Kant Inventer Decouvrir

 2- Définitions du terme « recherche », des termes associés et opposés 2.1- Rechercher désigne l'action insistante de chercher. 2.2- On recherche ce que l'on n'a pas mais que l'on désire acquérir, ce qui signifie soit trouver, soit retrouver, soit inventer.2.3- La recherche suppose effort et volonté, le désir est une condition nécessaire mais pas suffisante. 2.4- La recherche peut être tâtonnante, méthodique, individuelle, collective…2.5- La recherche aboutit quand on atteint son objectif ou quand

était en attente d’être contemplée. C’est à la fois caché et présent dans les formes sensibles. Le théorème de Pythagore est présent dans n’importe quel triangle sensible, et en même temps il se cache. Il a fallu un effort extraordinaire pour le découvrir. La théorie c’est quelque chose qui se manifeste tout en se cachant à la plupart des hommes. Retenir trois propriétés de théoria = vision, contemplation, théoria= découverte, dévoilement, théoria= ce sont des essences, des propriétés essentielles

cinq doigts, il suffit de la percevoir. Cependant, on peut objecter à cela que bien souvent mes perceptions sont trompeuses, et ne peuvent alors être identifiées à des savoirs. ® Mobiliser ses connaissances Aperception : Mot inventé par Leibniz et repris ensuite par Kant dans la Critique de la raison pure (aperception transcendantale), pour désigner l’acte par lequel un sujet opère un retour réflexif sur ses perceptions et en prend conscience. Leibniz oppose ainsi l’aperception aux « petites

dirige la foule et lui attribue son destin. Il imagine la société et l’édifie par la parole. Il donne l’impulsion et le mouvement, et fait advenir. De même que la Pythie de Delphes, les sophistes prononcent des mots dont le sens et la portée sont à découvrir. La parole devient créatrice par elle-même. La loi est relative à l'essence de l'Homme c'est à dire à sa raison. C'est le discours de la vérité. La rhétorique ou l’art de bien parler est née de procès de propriété au début du Ve siècle av. J.-C

............................................................................................. La critique de l’empirisme (David Hum) .......................................................................... La critique positiviste (Emmanuel Kant, Auguste Comte) ................................................ La critique marxiste ........................................................................................................... La critique de Nietzche .......................

techniques merveilleuses, en particulier ses techniques de communication, est en rupture radicale avec un passé même relativement récent, et bien des pédagogues actuels ne voient pas ce que Socrate, Platon ou Aristote, ou même Descartes, Rousseau ou Kant pourraient leur apporter; et, d’ailleurs, dans un monde en pleine transformation, à quelle citoyenneté préparer ceux qui seront les adultes de demain? D’où les incertitudes des éducateurs, et les vives oppositions qui traversent le monde de l’éducation

convient-il de nous interroger sur la place de la vérité dans l'exercice philosophique et dans la vie de tout homme. La quête de la vérité qui a occupé tant d'éminents esprits, et suscité même une forme d'obsession chez des personnages comme Socrate ou Kant, a-t-elle du sens ? N'est-elle pas vaine et déraisonnée, voire tragique ? Et cependant, n'avons-nous pas, du fait de notre condition humaine, un besoin de vérité, un besoin de sens, qui nous poussent vers cette quête comme condition de sens et de

figures, mais l'essentiel est dans la façon dont il établit par la raison les propriétés des angles alternes et correspondants. Cette connaissance est dite théorique car elle ne change rien à ce qu'elle expose. Connaître scientifiquement signifie découvrir des vérités qui existent indépendamment de nous et que nous ne pouvons pas modifier. On pourrait dire la même chose de la physique à l'époque classique. Galilée ne crée pas la loi d'inertie. Il la formule et explique ainsi des phénomènes dont nous

l’esprit : un plaisir désintéressé Certes, l’œuvre d’art est bien objet des sens ; c’est par la vue que s’éprouve l’harmonie chatoyante d’un tableau, ou par l’ouïe les nuances d’une mélodie. Mais le plaisir esthétique s’adresse aussi à l’esprit. Pour Kant, ce que nous trouvons beau dans un tableau, ce n’est pas tant la matière, à savoir telle ou telle couleur particulière (matière est perçue par les sens) que la forme : la composition, le dessin (NOUS REVERRONS LA DISTINCTION MATIÈRE/FORME). C’est

la contrainte chez Kant à la norme obligatoire de Kelsen Kant était un philosophe allemand qui est le point de départ sur lequel s’est édifiée la pensée de Kelsen, juriste autrichien : ce dernier a élaboré la version moderne de la pensée positiviste. A) La contrainte chez Kant : expression du droit objectif Chez Hobbes, la souveraineté et la contrainte sont la même chose. Avec Kant, c’est le droit lui-même qui va s’identifier à la contrainte. Le raisonnement de Kant va s’opérer en deux