Kaldor

si les thèses développées s'inscrivent majoritairement dans la filiation des trois grands courants de pensée historique : néo-classique avec Hicks, Phillips, Malinvaud, Samuelson (modèle dit IS-LM) ; keynésien avec la nouvelle école de Cambridge, Kaldor, Weintraub, Kalecki ; marxiste avec Ernest Mandel, Michel Aglietta, Raul Prebisch, Pierre Salama. Des auteurs se démarquent cependant des trois grands courants de pensée comme Léontieff qui développe un modèle « d'input/output », l'ultra-libéral Hayek

politique monétaire appréhendée à travers ses objectifs à savoir la stabilité des prix et la stabilité de l’activité économique est importante. La stabilité des prix constituant l'un des axes privilégié de la politique économique (cf. le carré magique de Kaldor), le dérapage des prix enclenché à la fin des années 70 apparaît comme un déséquilibre d'autant plus préjudiciable qu'il s'accompagne d'une stagnation de l'activité économique. Les pays touchés se trouvent alors menacés d'une spirale dépressive :

certain retard, car le libre-échange favorise essentiellement les pays qui ont de l’avance sur les autres. Mais il faut veiller à ce que cette protection soit modérée, afin que les industries puissent ressentir les effets stimulants de la concurrence. Kaldor décrit le même processus appliqué aux industries en voie de reconversion, pour lesquelles on parlera de protectionnisme défensif. De grands défenseurs du libre-échange admettent également cette théorie en tant qu’exception à leur thèse principale

appartiennent à des courants radicalement opposés :   les "keynésiens fondamentalistes", dont les économistes "post keynésiens" de l’école de Cambridge, au premier rang desquels les membres de l’équipe qui entourait Keynes, Joan Robinson, Nicholas Kaldor entre autres [10], et en France et au Canada franophone, ceux qui vont se revendiquer d’une approche circuitiste, dans laquelle il n’ y a pas de place pour les marchés   les économistes libéraux, monétaristes autour de Milton Friedman, autrichiens

types de protectionnisme - protectionnisme tarifaire - protectionnisme non tarifaire - protectionnisme monétaire 2) Les avantages du protectionnisme - Théorie du protectionnisme éducateur de List - Théorie de l’industrie sénescente de kaldor - Théorie des politiques commerciales stratégiques de Krugman - Les autres arguments : activités stratégiques, prise en compte de l’opinion publique… 3) Les dangers du protectionnisme - Les limites théoriques : le protectionnisme réduit

éviter la surchauffe. Les ménages et les entreprises dépenseront moins ce qui fera baisser la demande et la pression sur les prix. L’objectif est d’obtenir une croissance équilibrée respectant les quatre critères du « carré magique »de Nicolas Kaldor : croissance proche de la croissance potentielle, plein emploi, absence d’inflation et balance courante équilibrée (Doc 1).  Cependant, ces politiques budgétaires sont encadrées. Dans la réalité, cette indépendance a été contrainte par le « pacte

l'équilibre (analyse de terme) • Le modèle de N. Kaldor : la répartition dépend du niveau de revenu, qui dépend de la demande effective et qui peut correspondre à une situation de sous-emploi. 14 • Le modèle de E. Schneider : la répartition commande le niveau de revenu, qui peut être un revenu de sous-emploi. b) La répartition dans la théorie néo-keynésienne de la croissance (analyse de moyen et long termes). • Le modèle de N. Kaldor : le taux d'investissement étant appelé à rester constant

théorie du stockage ne permettait pas d’expliquer la relation entre le prix à terme F et le prix au comptant S lorsque les stocks deviennent rares. En effet, si F = S + (Coûts de stockage), comment peut-il devenir inférieur à S? La réponse, venue de Kaldor (1939), réside dans le rendement d’opportunité (C) de l’opérateur, soit le bénéfice (en disponibilité, en frais et délais évités, etc.) qu’il retire d’un stockage. Brennan (1958) ajoute que le stockage permet la continuité de production et des gains

à court et moyen terme   B) Diagnostic externe : 1.1 Macro environnement (PESTEL) - Politique : volonté et pression des pouvoirs publics, interventions des organismes professionnels. - Economique : économie générale (carré magique de KALDOR) économie du marché lui-même. - Socio culturel : le consommateur, le consumérisme, la démographie. - Technologique : innovation, investissement. - Ecologique : protection de l’environnement, déchet, énergie. - Légal : loi au sens large, les normes

keynésiens. Dans le deuxième après guerre néo classiques et keynésiens se sont livrés à une belle bataille intellectuelle à propos de la croissance. D’un côté Solow, de l’autre Harrod et Domar avec par la suite l’intervention de Hicks, Robinson, Tobin, Kaldor ont essayé de trouver la clé de la croissance en partant de la fonction Cobb-Douglas Y= f(K,L). Ce qui signifie que la production (Y) est fonction des deux facteurs de production capital (K) et travail (L). Les uns ont réfléchi sur la base de modèles