Jugement De Goût

ieJugement et critique Peut-on juger objectivement les pratiques culturelles? Transition Peut-on néanmoins concevoir une possibilité de jugement de valeur concernant les produits de la culture ? Les civilisations se caractérisent par des formes d’art, des pratiques et des traditions religieuses, soumises à une évolution plus ou moins lente déterminée soit par les innovations techniques, pour ce qui est des arts, ou par les bouleversements de mœurs et les renversements idéologiques, pour les

Devoir de Philosophie Kant, Critique de la faculté de juger, § 32 Dans La Critique de la faculté de juger, Kant consacre toute une partie au jugement de gout, fondement principal de l’esthétique. Comme l’a définit Baumgarten, l’esthétique est la science du beau. Science nouvelle qui, de surcroit, peut amener l’homme vers un autre type de connaissance : celle qui relève du sensible. Contrairement à Descartes qui pense que les sens ne peuvent pas faire l’objet d’une science absolue car ils ne donnent

la Critique de la raison pratique et la Critique de la faculté de juger, fait ainsi l'objet d'appropriations et d'interprétations successives et divergentes. Le jugement esthétique[modifier] Le but de Kant n'est pas de proposer des normes du beau, mais d'expliquer pourquoi une chose est belle, et en quoi consiste un jugement de goût. Le beau serait un produit du sens esthétique. En ce sens, ce qui est beau, ce n'est pas un objet, mais sa représentation. Kant en donne les définitions suivantes

précédents. Quand je dis "ce tableau est beau", j’énonce un jugement de goût. Mais les jugements de goût sont des juge- ments très étonnants et même paradoxaux. Car ils prétendent être vrais univer- sellement : en disant ce "tableau est beau", je veux dire que tout le monde doit partager ce sentiment; mais d’un autre côté, ces jugements ne peuvent pas être démontrés. Si, devant un tableau que je juge beau, quelqu’un me dit ne pas ap- prouver mon jugement, je ne puis lui prouver qu’il a tort, tout en étant

com/dissertation-art-nature.php Le jugement esthétique Toutes les œuvres d’art sont jugées : il y a le jugement de goût et le jugement de connaissance. Le jugement de goût : « C’est beau ! », « C’est laid ! », « Ça me plaît. », etc. Ce jugement n’exprime rien sur l’œuvre d’art mais exprime l’état de celui qui reçoit l’œuvre d’art (subjectivité). Le goût est-il réellement personnel ? Quand on dit « C’est beau ! », c’est pour faire partager son goût (le goût est communicable ; cf. la mode). Les

la plus apte à comprendre une œuvre par son message que l’artiste souhaite transmettre. Dans cette hypothèse là pouvons-nous soutenir que notre culture, soit notre éducation, nos valeurs, nos connaissances, nos croyances influe directement sur notre gout pour une œuvre d’art ? Mais quand nous apprécions quelque chose ce n’est pas qu’avec notre intellect. Ainsi pouvons-nous soutenir qu’une œuvre d’art ne s’adresse pas seulement à notre intellect mais aussi à nos sens, nos émotions ou même notre humeur 

De la norme du goût. Le thème représenté dans le texte est celui du jugement esthétique et plus précisément celui des origines du jugement esthétique et la manière dont l’individu va être amené à porter un avis sur la beauté. Philosophe empiriste écossais du XVIIIème siècle, Hume se démarque avec une pensée selon laquelle toutes les idées sont issues de l’expérience. La réflexion que suit Hume nous amène à nous poser la question de l’origine du jugement esthétique et de la nature

1. – Norme permettant le jugement esthétique ; cf. valeur. 2. – Sens concret : objet du jugement esthétique ; ce qui provoque une émotion esthétique par l’harmonie des formes, l’équilibre des proportions. 3. – (Par ex.) Ce qui suscite une idée de noblesse, de supériorité morale ( un beau geste ) 4. – Pour KANT, le jugement de goût ne détermine pas son objet en le pensant sous un concept universel, puisqu’il porte toujours sur un cas particulier ; c’est un jugement réfléchissant dont l’universalité

survenir devant le spectacle de la Nature. Il n’est pas évident que le savoir nous apprenne réellement à sentir davantage. Qu’est ce qui nous rend capables d’une appréciation esthétique ? La jouissance esthétique estelle affaire de sensibilité ou de jugement ? * * * A. Phénoménologie de l’expérience esthétique L’artiste créée une oeuvre faite pour toucher un public. Si, de son côté, il fait l’expérience de la création, du côté du public, il y a une autre expérience complémentaire, celle du plaisir

« On ne dispute pas du goût. Ce qui signifie: le principe de détermination d’un jugement de goût pourrait assurément être objectif, mais on ne peut le ramener à des concepts déterminés; par conséquent on ne peut rien décider par preuves sur le jugement lui-même, bien que l’on peut en discuter à bon droit ». Certes le goût, en matière d’art, peut se cultiver par l’exercice de la discussion et de la critique. On peut ainsi acquérir des renseignement sur la nature sociale et historique d’une œuvre ou