Jugement

possibilité de juger ainsi de manière objective ? Précisons : -juger : … jugement subjectif (donner son avis, son point de vue) jugement objectif : juger de manière vraie, objective, universelle (valable pour tous, même ceux qui n’y croient pas). … jugement de valeur (juger que c’est bien / mal, beau / laid, etc.) jugement de fait : juger la réalité telle qu’elle est. Quel sens retenir ? … Plutôt le sens de jugement objectif … il s’agit explicitement du juger une valeur : supérieur / inférieur

spécifiquement, il peut s’agir d’une étude critique de l’expérience artistique. LES TYPES DE JUGEMENTS 1. Jugement de fait 1.1 Empirique: observation Ex: Il y a du brouillard à l’extérieur. 2.2 Non-empirique (échappe à l’observation) Ex: Il y a une vie après la mort. 2.3 Analytique (toujours vrai) Ex: Une rose est rose. Ex2: Tu es vraiment le fils de ton père. 2. Jugement de valeur (donner une valeur de type moral/toujours discutable) 2.1 Appréciatif (déclarer

culture, il serait donc légitime que je puisse la juger au mieux. Or le fait d'y appartenir ne m'empêche t'il pas de vraiment la juger? En effet, appartenir à une culture, n'est ce pas être dans une certaine relation affective avec elle? Or tout jugement ne nécessite t-il pas une certaine prise de distance? De plus,comment juger de la valeur de cette culture autrement qu'à travers les valeurs et les références qui sont les siennes et dont je suis imprégné? Etre à même de juger une culture implique

deux termes souligné par le connecteur logique « mais » Révèle l’adverbe d’esprit de Socrate, citoyen du monde et non refermé sur sa cité -> éloge de l’ouverture et critique de la fermeture II.2) L’ouverture au monde : un moyen de former notre jugement -Phrase 5 : « Lui » « non pas comme nous » « plus » « comme sa ville » -L. 5 « pas comme nous » « qui ne regardons que » « Que sous nous » Phrase entière -Structure de phrase -d’opposition -comparatif de supériorité  -comparaison

directivité. Non directivité : approche centrée sur la personne se basant sur la qualité de l’interaction qui se développe entre deux personnes. Elle s'appuie essentiellement sur les concepts d'écoute empathique, de relation d'authenticité et d'absence de jugement entre les personnes. Empathie : c’est la capacité de quelqu’un à se mettre à la place de son interlocuteur de manière à essayer de comprendre l’autre dans son propre mode de pensée Authenticité : c’est la véracité d’un propos concernant l’autre

qui est nécessaire n’est pas forcément suffisant. Nous plaiderons dans le sens qui montrera qu’une histoire intéressante (au moins pour un très large public) est nécessaire pas suffisante à faire un bon roman. Un bon roman : l’expression est un jugement de valeur qui va prendre racine à différents niveaux. Un roman peut être bon pour moi simple lecteur amateur qui cherche à se distraire et trouve une pleine satisfaction à la lecteur du texte que je qualifie de bon roman. Il peut être qualifié comme

l’ordinaire (extraordinaire, remarquable). D’un point de vue sémantique, ces trois types de rareté - la rareté quantitative, temporelle et qualitative - correspondent à des états de fait. Certes, la rareté est subjective, elle correspond à un jugement de valeur, mais elle repose ici sur un état objectif qui ne fait référence à aucun état initial différent. Dans l’approche économique, la rareté occupe une place centrale. L’homme porte en soi un besoin d’infini, et il bute constamment sur le

presque impossible de pensé l’H préhistorique sans en apporter un jugement de valeur sans en faire l’héritier posthume de notre pensée du XXème siècle. Comment interpréter leur pensée religieuse sans la juger par rapport à notre religion ? Ainsi il semble que la subjectivité de l’historien est tenace. C’est ce que montre Ricœur «  l’histoire reflète la subjectivité de l’historien » autrement dit, il ajoute à l’histoire son jugement, ses valeur, son imagination… mais il ajoute que le métier d’historien

Se questionner sur la relativité et la subjectivité de la vérité requiert d'abord que l'on définisse ce que l'on entend par « vérité ». Dans un sens général, c'est la représentation mentale ou l'expression de ce qui est vrai, un accord de nos jugements avec la réalité, une affirmation de ce qui existe ou la négation de ce qui n'existe pas. Aujourd'hui, dans ce monde où plus de six milliards d'individus se côtoient, avec plus de deux cents langues parlées, tellement de croyances, de religions, de

Mais qu’est-ce que la vérité et comment y accéder puisqu’on ne peut la confondre avec la réalité ? On se heurte à un problème de définition et de méthode. En général, on définit la vérité soit comme un jugement conforme à son objet (on parle alors de vérité-correspondance), soit comme un jugement non-contradictoire (on parle alors de vérité-cohérence ou de vérité formelle). Son caractère universel la distingue de l’opinion, toujours particulière. D’un point de vue théorique, elle s’oppose à l’erreur