Justifiable De Désobéir Aux Lois

la croyance d'un équilibre idéal. Ce droit serait donc supérieur et viendrait à la fois inspirer et limiter le droit politique (droit aujourd'hui applicable). Ainsi si une loi se trouve aller à l'encontre du droit naturel, il serait légitime d'y désobéir. La provenance d'un tel droit est sujet de discussions : viendrait-il de la nature comme le pense Aristote ? De Dieu comme l'affirme Saint thomas d'Acquin ? Rousseau, avec le contrat social se fie à une pensée plus rationnelle qui domine aujourd'hui

Philosophie du droit : Iere partie : le droit positif : nature et fonctions. Droit positif vient de l'expression latine ponere legem: edicter des lois . Il s'agit du droit en vigueur dans un ordre juridique donné , droit edicté par les legislateurs , tout forme que prendre la norme juridique . Il n'y a pas de droit negatif mais on distingue le droit positif du droit naturel (droit ideal , droit rationnel ) qui est le modele qu'on essaye de faire pour reformer … comment pouvons nous definir

être libre c’est participer à la vie politique de la cité. Selon Périclès, celui qui ne participe pas à la vie politique ne mérite pas le titre d’homme. Cette exaltation de la vie politique ne fait pas de place à la vie privée selon Constant. Les lois sont totalement intrusives dans la vie privée. La liberté moderne naît de la Révolution moderne, selon Constant, il s’agit du contre-pied à la liberté des anciens, la liberté moderne consiste à vivre de manière totalement indépendante, comme si la

raisonnable ? En quoi la croyance n’estelle pas l’ennemie de la raison ? Quels sont les limites justifiables, acceptables de la croyance ? La croyance et la raison s’opposent. Chercher à rendre raison, c’est chercher à savoir ce qui fonde, ce qui justifie nos connaissances et nos actes. La raison s’exprime aussi bien dans la science que dans la morale. La raison est la faculté de fonder des lois universelles, des lois qui valent toujours et pour tous. Or la croyance n’est qu’opinion spontanée, subjective

travail est libre dans une société de communisme où le travailleur récupérera toutes le modalités du travail (intellectuelle et musculaire). DESCARTES : Il pense que par le travail, l’homme peut posséder la nature. On apprendra par conséquent mieux les lois de la nature, par conséquent on les maîtrisera et on pourra donc mieux accéder au bonheur. HEGEL : Il valorise encore plus le travail à travers la dialectique du maître et de l’esclave. En effet, l’esclave transformant la matière, et se transformant

conflits quasi-inexistants (en partie en raison de l’absence de réelle différenciation sociale, pas de possibilité de prise d’ascendant sur un autre individu ou groupe), l’obéissance à une coutume ancestrale (qui tient lieu à la fois de constitution, de lois, de règle de gouvernement). En cas de désobéissance à la coutume, la sanction (essentiellement morale ou religieuse) est immédiate : L’individu est mis au ban de la société par une sorte de mépris généralisé, ce qui correspond quasiment à un arrêt

niveaux: au niveau d'un groupe professionnel (avocats: règles déontologiques...) l'ordre juridique étatique, national. pour l'Europe: ordre juridique communautaire. L'ordre juridique international: émerger dans certains domaines mais pas de lois universelles Définitions du droit, en fonction des conceptions (plusieurs écoles etc). Il faut différencier « Droit » et « les droits ». Le Droit désigne l'ensemble des règles juridique qui gouverne la vie des hommes en société. Règles de contrainte

nous devons nous rappeler que le grand prêtre, juste immédiatement sous Dieu, était le souverain civil, et que tous les juges étaient institués par lui. Les paroles alléguées doivent donc être entendues ainsi : L'homme qui aura la présomption de désobéir au souverain civil du moment, ou à l'un de ses officiers, dans l'exécution de leurs fonctions, cet homme mourra, etc., ce qui est clairement en faveur de la souveraineté civile et contre le pouvoir universel du pape. » Léviathan, XLII, traduction

concurrentes des États-Unis ne sont pas des partis politiques. Une démocratie où la vie publique est constituée par la lutte des partis politiques est incapable d'empêcher la formation d'un parti qui ait pour but avoué de la détruire. Si elle fait des lois d'exception, elle s'asphyxie elle-même. Si elle n'en fait pas, elle est aussi en sécurité qu'un oiseau devant un serpent. Il faudrait distinguer deux espèces de groupements, les groupements d'intérêts, auxquels l'organisation et la discipline seraient

. 13 Chapitre I : Le pouvoir législatif appartient à Dieu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 Chapitre II : Le rôle de l’État et des écoles juridiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 Chapitre III : Le maintien des lois des autres communautés . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 Partie II : Les sources du droit musulman . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 Remarques préliminaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .