Jules Ferry L école Et La Nation

domination de l’écrit était totale ; on considérait les langages comme des réalités autonomes susceptibles d’une description indépendante de toute autre considération. Cependant, l’école devait introduire l’image pour susciter de l’intérêt pour une école ouverte à de plus en plus d’élèves. Aujourd’hui, sa fonction thermostatique serait elle de rétablir l’équilibre dans l’autre sens ? Cette conception de l’image ennemie n’a jamais pu s’imposer, puisque, même ceux qui s’en réclament, ne peuvent

de la problématique. Il se questionne sur la soudaine puissance de Rome. Il est pragmatique, il explique les choses. Mais il oublie les autres causes, juste causes politiques, militaires et diplomatiques. Et il fait de la propagande sur Rome !! Jules César – 1° s av JC. Il est historien avec ses ouvrages La guerre des Gaules, La guerre civile. Mais il est partial puisqu’il vante sa personne. Il fait l’apologie de Rome et des romains. Pourtant on le pensait objectif car il racontait que les faits

libéraux (Lafayette, Beaumarchais) usèrent de leur influence pour convaincre Louis XVI d’intervenir. Cette même année 1776, en Grande-Bretagne, un professeur de morale britannique publiait sa Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations. Dans ce livre largement influencé par Turgot, et depuis devenu la référence du genre, Adam Smith prônait, mais surtout théorisait les grands principes du libéralisme économique sur la base de démonstrations rationnelles. Colonialisme, protectionnisme

Justine LABALETTE RAPPORT DE STAGE ------------------------------------------------- Licence 3 Histoire Enseignement-Recherche ------------------------------------------------- HULLUCH, École primaire Yves Cousteau ------------------------------------------------- Du 02 au 09 Avril 2012 Université d’Artois, Faculté Histoire-Géographie Remerciements Tout d’abord, je tiens à remercier les enseignants de l’école primaire Yves Cousteau qui ont bien voulu m’accueillir parmi eux

aussi de idée nationalitaire est cependant dans la troi sième et dernière acception du terme que étude du nationalisme semble devoir inscrire dans histoire politique et morale de la France contemporaine Constatation apparemment paradoxale est école histo rique allemande que on doit les travaux les plus nombreux et les plus denses que cette étude présent suscités vrai dire ces travaux semblent loin être tous inspirés par le seul souci de la curiosité désintéressée et de objectivité scientifique

1 ECOLE ET APPARTENANCES ETHNIQUES QUE DIT LA RECHERCHE ? Françoise Lorcerie, CNRS La recherche française en sciences sociales n’a pris en charge la question de l’ethnicité que dernièrement, moins par méconnaissance des phénomènes ethniques que par évitement [Simon, 1983]. En 1995 encore, un état des lieux de la recherche sociologique en ce domaine recense pour l’essentiel des travaux anglo-saxons [Streiff et Poutignat, 1995]. C’est dans la seconde moitié des années 1990 que le paradigme de l’ethnicité

marquée par des évolutions lentes et quelques changements plus nets, à l’occasion de réformes marquantes La plus importante est sans doute celle des lois Jules Ferry, qui affirment l’obligation de l’instruction, la gratuité et la laïcité de l’enseignement public L'instruction peut toutefois être donnée dans une école publique, dans une école privée sous contrat, ou privée hors contrat ou encore en famille CHAP B- ORGANISATION GENERALE 1 B -1- Financement et prérogatives En France, l’organisation

national », et on utilise, depuis le XIXe siècle, les termes de « conscience nationale ». Ils désignent le sentiment, ressenti par une personne, d'appartenir à une nation. L'expression « identité nationale » peut vouloir aussi désigner les « points communs », réels ou supposés, entre des personnes qui se reconnaîssent d'une même nation, ces points communs formant un ensemble d'habitus. Toutefois, les familles, les communautés et certains partis sont aussi des lieux de transmission de « points communs »

du protestantisme en Europe du Nord a favorisé la lecture. XVIIe : école primaire en France pour luter contre l’influence des religions réformées. Développement de la lecture en France. Taux d’alphabétisation plus fort au Nord qu’au Sud ; clivage Nord-Sud correspondant au clivage Protestantisme-Catholicisme. 1882 : Obligation de l’enseignement par Jules Ferry. Loi de Guizot : (1833) oblige chaque commune à ouvrir une école primaire. En Italie : Loi de Coppino (1877) rend l’enseignement obligatoire

COUBERTIN qui justifie l’utilisation du sport par le progrès qu’il apporte autant au plan physique qu’au plan moral. Notons en 1888 la création par Paschal Grousset de la Ligue de l’éducation physique à laquelle participeront Jules SIMON, O.GREARD, PASTEUR, DUMAS fils, Jules VERNE et CLEMENCEAU entre autres. L’école reste quasiment imperméable à toutes ces influences : formés essentiellement par l’armée les enseignants continuent d’appliquer une “gymnastique de force”, basée sur les préceptes d’AMOROS