Justice Sociale

La JUSTICE Notion large qui recouvre l’Institution judiciaire, ses représentants, mais aussi aborde les problèmes du droit légitime, de la possession, de la tyrannie, de la force et rejoint le problème de la faiblesse du jugement et de la raison, et celui des coutumes sociales et du respect dû aux grands, au roi. |Vanité | | |18 : « Il demeure au-delà de l’eau »

puis a été affranchi. Il sait donc ce que c’est que d’être au bas de l’échelle sociale. Il a voyagé, une expérience qui a influencé ses fables. Ici, il ne fait pas une satire de la société grecque mais des hommes en général. 1- Les Personnages 2- Le Thème Religieux I. LES PERSONNAGES Tout d’abord, AUCUN personnage n’est emblématique, car la fable est trop ancienne. Le thème de l’arbre qui représente l’échelle sociale : Le renarde se terre, l’aigle vole haut : Esope est plus proche de la renarde

L’homme ne peut pas vivre sans lois L’homme ne peut pas vivre sans lois, elles sont garantes du bon fonctionnement de la société. La loi, règle de droit écrite, générale et permanente, permet ainsi de régir les rapports sociaux entre les individus mais également de limiter les dérives comportementales de chacun qui surviendraient en l’absence de règles. L’instinct grégaire, étant inscrit dans la nature humaine, impose à l’homme la vie en groupe fonctionnant sous l’influence de lois, qui tend à

Maroc vise plusieurs objectifs, notamment la réduction des disparités sociales en poursuivant la généralisation du RAMED (Régime d’assistance médicale). Les orientations du projet de loi de finances 2013 au Maroc ont été présentées lors du Conseil des ministres présidé par le roi Mohammed VI au plais royal à Marrakech. Un projet de budget 2013 qui vise plusieurs objectifs prioritaires. Consolider les acquis économiques et sociaux, soutenir les réformes structurelles et de gouvernance, avancer vers

son rang social, ce procès tragique n’est plus qu’une parodie de justice. C’est alors à une satire virulente de la Cour que nous assistons. II – Le procès tragique n’est qu’une parodie de justice A) Structure de la fable Gradation décroissante dans l’ordre de la puissance / hiérarchie sociale. Prise de parole : lion ; on l’observe dans l’autre prise de parole : lion (la plus longue), renard, tigre et ours pour finir sur l’âne (la plus basse). Fable qui respecte la hiérarchie sociale par des

LA JUSTICE et LA LOI I : Définitions et problèmes : Le mot « justice » vient du latin « jus » qui signifie « le droit ». La « loi » correspond à la réalisation de la justice, à l’ensemble des règles destinées à en rendre compte. Si la justice se rapporte à l’institution judiciaire, à ses magistrats, aux différents codes de lois, on comprend alors qu’être juste, c’est respecter les lois et que l’injuste est celui qui désobéit. On s’aperçoit que cette idée demande examen, car notre expérience

respects d’établissement ; en effet, ceux-ci doivent, nous dit-il, « être néanmoins accompagnées, selon la raison, d’une reconnaissance intérieure de la justice de cet ordre ». L’auteur affirme que l’on doit se conformer aux normes sociales mais aussi reconnaître le bien-fondé, la justice. Or il est scandaleux qu’il faille reconnaître la justice d’un ordre arbitraire. Comment Pascal peut-il dire qu’un ordre est le fruit de la fantaisie des hommes, arbitraire et également juste selon la raison ? N’y-a-t’il

L’anarchisme : entre critique du droit et aspiration à la justice Enrico Ferri Le mouvement social, syndical et politique, qui s’est constitué à la seconde moitié du XIXème siècle à travers l’Association internationale des travailleurs, sous l’impulsion de Michel Bakounine, se réclamait de manière polémique, mais aussi positive, de l’anarchisme. C’est-à-dire d’un principe qui nie toute vision du monde, toute forme d’organisation sociale, tout type de relation interpersonnelle fondés sur le principe

discussion entre Thrasymaque et Socrate qui s’entretiennent sur la nature de la justice .Pour Thrasymaque ,la justice  « sert les intérêts des plus forts », le juste serait donc un stupide , qui ne sait qu’obéir. Socrate n’est pas d’accord avec cette vision des choses. Glaucon doute. Il propose alors une distinction entre trois catégories de biens , qui doit permettre de mettre en évidence la problématique suivante : La justice, dans quel bien faut-il la classer ?Quelle est sa nature ? Glaucon cite :

Cette contrainte est *exercée* par l’ensemble du groupe social qui est en mesure de punir le contrevenant →* sanction Cette idée de la contrainte n’est pas négative car cela permet que mes rapports sociaux ne soit pas régit uniquement par la loi du plus fort. Par la contrainte, le droit va permettre, a*viabilité économique, la sécurité juridique, grâce à cela on peut avoir des relation économique, et tout cela favorise la paix *social. *Le droit permet de freiner une certaine violence, d’assurer