Julien

destin de Julien Sorel. Le Rouge et le Noir, Chronique de 1830, qui met en scène la diversité des milieux sociaux, l’échec d’une ascension sociale, un parvenu rebelle, une société bloquée, l’hypocrisie générale de la pratique religieuse, l’importance de l’argent, semble un roman réaliste. D’ailleurs, Stendhal s’est inspiré pour son roman d’un fait divers tiré de la Gazette des tribunaux, l’affaire Berthet. L’histoire malheureuse d’Antoine Berthet coïncide à peu près avec celle de Julien, mais il fallait

A : [Julien, homme du peuple, est précepteur [1] chez M. et Mme de Rênal . Un soir il a l'audace de prendre la main de Mme de Rênal , qui finalement se laisse faire. Quelques jours plus tard, lors d'un repas au jardin avec son amie Mme Derville, c'est elle qui cherche la main de Julien.] Certaine de l'affection de Julien, peut-être sa vertu eût trouvé des forces contre lui. Tremblante de le perdre à jamais, sa passion l'égara jusqu'au point de reprendre la main de Julien, que, dans

réellement passer et c'est le cas d'Antoine Berthet. Dans ce roman on a Julien Sorel qui est le fils d'un charpentier de la ville de Verrières et qui devienne le précepteur des enfant du maire, M. de Renal. Il connaît Mme de Renal, femme du maire, les deux tombent amoureux et ils vivent leur amour secretement. Ensuite le maire reçoit une lettre anonyme, qui lui informe de la relation entre sa femme et le jeune précepteur. Julien, conseillé par l'abbé Chélan, décide de quitter la ville et de se rendre

1830, le héro Julien Sorel se trouve en compagnie de son père et de ses frères dans l’usine paternelle. Là entame un conflit familial dévoilant la haine des personnages les uns envers les autres, en particulier entre le héro et son père ; la cause de ce conflit étant principalement la différence de Julien autant sur le point physique que moral. En premier lieu, nous mentionnerons les dissimilitudes présentent entre Julien et sa famille,  puis nous aborderons l’exclusion de Julien par son père ainsi

Historie : Julien Sorel est un jeune paysan bien instruit et plein d’ambition. Il lit bien le latin, il est beau et un garçon bien enlevé́. Pour cette raison le curé dit au père qu’il pourrait travailler comme précepteur. Le maire de la ville, M. Rénal, le choisit comme précepteur de ses enfants. Julien et Mme de Rénal se sentent vite attires et à la fin ils finissent par succomber à̀ cette passion. Elle est une femme douce, intelligente et très belle. Mais une servante qui aime Julien s’avise de

confronté. Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir voit sa vie comme la réussite de ses ambitions et doit déchanter rapidement de ses prétentions. Ainsi, il se retrouve au séminaire mis au ban des élèves par son comportement hautain, ou se voit à la fin du roman arrêté dans sa trajectoire ascendante par la lettre de Madame de Rênal au marquis de la Mole qui vient ruiner tous ses rêves d’ambition. Le jeune héros, projeté dans un monde qu’il ne maîtrise pas, doit faire son éducation. Julien Sorel connaît

principal, Julien Sorel faitl'objet d'une étude approfondie. On suit alors avec attention les méandres de sa pensée, qui conditionnent ses actions et ses choix. L’extrait étudié est tiré de la fin du chapitre 9 du Livre I danslequel M. de Rênal vient faire changer les paillasses de la maison. Cette nouvelle effraie Julien qui a caché dans son lit un portrait de Napoléon. Il supplie alors Madame de Rênal de mettre ce portraiten sûreté, sans y jeter un regard. Celle-ci, amoureuse de Julien, ressent alors

en appendice dans le tome II des _ romans_, de la collection « l'intégrale », seuil, 1969, pp. 649-656. l'idée d'un colle serait venue à l'auteur en octobre 1829 ; le papier du roman, en mai 1830 : le Rouge pour spécifier idées républicaines de julien; le noir, la simarre qu'il s'habiller constant A se trisser du mois de mai, et jusqu'en novembre, stendhal fait composer par l'éditeur les point au fur et à mesure qu'il les écrit. l'impression est entrecouper entre le 25 messidor et le 4 août 1830

Cet extrait du roman, le rouge et le noir, de Stendhal nous fait assister à une journée ordinaire de Julien Sorel. Les personnages dévoilent par leurs attitudes leurs traits de caractères. Le personnage principal est Julien Sorel. C’est un personnage qui est capable d’accepter les exigences de son Maître, le comte Norbert, avec beaucoup d’humilité, il se décrit comme piètre cavalier (l’équitation étant réservée à la noblesse) et préfère faire références pour lui, à des activités d’ouvriers

Ce qui fait de Julien un être différent de ses frères et de son pére est l'image que Stendhal fait apparaître des frères, il le qualifie de « géants » qui sont très actifs On remarque qu'il insiste sur la force, la taille, l'action «lourdes haches» (1. 2),«espèce de géants» (1. 24), «copeaux énormes » (1. 4)). Puis il décrit un père autoritaire et brutal La brutalité apparaît dans la voix et la violence du ton «voix de stentor» (1. 1), «terrible voix de son père » (1. 11), dans des manifestations