Juge Judiciaire Gardien Des Libertés Individuelles

1789 qu'on considère qu'il faut protéger l'État. Il y a une garantie des libertés fondamentales La hiérarchie des normes doit être respecter. Les 3 éléments qui permettent de parler d'un état de droit : ° Le respect de la hiérarchie des normes (Norme suprême : C°) ° Soumission de l'état au droit pour limiter le pouvoir de l'état. Il faut une égalité entre les personnes morale et/ou physiques ° Garantie des libertés (La justice doit être indépendante !) Aujourd'hui, pour parler d'un état

§4. Recours aux concepts flous. 18 Section 2 «le temps du juge ». 18 Section 3 « entre sécurité et équité ». 19 Section 4 « un chaos organisé ». 20 Chapitre V « la sécurité comme condition de la liberté ». 20 Section 1 «l’aporie fondamentale de l’éthique individualiste moderne». 20 Section 2 « la liberté comme indépendance radicale ». 21 §1. La loi comme ingérence. 21 §2. Un mariage à la carte. 21 Section 3 « la liberté comme autonomie ». 22 Chapitre V « l’argumentation comme sécurité »

2nd semestre Origine de la distinction entre faute personnelle et faute de service. * Arrêt Sieur Pelletier, TC 30/07/1873 : En se fondant sur le principe de la séparation, on va estimer que l'agent ne peut être poursuivi devant les tribunaux judiciaires que pour faute personnelle. Est ainsi posée la distinction entre faute personnelle et faute de service. On oppose parmi les fautes commises par les fonctionnaires la faute de service qui engage la responsabilité de l'administration de la faute personnelle

civil français. Ils étaient les droits germaniques institués en 1900 par le code civil allemand. Ils concèdent une conception identique à la règle de droit et confère un caractère général à la règle, càd résolution des problèmes en laissant au juge un petit pouvoir d'appréciation en partant d'une règle générale. Il y a interprétation de la règle selon le cas. Les systèmes de jurisprudence de la doctrine complètent la règle de manière importante. Les droits romano-germanique s’opposent aux

LIBERTES FONDAMENTALES M. Vincent CATTOIR-JONVILLE Anciennement les libertés publiques, c'est une matière au carrefour du droit public et du droit privé. BIBLIOGRAPHIE Manuels : Jacques ROBERT et Jean DUFFAR, Droit de l'homme et libertés fondamentales, Montchrétien Jean RIVERO, Libertés publiques, PUF, coll. Témis, 2 tomes Claude-Albert COLLIARD et Roseline LETTERON, Libertés publiques, Dalloz, coll. Précis Claude LECLERCQ, Libertés publiques, Litec Dominique TURPIN, Les libertés publiques

aussi les obligations ou devoirs des autres. Le sujet actif est le titulaire du droit et le sujet passif est tenu dune obligation, les droits nont de significations que par rapport a autrui. Guestin dit que le droit est une restriction legitime a la liberté d’autrui. nous allons etudier les principaux droits subjectifs. PREMIERE PARTIE : LES DROITS SUBJECTIFS Le droit subjectif est un pouvoir dont dispose une personne plus particulierement c’est lattribution par la règle de droit d’un pouvoir d’imposer

trancher la contestation avec des règles plus ou moins complexes. L’Occident s’est doté d’un organe particulier pour résoudre ces litiges. C’est la figure du juge, indépendant autonome qui s’est imposée comme une solution. Le terme constitutionnel permet de se poser la question de l’identification du juge constitutionnel. S’agit-il d’un juge de droit commun ou de tous les conflits ? Le terme constitutionnel lui octroie une certaine spécificité, une forme et un objet particulier, régler de manière

la jurisprudence Ils vont Rompre avec l’exégèse et Proposent de bâtir une théorie sur la pratique jurisprudentielle. Des jurisconsultes doivent observer et coordonner la jurisprudence. Ils défendent une démarche expérimentale et un traitement judiciaire de la réalité sociale naissance d’une sociologie juridique Raymond Saleilles 1855-1912 Grand juriste français 1855-1912 Proche de Gény et de l’école de la libre recherche scientifique Professeur d’histoire du droit à Grenoble

Droit des libertés fondamentales libertés. Introduction : Cet intitulé est le résultat d’une évolution il c’est substitué à l’intitulé « liberté publiques » depuis un arrêté de 93 confirmé en 97. Ce changement ajoute à une confusion terminologique qui caractérise la doctrine. En effet la bibliographie montre que sur ce pt le voc varie avec les auteurs : certains d’entre eux parlent de drt de l’homme, d’autre de libertés pub et enfin drt et libertés fondamentaux. Ces désaccord sur les termes

Sarkozy, une réforme en profondeur de toute la procédure pénale a été initiée en 2009. Les différents aspects de cette réforme seront successivement abordées dans le cours. Cependant, madame Michelle Alliot-Marie , actuelle ministre de la justice des libertés ( garde des sceaux ) , a reconnue le 13 mai 2010 qu'il était possible que la réforme ne soit pas votée avant 2012 " en raison d'un éventuel encombrement du calendrier parlementaire " . I ) L'objet de la procédure pénale La procédure pénale