Juge de l'application des peines

CP. Il y a une éventuelle instruction préparatoire : Enquête, info judiciaire. Puis jugement devant plusieurs juridictions (cour d’assise, tribunal correctionnel, tribunal de police pour les contraventions). Depuis le 15 juin 2000, application des peines devant le JAP. Il existe des subdivisions au sein de cette distinction. Le DPG détermine les règles applicables à la mise en œuvre de la responsabilité pénale et à la finalité de cette responsabilité (sanction pénale). Pour le droit pénal de

d'affectation Le ministre de la justice dispose d'une compétence d'affectation des condamnés dans toutes les catégories d'établissement. Sa compétence est exclusive pour les affectations dans les maisons centrales :- des condamnés à une ou plusieurs peines dont la durée totale est supérieure ou égale à dix ans et dont la durée de l'incarcération restant à subir au moment où leur condamnation ou la dernière de leurs condamnations est devenue définitive est supérieure à cinq ans ;- des condamnés à raison

correctionnel, la procédure est publique et orale. Les débats ont lieu devant trois juges, sauf pour certaines affaires, moins graves, qui peuvent être jugées par un juge unique. Saisine du tribunal Le tribunal correctionnel  peut être saisi par : • le procureur de la République (lui-même éventuellement saisi par la victime), • le juge d'instruction, • la victime, par citation directe  (invitation à se présenter devant le tribunal) faite par l'intermédiaire d'un huissier, Comparution

coupable. De plus, il se caractérise par son extrême sévérité des peines et fait une distinction ente les délits publics et les délits privés. - Le droit pénal à l’époque franque (Entre le 5ème et 9ème siècle) nous a lui aussi marqué : Il en ressort des peines d’élimination pour les infractions qui menacent la structure du groupe et des peines de composition pour les infractions qui lèsent les membres du groupe. A cette époque les peines étaient extrêmement sévères. Le simple fait de ne pas craindre

Exposez les principes de légalité des incriminations et des peines Idée maîtresse : Les instances jud ne peuvent connaître que des faits définis par la loi comme étant une infraction. Les juridictions de jugement ne peuvent quant à elles prononcer que les peines édictées par la loi pour sanctionner les infractions. Plan : le principe de légalité des incriminations principe conséquences le principe de légalité des peines principe conséquences Annonce du plan : Dans notre système

pénal détermine aussi les sources et les ppes d’application de la loi dans le tps et dans l’espace. 2. Le droit pénal spécial. Il permet l’application des ppes énoncé par le droit pénal général a chacune des infraction prévus par les textes d’incrimination. Il définis de manière précise l’élément matériel et moral de chaque infraction et énumère les peines attachées a l’infraction. Le droit pénal spécial s’est lui-même subdivisé en plusieurs branches. 3. La procédure pénal. C’est le droit

(des surveillants jusqu’aux officiers); * soit sur des épaulettes pour l’uniforme de cérémonie du personnel de direction (les directeurs n’ont pas d’uniforme usuel et travaillent en civil) et pour le personnel de surveillance. L’exécution des peines : L’administration pénitentiaire prend en charge les personnes placées sous main de justice. Les mesures prononcées à leur égard interviennent avant ou après jugement et sont exécutées soit en milieu fermé, dans les prisons, soit en milieu ouvert

société. Il est ainsi parfois considéré que le phénomène criminel comprend deux éléments : l’abstraction juridique (qui vise le fait troublant l’ordre social) et la réalité humaine et sociale (afin de protéger au mien l’individu qui comparait devant le juge). La combinaison de deux exprime pleinement le phénomène. Le phénomène criminel est étudié par les criminologues. Ils étudient plusieurs parties : Premièrement, ils analysent la criminalité en fonction de statistiques et il répertorie les infractions

d’informer la personne de certaines informations, s’il ne le fait pas la sanction qui peut lui être opposé c’est la déchéance des intérêts. Il existe aussi les sanctions fiscales ou administratives, ce ne sont pas des peines. II. Le principe de l’égalité des délits et des peines Ce principe signifie que c’est forcement la loi qui détermine ce qui peut être sanctionné pénalement. Pour qu’il y ait une peine il faut une loi. C’est un principe fondamental. C’est le garant de l’état. Il permet

Partie 1. Les peines restrictives de liberté Les peines les plus prononcées sont le sursit avec la mise a l'épreuve et les TIG. Les peines restrictives restreignent la liberté ne la prive pas, on appelle ca dans les autres pays peines et mesures effectuées dans la communauté. Les gens sont dehors, pas en prison. Le point commun de ces peines est que les gens ne sont pas incarcérés mais avec nous en liberté mais avec des contraintes et des controles. L'idée est que l'incarcération coute très