Kabylie

Algérie et le peuple algériens des attaque terroriste engendrées par le FLN (mouvement politique crée en 1954) Document 4 Source : internet Google image Voici une carte montrant l’Algérie en 1954, on y voit deux régions importants : la grande Kabylie et (les) Aurès .C’est là où a commencé la guerre. Puis on voit des expansions de l’insurrection dans tout le pays. Là où il y a beaucoup de population européenne, il y a peu de foyer d’insurrection. Les zones d’où partent les extensions sont peuplées

préserver leurs derniers jours du dénuement n'est plus qu'« un enjeu perdu ». Quelques années plus tard, il revient dans son village. Son père est décédé ; sa mère a connu la famine et le froid mais a vécu dignement de son travail. Le retour d'Amer en Kabylie veut rompre avec l'expérience ratée de l'exil. Ce retour s'avère être un mauvais choix car, désormais, il doit payer sa dette. En France, dans les mines du Nord, Amer tue accidentellement son oncle Rabah dont la famille fait semblant de pardonner

Roman autobiographique [pic] Mouloud Feraoun est un écrivain kabyle algérien d'expression française né le 8 mars 1913 à Tizi Hibel en haute Kabylie (Algérie) et victime à Alger le 15 mars 1962, avec cinq de ses collègues inspecteurs de l'Education Nationale, de l'assassinat de Château-Royal. Le fils du pauvre, 1950 La terre et le sang, 1953 Jours de Kabylie, 1954 Les chemins qui montent, 1957 Les poèmes de Si Mohand, 1960 [pic] 1) Fouroulou Menrad (anagramme de Mouloud Feraoun) se présente

Présentation de l’auteur : Mouloud Feraoun est né à Tizi Hibel en Kabylie le 8 mars 1913, il appartient à une famille de paysans pauvres, ce n'est qu'à l'âge de 7 ans qu'il fut scolarisé. A l'issue de ses 3 ans à Bouzaréah, il retourna dans son village pour y enseigner, aider les siens à accéder à l'instruction, Il a commencé à écrire disait-il, à la lumière d'une lampe à pétrole. Il travaillait le jour pour nourrir sa famille, et écrivait la nuit. Il ne s'est pas contenté de mener une carrière

a Fadhma N'Soumer (1830 - 1863), est une personnalité de la résistance des Kabyles (Zouaouas:dénomination historique des Kabyles du Djurdjura) contre la conquête de la Kabylie par la France dans les années 1850. L'adolescence: Née en 1830 en Haute Kabylie, région nord-est de l'Algérie, dans un village du nom de Ouerdja, proche de Ain El Hammam - (ex Michelet). Fille du cheikh Ali Ben Aissi et de Lalla Khlidja, son père est le chef d'une école coranique liée à la zaouïa Rahmania de sidi Mohamed

l’esquisse du Fils du pauvre lequel ne sera achevé et publié que dix ans plus tard et réédité en 1954 aux éditions du Seuil. Ainsi donc, Le fils du pauvre voit le jour presque au moment même de la publication de l’enquête de Camus sur Misère de la Kabylie. Pourquoi Mouloud Feraoun a-t-il focalisé toute son attention sur le terroir, sur la culture régionale, sur la spécificité kabyle ? Régionalisme et/ou ethnicisme comme l’ont souligné ses détracteurs ? A-t-il été sensible aux deux graves crises idéologico-politiques

connaître cette civilisation pour d’autre personne. 4- mon plan agencement d’intérieur Comme l'Algérie est très riche en tenus traditionnelles qui se varient d'une région à une autre c’est pour ça que je mais tous mais univers par région, La Kabylie : L’ancienne robe Kabyle été faite de laine blanche tissée, une seule pièce ouverte par une fente sur la poitrine. Les anciennes robes Kabyles n’avaient pas de

l’auteur Mouloud Feraoun (1913-1962) écrivain algérien d’expression française qui loin des évocations traditionnelles de l’orient mythique ,s’est attaché à être le témoin réaliste de déchirements de l’Algérie contemporaine .originaire de la grande Kabylie , Mouloud Feraoun connaît une enfance misérable ,élève boursier ,il devient instituteur puis directeur d’école .Il est sauvagement assassiné par l’O.A.S près d’Alger ,en 1962 alors même qu’il occupait les fonctions d’inspecteur des centres sociaux

Bitat – Mohamed Boudiaf – Mustapha Ben Boulaïd – Mohammed Khider – Didouche Mourad – Larbi Ben M’Hidi. (…) Dans les Aurès, en Kabylie, à Souk-Ahras, à Alger, au Condé-Smendou, à St Charles, au Khroub, Paul-Cassaigne, au même moment éclatent des bombes incendiaires, des coups de feu contre les postes de gendarmerie, centrales téléphoniques, etc… En Kabylie, des entrepôts de liège et de tabac flambent à Bordj Ménaïel, Camp du Maréchal, Draa-el-Mizan, Azazga, etc… La coordination

village. Chaque Thakkarubth possède un Taman, représentant désigné par tous. Son rôle est important : c’est lui, qui par exemple, reçoit la part de viande lors de l’abattage rituel des bœufs (Timashrat).  L’Adrum (pluriel Idharman) regroupe en haute Kabylie les Thakkarubth. Il s'agit d'une structure originale que l'on ne retrouve pas dans les autres communautés kabyles. Le village, Thaddarth, est formé de plusieurs Idharman, ou des Thakkarrubth. Il possède son assemblée (Tahma’th), où siègent les Taman