Judith Butler

par cette fameuse phrase “quand dire c’est faire”. Face à ces prises de position, la philosophe féministe Judith Butler estima quant à elle que MacKinnon et Dworkin s’étaient égarées. Dans Le Pouvoir des mots, elle expliqua comment McKinnon avait fait « le postulat que l’image pornographique opère comme un impératif, et que cet impératif a le pouvoir de réaliser ce qu’il prescrit ».[5] Si Butler fut également fortement influencée par les théories d’Austin, sa perception du langage pornographique fut

légalisation de l'activité et ceux qui sont partisans de son interdiction3. Ainsi, la philosophe américaine Judith Butler affirme que « toute féministe digne de ce nom devrait s'occuper de la syndicalisation des prostituées » et regrette que les positions abolitionnistes et prohibitionnistes privent « de la capacité de consentir »4,5. À l'inverse, la juriste Catharine MacKinnon affirme que « Judith Butler et les autres sont seulement des voix pour une certaine forme de misogynie et de déni » et souligne

de consommation mais en fait il interroge la société sur la manière dont elle ostracise les minorités rejoignant le thème très actuel de la reconnaissance traité par Axel Honneth, Paul Ricoeur, une héritière américaine de Foucault, Judith Butler. Pour Judith Butler et selon le petit livre d'Haud Guegen et Guillaume Malochet sur les théories de la reconnaissance, la question du droit à la reconnaissance doit être précédé d'une réflexion sur le droit à être reconnu, sur la reconnaissabilité. La reconnaissabilité

répartition s’effectue-elle de façon naturelle ou est-elle une construction sociologique ? Justifiez votre réponse. (2 points)Exercice 3Les médias sociaux à la fois reflètent et produisent le genre. Selon la philosophe américaine Judith Butler, le genre est avant tout le résultat d’une «performance », c’est-à-dire d’un ensemble d’actes et de pratiques qui sont continuellement répétés bien que largement impensés. Être une fille ou être un garçon résulte ainsi de quelque chose que l’on

sexualité des deux courants de pensée : le confucianisme et le boudhisme, Les arguments de Judith Butler et de Michel Foucault sont pertinants pour expliquer la construction de la sexualité en Occident, mais pour l’Asie de l’Est, leurs théories ne semblent pas compatibles. En conséquence, il faut faire attention en appliquant les idées de ces grands penseurs au cas de la Corée. Quelques arguments de Judith Butler de dans Gender Trouble et des arguments de Michel Foucault dans L’Hisoire de la Sexualité

ce choix dépend de lui. L’homme est libre d’être qui il veut. C’est d’ailleurs ce que pense Judith Butler, philosophe américaine. En effet, celle-ci met dans avant dans Trouble dans le genre, 1990, l’absence de déterminisme de l’identité sexuelle. Nous pouvons alors remarquer que cette thèse de Judith Butler s’oppose à celle de Baruch Spinoza qui lui voit l’individu soumis au déterminisme. Selon Butler, l’homme possède une identité multiple ce qui lui permet d’être différentes personnes. Ainsi

genre que Butler inscrit la possibilité de la libération. À partir du jeu tragi-comique, Butler infléchit la définition du genre comme jeu de rôle vers la notion de performance, en déployant sa polysémie. Au sens du théâtre, il s’agit de l’accomplissement d’un rôle pré-écrit. Le spectacle dramatique est ainsi le modèle d’une action qui défait les contraintes de la vie en les rejouant sur le mode spectaculaire. Mais il s’agit aussi d’une action. La notion de «performance» permet à Butler de passer

hommes. Et si les femmes osaient publier, elles le faisaient sous un pseudonyme. Pour illustrer ses propos, l’auteure utilise un scénario fictif en créant Judith Shakespeare, une sœur imaginaire à William Shakespeare, douée d’un talent littéraire similaire à son frère. Elle imagine son parcours de femme au 16ème siècle et conclut que même si Judith publierait ses œuvres et arriverait à atteindre le succès littéraire, elle en serait devenue folle par les nombreuses contraintes de la société de son époque

und Performativität . . . . 8 3.2.1 Die Kunstperformance . . . . . . . . 8 3.2.2 Die Performativität . . . . . . . . . 9 3.3 Auseinandersetzung mit der Theorie von Performativen Akten und Geschlechter- konstitutionen von Judith Butler . . . . . . . . 10 4.Die feministische künstlerische Ansätze in der „Shooting Sessions“ . . . 11 4.1 Der Feminismus als Kunstbegriff . . . . . . . 12 4.2 Vergleiche mit bedeutenden weiblichen Performers: Valie Export und Ulrike

argumentatifs extraits de magazines : «  Le cerveau n’a pas de sexe  » de Catherine David paru dans le Nouvelle Observations en 2005, qui dénonce le retour du cliché sexiste et «  Nous ne sommes pas sexuellement déterminé » de Judith Butler par dans l’Express en 2005 qui dénonce aussi ces clichés. Ce corpus est complété par un extrait de roman «  Les Armantes » de Elfriede Jelinch en 1975 qui caricature la place de la femme autrichienne et un dessin d’Hubert Blatz «  C’est Dieu qui