’une pratique ( « a doing » ) que l’on peut déconstruire (puisque l’on peut en dresser la généalogie) qui a vocation à naturaliser l’identité sexuée et sexuelle de la personne

ironise sur le fait que les différences entre les hommes et les femmes viennent de nos gènes et que nous ne pouvons pas luttés contre, que les hommes savent lire les cartes routières et les femmes sont bavardes et habiles de leurs dix doigts. Judith Butler dans son article Nous ne sommes pas sexuellement déterminés nous dit que l’école, l’église et la famille renforcent l’idée que les hommes et les femmes sont différents et que dés la naissance, l’enfant apprend à percevoir ce qui est acceptable