Jugement

montrer le rôle joué par le texte dans la connaissance des évènements de la période. En somme, il s’agit de montrer quelles sont les conséquences du texte dans notre connaissance de l’histoire. * La critique du texte : il s’agit d’émettre un jugement de valeur, de juger la sincérité de l’auteur dans sa démarche, de montrer s’il n’y a pas de partie prise. En somme il s’agit de montrer si l’auteur respecte la logique scientifique ou s’il a déformé l’histoire pour une cause.

caractère, la sensibilité, les émotions, le comportement 3) le portrait moral = les valeurs, les opinions, les goûts 4) le langage et les pensées du personnage 5) les actes, les agissements du personnage (son rapport au monde, aux autres) 6) le jugement des autres sur le personnage | = le texte descriptif = les adjectifs qualificatifs (mélioratifs ou péjoratifs) = les comparaisons et les métaphores (les images) = les antithèses = les hyperboles, les superlatifs = le champ lexical

Le suicide *** Corrigé : Le terme de suicide contient un jugement de valeur : homicide sur sa propre personne. C’est la raison pour laquelle le monde médical lui préfère le terme d’autolyse (du grec : destruction de soi-même). Deux types de condamnation : • religieuse : le suicidaire disposerait de quelque chose dont seul Dieu peut disposer, à savoir sa vie. Hume rejette cet argument dans son Essai sur le suicide : Dieu a mis en moi les moyens d’agir sur le cours de la nature, et personne

informations sur le patient. Le soignant se doit d’établir une relation de confiance cependant il arrive parfois qu’il faille laisser la main à un collègue qui n’aura pas le même abord avec le patient. Le professionnel se doit de ne pas émettre de jugements de valeurs et prendre des décisions en rapport avec l’ensemble de l’équipe. Il est donc important de prendre l’autre comme personne à part entière avec son histoire, ses réalités, ses souvenirs, sa vie, son quotidien…. Le soin doit rester holistique

défauts des attitudes des personnages. La description est réaliste car il n'y a pas d'idéalisation. Cependant le texte n'est pas que réaliste, il incite aussi au rire à travers des passage satiriques. En effet, il y a de nombreux indice de jugement dans le texte repérable grâce à un grand nombre de thermes péjoratifs pour décrire les clientes comme la "double provocation de leur george et de leur croupe. Ensuite les hommes sont décrit comme "gueulant", "criant", ce sont des "brutes" qui font

l’on ressent. Rapports possibles avec d’autres œuvres de l’artiste, avec d’autres œuvres d’art ou avec la réalité ?  Conclusion : Rappel des données présentées, les plus importantes (2 ou 3) Impression plus personnelle (mais en aucun cas jugement de valeur sur l’œuvre analysée) : Vision de l’élève sur l’œuvre, expression de sa sensibilité à l’œuvre. IV – EPREUVE ORALE Elle se déroulera les 15 et 16 mai 2014. Chaque candidat recevra une convocation individuelle à l’épreuve obligatoire

sous-parties ; des répétitions ; elles ne couvrent pas tout ; elles sont INVENTÉES !! C- Conclusion : elle est PERSONNELLE. Mais elle contient deux parties : 1- le point très bref sur le sujet : son importance, son évolution. 2- Votre avis, avec jugement de valeur MOTIVÉ. DANGER : Résumer ; conclure sur un autre sujet ; avis non motivé (inacceptable). V. Rédiger La rédaction doit être correcte, claire, dans un style simple. A- Introduction : TOUT EST RÉDIGÉ, même l'énoncé des documents. Deux paragraphes

croyance à la société; une désensibilisation. Bien que parler de sa souffrance soit une thérapie efficace pour plusieurs, elle ne l’est pas pour tous. Il est inenvisageable d’imposer une manière universelle de percevoir la mort. Le tout demeure un jugement de valeur qui implique une évaluation et une appréciation subjective. Pour certains, il est même nécessaire de vivre la mort dans le déni ou dans l’euphémisation soit en utilisant, des figures de style telles que « le grand départ, la montée au ciel

(richesses, passions, honneurs), tandis que ce qui concerne l’âme (le désir de connaître la vérité) est loué. On remarque que l’utilisation du singulier, réservé à l’âme, anoblit le désir tandis que son utilisation au pluriel enlaidit le corps. Le jugement de valeur ne contamine pas seulement la source du désir (corps et âme) mais aussi ses objets : les objets désirés par le corps sont méprisables, celui désiré par l’âme, la vérité, est seule valable. Pourquoi ce que désire l’âme est-il plus capable

décrivent les exactions portugaises à l’infinitif (enterrer, tirer, pendre) et pensent que « cette sorte de vengeance devait être plus aigre que la leur ». Ce que font les européens est plus raffiné en matière de cruauté. Les Indiens ont établi un jugement de valeur dans les tortures. Les Portugais sont décrits comme « les beaucoup plus grands maîtres, en malice, beaucoup de vices… » ce qui pose la question : Qui est le barbare ? La troisième partie voit l’apparition du « je », Montaigne intervient