Kant Concilier La Soumission

guettent 21 C. Supprimer nos désirs : le pessimisme 22 D. Transformer nos désirs : la sublimation 22 1. Platon 22 2. Nietzsche 23 3. Freud 24 V. Comment la raison peut-elle maîtriser les désirs ? 24 1. Les métaphores platoniciennes 25 2. Le lion de Kant : le respect 25 3. La tripartition freudienne 25 Annexes 26 A. Quelques idées supplémentaires 26 On désire toujours dans un contexte 26 La dimension antisociale du désir 26 L’impératif publicitaire : « tu dois désirer » 26 Critique de l’idée de sublimation

politique propose des idées politiques à des fins particulières : * science politique : quels sont les ressorts ? * philosophie politique : quels sont les mécanismes politiques ? Que dois-je penser, que dois-je faire, que puis-je espérer (E. Kant) ? Pourquoi l’histoire des idées politiques ? Les philosophes ont eu dans certains cas une influence : idées reprises par les acteurs politiques pour formuler leurs propres idées. - les concepts philo sont progressivement devenus langage

systématique de la réalité par la philosophie. Le concept de «philosophie de l’histoire» ne va pas tarder à se mettre en place dans l’œuvre de Kant. Elle est interprétée comme une «idée», c’est-à-dire un modèle de raison pure susceptible de donner un sens total et achevé à la suite chaotique des actions et des passions individuelles qui semblent n’avoir aucun sens. Kant au fond veut penser de façon systématique, dans l’ordre pratique de la morale et de la politique, l’ensemble rhapsodique des événements

prochainement — n'a pas peu contribué à me confirmer dans cette idée ; il m'a, au cours de mon voyage, constamment maintenu dans la sphère des idées élevées. Sans aucun doute, Lange a raison de prendre si gravement au sérieux la découverte que nous devons à Kant du caractère subjectif des formes de la perception ; et s'il a raison, n'est-il pas parfaitement raisonnable que chacun se choisisse une conception du monde qui lui suffise, c'est-à-dire qui donne satisfaction au besoin moral qui est à proprement parler

fontainier) singulière peut affirmer qu’elle est son corps. * 43  Loc. cit., p. 254. * 44  Ibid., p. 255. * 45  Georges Canguilhem, « Machine et organisme », La Connaissance de la vie, Paris: Vrin, 1971 (1965). (...) * 46  Emmanuel Kant, Critique de la faculté de juger, Alquié (éd.), Paris: Gallimard, 1985. Voir au §65. (...) 29 François Duchesneau insiste sur la première rencontre de l’anthropomorphisme dans la physiologie cartésienne, lorsque « les organes sont (...) interprétés

représente la construction de l’Etat. Il critique la position de l’Etat (à cause de la répression en Irlande). Il est choqué par l’instauration de la 1ère République anglaise qui se met en place autour d’une violence étatique. Machiavel dénonce la soumission à un pouvoir qui n’est pas légitime. Il montre le côté obscur de la force du chef dans « Le Prince ». Les deux mettent en avant l’idée qu’on doit pouvoir aller vers une rupture de ces mécanismes tyranniques autoritaires, les Etats nations qui

valeur éminente. Ajoutons qu'il y a derrière elle les hommes qui ont rendu l'humanité divine, et qui ont imprimé ainsi un caractère divin à la raison, attribut essentiel de l'humanité. » (Session de septembre) ANTHROPOLOGIE CD MONTPELLIER 1979 KANT « La nature ne fait rien en vain, et elle n’est pas prodigue dans l’emploi des moyens pour atteindre ses buts. En munissant l’homme de la raison et de la liberté du vouloir qui se fonde sur cette raison, elle indiquait déjà clairement son dessein

l’idée qu’il est seul capable de mener à bien l’œuvre entreprise. Dès la nuit du 10 novembre, il croit ses rêves venus d’en haut. Il remercie le Ciel de favoriser une ambition scientifique qu’il dit luimême être incroyable. Par la suite, malgré la soumission du génie à une raison qui, par essence, est égale chez tous, malgré la substitution, à l’imprévisible invention, de la rigueur d’une méthode universelle, Descartes n’aura confiance qu’en lui. De toute évidence, il y a quelque rapport entre cet

aussi l’écriture a été une façon de donner un sens à sa pathologie absurde. Il a eu la lucidité de comprendre que tant que la femme ne serait pas reconnue comme l’égale de l’homme, on ne pouvait avoir avec elle qu’une relation de domination ou de soumission… Kafka. L’écrivain praguois a trouvé dans son talent littéraire un exutoire à son terrible sentiment de culpabilité. Cette culpabilité absurde, car sans cause précise, est présente dans la plupart de ses romans et tout particulièrement dans

quelque sens qu’on le prenne à l’origine de la mauvaise conscience, c’est le dégoût. Il faut donc lutter contre les interprétations erronées, qui soit disent que la mauvaise conscience est naturelle chez l’homme, soit qu’elle est la conséquence de la soumission à l’autorité. d) L’origine de la mauvaise conscience § 16-20 La mauvaise conscience est une maladie qu’a développé l’homme pour s’adapter à une vie en société paisible, ce qui suppose l’exercice d’une conscience libre qu’on ne sait pas utiliser