Kant Assurer Son Propre Bonheur Est Un Devoir

LEÇON 1. La cité comme réalité et comme idéal I. La politique comme devoir moral Morale et politique sont identiques. La cité est comme la réalité et comme idéal. La politeïa est l’affaire des citoyens. A. La cité Grèce petit pays fractionné. Les vallées regardent vers le large. Les hommes sont isolés et tendance à se regrouper. Attirance notable vers la mer (commerce maritime avec esprit d’initiative et l’individualisme face au socialisme de l’Egypte). 3 caractéristiques de la cité : Etendue

l'idéalisme allemand pré-hégélien. La conscience objective de la belle âme déployée ici fait écho aux articulations de Schiller, Novalis, Jacobi, Schelling et Schleiermacher. Elle se présente comme une évolution vis à vis de la critique du « moralisme » de Kant et Fichte dans une critique redoublée de l'idéalisme esthétique et religieux. Elle cherche alors à rejoindre la participation communautaire où le Soi de chacun fait relais avec le Soi universel. S’installe ici une critique de l'essence de la conscience

(Descartes) PAGEREF _Toc196743881 h 2 1. La rvolution cartsienne PAGEREF _Toc196743882 h 2 2. Je pense, donc je suis PAGEREF _Toc196743883 h 3 3. La logique du systme cartsien PAGEREF _Toc196743884 h 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) PAGEREF _Toc196743885 h 5 1. Le Je pense est un principe dunit qui est la condition de toute pense PAGEREF _Toc196743886 h 5 2. Transcendantal et transcendant PAGEREF _Toc196743887 h 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) PAGEREF

L’existence précède l’essence II. Le procès de civilisation A. La culture comme éducation de l’homme par la société 1. La perfectibilité, condition de toute culture (Rousseau) 2. Le conflit est le moteur du développement culturel (Kant) 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 1. Le malaise dans la culture (Freud) 2. Répression et révolution (Marcuse) III. Culture particulière et culture universelle

l’archétype[19]. Or si Caïn devient, dans la Genèse, le fondateur de la civilisation et un bâtisseur de villes, c’est que la civilisation est inscrite sous le signe de Caïn, le criminel. Rousseau le démontre à l’envi : l’amour de soi, transmué en amour-propre par la médiatisation du regard social, transforme la pitié naturelle en rivalité mimétique[20]. Cette rivalité mimétique, doublée de la pulsion d’accaparement qui entraîne, selon Freud, vol, viols, esclavage et exploitation socio-économique, explique

trajectoire de ces planètes leur étaient bien apparues. C'est en effet l'observation des "phases" de Vénus (tout comme il existe des "phases" de la lune), qui constitue le point de départ de la distinction planètes astres. Celles-ci n'ont pas de rayonnement propre, elle ne font que refléter la lumière d'un autre corps céleste, ce que mettent en évidence les "quartiers" de la Lune ou de Vénus, lorsque la terre leur masque le soleil. - Enfin, une comparaison du différentiel de trajectoire entre les planètes

L’existence précède l’essence 7 II. Le procès de civilisation 8 A. La culture comme éducation de l’homme par la société 8 1. La perfectibilité, condition de toute culture (Rousseau) 8 2. Le conflit est le moteur du développement culturel (Kant) 9 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? 9 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière

religieuse, que je ne pourrais comprendre, faute de l’avoir jamais connue. De plus, ce cours est délicat, et il me semble que le premier devoir du professeur de philosophie est de chercher à ne froisser aucune conviction personnelle (attention : par « conviction personnelle », ici, je n’entends nullement l’opinion, le préjugé, qu’il est par contre de notre devoir d’essayer de vous enlever. Par exemple, je fais la différence entre « croire que les races sont inégales », qui est une opinion fausse,

réflexion claire du problème posé par Rousseau : la force fait elle le droit ? PLAN Introduction I force et droit : deux concepts antithétiques La force ne donne aucun droit, le vrai droit naît du consensus entre les hommes. Alors qu’on obéit à un devoir, on subit la violence. II la force comme source d’un pouvoir fragile. Quand un individu prend le pouvoir par la force, son autorité est vouée de facto à disparaître, car plus le temps passe, plus l’homme s’affaiblit, et perd de sa puissance. III

compte de la diversité des faits internationaux, il y a de nombreux débats entre internationalistes. Ces courants sont des modèles d'analyse, une certaines vision du monde, ce sont des paradigmes mais ce n'est pas la vérité absolue, ce sont leur propre analyses. Ces courants font des scénarios pour interpréter les relations internationales. Section 1  : Les approches réalistes et néoréalistes C'est le courant dominant de la discipline. §1/ L'approche réaliste C'est une approche très