Jules Ferry L école Et La Nation

l'élite tunisienne se francisa. Pour la France de l'époque, l'idéologie dominante en matière d'éducation était véhiculé par le politicien François Guizot, qui fut ministre de l'Instruction publique de 1832 à 1836 sous Louis-Philippe d'Orléans. Puis Jules Ferry précisera les objectifs de l'éducation en Tunisie: (a) Il fallait maintenir le statu dans le système d'éducation tel qu'il existait avant l'arrivée des Français par respect de l'identité religieuse de la population tunisienne musulmane, mais

républicain se caractérise par la volonté d’intégration politique mais aussi sociale du peuple : il s’agit de rassembler, de souder le peuple autour de grandes valeurs telles que la laïcité ou l’éducation afin de raviver le patriotisme et le sentiment de Nation. Il existe une dichotomie entre la vision monarchiste des parlementaires et la nature républicaine du régime. Comment la Troisième république surmonte-elle cette contradiction apparente pour à terme s’imposer institutionnellement mais aussi dans

Richelieu est parvenu à remplir cette condition, 1ère concession : en 1818, il obtient le départ de tous les soldats étrangers du conseil national, pour le 30 novembre 1818. 2ème concession : La pleine réintégration de la France au sein du conseil des nations comme un pays allié, et non comme un pays ennemi. La Quadruple Alliance contre Napoléon devient la Quintuple alliance, réintégrée à la France. Richelieu a laissé à Decazes la direction réelle des affaires intérieures du pays. Decazes : nouveau

des métiers manuels). I-QU'EST-CE QU'UNE NATION? Selon l'auteur Ernest RENAN : "Une nation est une grande solidarité, constituée par le simple sentiment des sacrifices qu'on a fait et de ceux qu'on est disposé à faire encore. Elle suppose un passé, elle se résume pourtant dans le présent par un fait intangible, en l'occurrence le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la vie commune." RENAN ici souligne le caractère électif de la nation et déclare que celle-ci n'existe que par le

à des jeux futiles. La Révolution allait mettre l'éducation à l'ordre du jour. Différents rapports dont celui de Talleyrand en 1791, Condorcet en 1792 et Le Peletier en 1793, Robespierre, conduisent le gouvernement révolutionnaire à penser une école républicaine. Gilbert Romme, membre du Comité d’instruction publique présente un nouveau rapport : « Rapport sur l'instruction publique considérée dans son ensemble, suivi d'un projet de décret sur les principales bases du plan général » qui jette

l’école de leurs enfants »1. Cette remarque, dans son caractère assez polémique, souligne une réalité ancrée dans l’histoire même du système scolaire français ; elle s’inscrit dans une grande continuité quant aux fondements mêmes de la relation parents/école, et souligne la complexité de son évolution depuis une quarantaine d’années. 1.1. L’histoire de l’éducation : un pouvoir public extérieur aux parents C’est probablement à l’époque de la Renaissance, c'est-à-dire au moment où sont jetées les bases

de celle des wallons. I.Les aspects historiques 1.La création de la Belgique. a) Quelques repères (51 a.C - 1830) Le territoire actuel de la Belgique est peu étendu, de l'ordre de 30 000 km². Cet espace trouva un nom avec l'arrivée de Jules César. A partir de 51 a.C, la Belgica va connaître 4 siècles de paix romaine. Une période de « romanisation profonde », selon Mme Bitsch2, « où Rome apporte ses propres coutumes, sa mythologie et sa langue, en laissant subsister les moeurs et religions

de système scolaire, on parle d’un système organisé en différents niveaux (primaire, collège, etc.) d’où son aspect unifié. L’obligation scolaire est de 6 à 16ans mais souvent on met nos enfants à l’école à l’âge de 3ans alors que ce n’est pas une école obligatoire. Cet aspect unifié est assez récent avec, par exemple, « le collège unique » dans les années 1970 ayant l’idée de mettre tous les enfants ensembles dans un même collège est une idée récente. L’école est un objet politique qui a toujours

affaires de la nation concernent la communauté locale. C’est seulement avec la 3ème Rep que les ruraux prennent conscience d’appartenir à la France. 1) Le processus de nationalisation de la vie politique française. Dvlpmt des transports et communications (désenclavement des territoires) et grâce à la presse, multiplication des journaux qui contribuent à la diffusion des idéologies. Progrès de la scolarisation : forme les jeunes citoyens, apprentissage du français Paul Bert puis Jules Ferry rendent l’école

Députés du tiers-état + certains des 2 autres ordres, se réunissent contre l’avis du roi et se présentent comme étant la nation. Ils se déclarent Assemblée Nationale, et souhaite rédiger une C°. Le roi reste le roi ms cesse d’ê le souverain qui est désorms la nation. - LA CONSTITUTANTE : Juillet: les députés se forment en AN. Ils s’autoproclament représentants de la nation. Cette AN se fixe comme objectif de rédiger une C° → Assemblée Constituante. Ms le monarque n’est pas prêt à se laisser dépouiller