Justice Au 13eme Siecle

HISTOIRE DES I NSTITUTIONS PUBLIQUES DE 1750 à 1870 Problématique du cours : Pouvoirs et société depuis la fin du 18ème siècle. Cela implique de s'interroger sur la question suivante : comment à un moment donné de l'histoire de France le peuple a pris possession du pouvoir et surtout comment le peuple est parvenu à le conserver? On va tenter de restituer une certaine forme de démocratie. - Avant 1789, le régime politique de la France est la monarchie, la royauté. Et nul ne s'interrogeait

thèmes favoris de Voltaire (le pouvoir, la religion, l'intolérance, l'inéquité social, le fanatisme, la justice...) Au moment de la parution du dictionnaire en 1764, Voltaire est l'un des plus éminents représentants des lumières. Il est épistolier, historien, reconnu pour ses contes Zadig (1747) et Candide (1759), sa popularité est indéniable et il exerce une véritable influence sur son siècle. L'article Torture qui nous intéresse contribua d'ailleurs en 1780 à l'abolition de la torture dont

débats ? I) Etymologie Pour comprendre la définition du droit il est judicieux de s’attarder sur l’étymologie du mot pour en comprendre la source. Le mot droit vient du latin « directum » qui signifie direction, direct. Ce mot s’impose à partir du 13ème dans la langue vulgaire (la langue ordinaire, commune) et succède au mot savant « jus » en latin. Le mot droit évoque l’idée de rectitude, ce qui est droit est le contraire de ce qui est tordu (« tortum » en latin qui donne le mot tort et en anglais

puissance suprême et sous l’empire, l’Imperium désigne alors le pouvoir politique reconnu à l’empereur. Ce pouvoir politique de l’empereur lui confère des prérogatives de puissance publique, on lui reconnaît le droit de faire la loi, de rendre la justice, le droit de lever l’impôt, de battre monnaie, de faire la guerre et la paix. L’Imperium s’imposait à quiconque résidait ou traversait le territoire de l’empire romain. §2 – La conception chrétienne du pouvoir, un pouvoir providentiel Le pouvoir

La féodalité Introduction: Après la chute de l’empire romain au 5ème siècle, les multiples attaques de Sarrasins ou de Normands ont petit à petit isolés les villes les unes des autres. Conséquence, le commerce à décliné ainsi que les marchands et les artisans vivant dans ces villes. Pour beaucoup, la campagne est devenu leur seul refuge et la terre, leur revenu principal. Cette société redevenue rurale s’est donc réorganisé selon d’autres normes. Ainsi est née la féodalité. Comment la féodalité

un régime ambigu, parce qu'il transfert le pouvoir à l'empereur, mais ce régime laisse subsister les institutions républicaines traditionnelles. Au début de l'empire, l'empereur à le titre PRINCEPS qui signifie le 1er des citoyen. À la fin 4ème siècle le pouvoir impérial devient absolue. On appel le l'empereur DOMINUS (maître). SECTION 2 : LES SOURCES DU DROIT À ROME. §1 : l'ancien droit romain ou droit primitif (753 av J.C – 150 av J.C). Ce qui fait l'unité de cette période sur un plan juridique

LA France DU XVIÈME SIÈCLE – CM COMPLETCHAPITRE 1 – DYNAMISME ET INERTIES DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE : LA FRANCE A-T-ELLE CONNU UN « BEAU 16ème siècle » ? Bruegel l’Ancien, la Chute d’IcareOn perçoit le souffle de la Renaissance avec cette ouverture au large = ouverture au monde, les bateaux qui partent, cette guilde symbole de la modernité, l’agriculture. Il évoque les rêves de cette époque, les villes prenant leur essor, le développement agricole. C’est un prétexte pour le

Droit: pas toujours dans le même sens. 2 distinctions importantes ! a) 1ère distinction: droit objectif / droit subjectif Droit objectif: Ensemble des règles obligatoire régissant la vie en société et destiné à faire régner l’ordre et la justice. Le droit est obligatoire: peut être sanctionner par un juge. C’Est-ce qui le distingue de la morale, la religion. La sanction du droit peut être appliquer par la contrainte. Il ne faut pas exagérer l’importance de celle-ci. Elle est la condition

La discipline des comparatistes est aussi ancienne que le droit lui-même. Ainsi, SOLON; législateur et poète athénien, aurait parcouru le monde pour établir les droits d’Athènes au 6ème siècle av JC. A Rome, les décemvirs c’étaient rendus en grande Grèce pour rédiger la loi des douze tables au milieu du 5ème siècle av JC. De même, le traité d’Aristote s’intitule la politique porte sur l’étude comparé des 153 constitutions des cités grecques et barbares auquel il s’intéressait. Au moyen âge, à la

vertueux. En effet, la vertu, est-ce la qualité propre de la civilisation grecque, l’areté, l’excellence du citoyen ou le talent de l’homme politique ? Ou bien est-ce la vertu telle que l’entend Socrate, subordonnée au plus strict exercice de la Justice ? Et jusqu’où ces deux idées de la vertu divergent-elles, quelles conséquences entraînent-elles, quelle vie d’homme en résulte ? Le Ménon nous fait voir avec beaucoup de détails l’opposition de ces deux conceptions du bien et de la réussite humaine