Jugement De Goût

au cœur de la Critique du Jugement au sens large, en tant que faculté de juger en général au sens plus étroit de jugement sur le beau. Qu'est-ce que le beau? Tout simplement ce qui plaît, c'est le point de départ de Kant. Mais dans ce qui plaît, l'accent n'est pas mis sur le plaisir, mais sur le jugement. Je produis en moi une idée par rapport à laquelle je définis mon goût. Cette idée est esthétique et symbolique. Elle ne dépend pas de l'objet concret, mais de mon jugement autonome, Elle ne cherche

Faculté de Juger, §7, Kant nous expose les différents types de jugements (jugements logiques, les jugements des sens) ensuite il nous explique très clairement c’est qu’est un jugement de goût (jugements qui attribuent le beau et le sublime) puis il fait une comparaison du beau avec l'agréable. Les jugements de goût sont esthétiques: dans les jugements de goût, la représentation est rapportée au sujet, et non à l'objet. Dans les jugements des sens (ceci m'apparaît rouge, j'entends un bruit), la représentation

réfléchissante De la finalité des formes de la nature considérées comme autant de systèmes particulier De la technique de la faculté de juger comme fondement d'une technique de la nature De l'esthétique du pouvoir de porter des jugements appréciatifs Du jugement d'appréciation téléologique De la recherche d'un principe de la faculté de juger technique Introduction encyclopédique de la critique de la faculté de juger dans le système de la critique de la raison pure Division de la

faculté de juger. Dans cet extrait de l’œuvre Critique de la faculté de juger Kant cherche à montrer ce qui fait la spécificité du jugement de gout quand il porte sur le beau. Ici, il s’agit donc de distinguer le beau de l’agréable en montrant d’une part le fait que le beau ne soit pas simplement l’esthétique, et d’autre part en montrant que le jugement de goût portant sur le beau doit être totalement désintéressé si il veut être juste. Le problème posé ici est donc la notion du beau. Car comme

Le bon goût Introduction :  Goût vient du latin gustus, « action de goûter, dégustation; saveur » On entend par goût l'appréciation purement esthétique d'une chose ; cela arrive lorsque je la juge non en fonction de son utilité ou de sa valeur morale, mais en fonction de ce seul critère : « Me plaît-elle ou non ? ». Les objets sur lesquels s'exerce le goût sont les objets qui se laissent appréhender seulement par les sens, ou par la sensibilité. Ces objets peuvent être des couleurs (tableaux

hautement. Il peut certes faire comme si cela lui plaisait à lui aussi, afin de ne pas être considéré comme dépourvu de goût; il peut même commencer à douter d’avoir assez formé son goût par la connaissance d’une quantité suffisante d’objets de ce genre (de même que quelqu’un qui croit reconnaître au loin une forêt dans ce que tous les autres aperçoivent comme une ville doute du jugement de sa propre vue). Mais, en tout cas, il voit clairement que l’assentiment des autres ne constitue absolument pas une

— La satisfaction qui détermine le jugement de goût est totalement désintéressée On nomme intérêt la satisfaction que nous associons à la représentation de l’existence d’un objet. Une telle représentation se rapporte donc toujours en même temps au pouvoir de désirer, comme son principe déterminant, ou en tout cas comme se rattachant nécessairement à son principe déterminant.

 Philosophie de l'Art Cours 2 : 19/09 Définition de l'Art ? - L'Art doit il être soumis a la Morale ? L'Art est il porteur de Vérité ? La valeur d'Art 1er problème : Le problème du goût Le problème du goût est central dans la philosophie esthétique/théorique moderne. Jusqu'au XVIIIe s on considérait l'Art comme un petit monde dans un monde plus grand. Il y a des règles d'Art qui fond partie du monde, qui sont inscrites dans l'ordre des choses ( le nombre d'Or

Introduction à l’étude de l’essai De la norme du goût, Hume Il fait parti des Essais Esthétiques comment faut-il concevoir notre jugement de goût ? Hume se confronte donc à une question épineuse dans ce texte : doit-on se contenter d’un constat qui est que tous les jugements de goûts des individus sont différents entre eux et qu’on ne peut rien dire au-delà de ce constat ? Les individus jugent différemment une même œuvre d’art et on a l’impression qu’on ne peut pas aller au-delà de ce constat

SUJET : « Dire c’est beau, est-ce opérer un jugement ? » Qu’est ce que la beauté ? Chaque sujet peut avoir un avis différent sur la question. Je peux trouver telle ou telle chose belle ou non, cela variera selon chaque individu. Le jugement peut par une preuve concrète se vérifier, mais la validité du jugement esthétique, quant à lui, ne saurait totalement exister car elle pose la question du point de vue : pouvons nous réellement discuter des goûts et des couleurs ? Peut-on définir ce qu’est