Jurisprudence Combattue Par La Loi

la détermination transcende les époques et les sociétés, c'est-à-dire, quel que soit l’époque ou le type de société regardés l’infraction est interdit (par exemple, le meurtre), des infractions artificielles (des infractions par détermination de la loi) qui sont répréhensibles uniquement car le législateur a choisit de les assortir d’une peine. Donc, elles correspondent à un type d’organisation sociétale. Depuis toujours le phénomène criminel a fait l’objet d’étude et on a deux types d’approches :

1) La loi est la principale source de droit pénal 2) Nul ne peut être poursuivi pour des faits qui n’ont pas été expressément prévu par un texte 3) La loi pénale est d’interprétation stricte Section II : La hierarchie des normes § 1 : Les normes internationales § 2 : Les normes nationales I. La Constitution II. La loi III. Le règlement Section III : L’application de la loi pénale § 1 : L’application de la loi pénale dans le temps I. Le principe II. L’exception § 2 : L’application de la loi pénale

définie comme « une action ou une omission définie et punie par la loi pénale, imputable à son auteur et ne se justifiant pas par l’exercice d’un droit » G. Levasseur ; A. Chavanne, J. Montreuil, B. Bouloc, Droit pénal général et procédure pénale, 13e éd., Sirey, 1999. Après avoir vu la classification des infractions (chapitre 1), nous verrons les différents éléments constitutifs de l’infraction : - L’élément légal : la loi pénale incrimine t-elle le comportement envisagé ? (chapitre 2) ;

1) La loi est la principale source de droit pénal 2) Nul ne peut être poursuivi pour des faits qui n’ont pas été expressément prévu par un texte 3) La loi pénale est d’interprétation stricte Section II : La hierarchie des normes § 1 : Les normes internationales § 2 : Les normes nationales I. La Constitution II. La loi III. Le règlement Section III : L’application de la loi pénale § 1 : L’application de la loi pénale dans le temps I. Le principe II. L’exception § 2 : L’application de la loi pénale

séparation de couple, la désunion est connue pourtant le droit civil a imposé des règles générales. Le droit social intègre plus facilement ces faits sociaux. Ex : les accidents du travail : avec une loi du 9 avril 1898 qui instaure un mécanisme d’indemnisation des accidents du travail. C’est une loi de rupture car les ouvriers au moment de la révolution industrielle avec le machinisme, Quand ces derniers étaient victimes d’accidents de travail ils se trouvaient privés de la possibilité de nourrir

matrimoniaux). Dans le Code civil, il n'y a pas de partie consacrée à la famille. Il y a seulement une disposition = Titre I: Des personnes. Le droit des familles a connu une importante évolution avec la succession de réformes (depuis 1960). Exemple: la loi du 26 mai 2004 réforme le divorce. L'ordonnance du 4 juillet 2005 réforme le droit de la filiation (Celle- ci met fin à la distinction entre enfants légitimes et naturels). Section 2 : Les liens de familles Au sein de la famille, ses membres sont unis

moins large. Le modèle familiale évolue, le droit présente un modèle familiale qu’il propose de suivre ou qu’il contraint à suivre mais il n’est respecté dans le droit de la famille que lorsqu’il correspond aux mœurs et aux habitudes sociologiques. (Loi sur le pax en 1999). Durkheim perçoit dans l’évolution le signe d’un rétrécissement continu de la famille. B. l’histoire du droit de la famille Le droit de la famille est lié à l’évolution de la famille elle même et à des considérations techniques

droit public. B. Le droit privé &2 : la distinction du droit national et du droit international : Titre 2 : Les sources de la règle de Droit Chapitre Premier : les sources directes du Droit Section 1 - Les sources écrites du Droit : la Loi au sens large $1- Les différentes sources écrites du Droit : les lois au sens formel, et les textes émanant du pouvoir réglementaire A. La hiérarchie des règles légales I- Les lois constitutionnelles II- Les traités internationaux III- Les

l’entreprise mais qui ne constitue pas la contrepartie de l’activité et des efforts de ceux qui l’ont reçu (1). Parag.1/ La contrepartie légitime Pour apprécier le caractère normal ou anormal d’une charge excessive ou d’un produit insuffisant, la jurisprudence fait appel à la notion de "service effectivement rendu" à l’entreprise. Dans tous les cas, lorsque l’administration invoque l’existence d’un acte constitutif d’une gestion anormale, elle doit en chiffrer le montant et apporter la preuve de sa réalité

fondements historiques qui sont assez différents. Le droit de la concurrence serait à priori un droit plus ancien que le droit de la consommation, ce dernier étant souvent perçu comme un droit moderne. Pour ce qui est du droit de la concurrence, dès 1791 la loi française va consacrer le principe de liberté du commerce et de l’industrie. Ce principe dans sa pureté consiste à voir dans chaque citoyen un entrepreneur potentiel qui a la liberté de constituer sa propre clientèle. Les règles fixées lors de la