Kant La Fin Justifie Les Moyens

que pas davantage que la désobéissance ne se justifie pour elle-même, l’obéissance n’a sa propre raison d’être. Elle se justifie plutôt à considérer ce que Kant met en valeur comme « l’insociable sociabilité de l’homme », à savoir une « inclination à entrer en société » inclination doublée cependant d’une « répulsion à le faire menaçant constamment de désagréger la société. » (Idée d’une histoire universelle… Prop 4). Schopenhauer, un disciple de Kant, illustre ce phénomène par l’allégorie des porcs

meilleures raisons du monde : qui a jamais participé à une guerre injuste ? Vrai travail de Sisyphe - à cette différence que Sisyphe ne mourait pas. Rien n'est plus funeste que l'idée cynique selon laquelle la fin justifie les moyens. Il n'y a pas de symétrie : la fin n'est que possible, seuls les moyens sont réels. La justification de la guerre On peut considérer que faire la guerre pour réaliser un idéal de liberté, de justice est préférable au fait d'avoir à supporter quotidiennement l'esclavage et

bonheur est le grand gagnant au therme d'une décision. On peut se baser sur l'intensité, la durée et le degré de certitude pour faire un bon choix. De plus, on se fiche du pourquoi l'action est faite, ce qui compte c'est le résultat. La fin justifie donc les moyens. Dans cette optique, on peut appliquer ce principe au problème que présente l'euthanasie. Par pitié et par compassion, le père a enlevé la vie à sa fille handicapée. Malgré le fait qu'il contrevient à la norme de ne pas tuer, son action

DM Critique de la raison pure. ->Qu’apprends-t-on sur la nature de la raison ? -La nature de cette raison est un enjeu principal de l‘œuvre, Kant se demande si la raison peut fonctionner, si elle peut nous faire comprendre quelque chose. Il va donc chercher à comprendre l’idée de ces objets purs. La raison ne va pas être critiquée sur sa nature (Kant étant un philosophe des Lumières, il croit donc qu’elle est bonne par nature. Néanmoins, il subsiste un risque de mélanger, de confondre les domaines)

sécurité en Afghanistan et de participer à la démocratisation du pays. Cette situation amène un certain questionnement : savoir si la guerre à une raison d’être et si elle est juste. Nous allons traiter au cours de ce texte de la position de Walzer, de Kant ainsi que de mon point de vue personnel. Plusieurs raisons expliquent l’intervention des Nations Unies en Afghanistan. L’Afghanistan est un pays qui était dirigé par un régime taliban. Dans ce régime, les droits de la personne sont très limités,

avec l’interprétation kantienne de la moralité que le devoir devient central. Avant Kant, en effet, les moralistes s’étaient beaucoup plus préoccupés des fins de la vie morale, de ce qu’elle permettait d’espérer ou d’obtenir. Pour les uns (eudémonistes), il s’agissait du bonheur (Aristote :"l’homme vit pour être heureux") ; pour les autres (hédonistes), il convenait de privilégier le plaisir (les Épicuriens). · Pour Kant, le bonheur est un but trop élevé, mais le plaisir vise en quelque sorte trop bas

pour définir la moralité d'un acte. Pk ?Tout acte moral a une volonté bonne pour intention. Pk acte est bon?1=observation,2=tradition. Faux selon K car principe moral est universel. Extrait2 :La thèse de Kant: la moralité d'une action réside dans la bonne volonté. Tout d'abord. Kant va justifier l'idée qu'un être rationnel n'a pas pour seuls buts la conservation de sa vie ou son bien-être. Son argument peut être compris ainsi: Tout être organisé contient des organes qui ont un but bien défini de

bien enchaîner, bien ajuster (moyens bien ajustés à une fin). D'où, prévisible: 5 + 3 permet de prévoir 8. Économie = rationalisation = délocalisation. Est rationnel ce qui peut être exprimé ou remplacé par des nombres entiers ou des nombres fractionnaires: ce qui est numériquement exprimable. Le triomphe du rationnel c'est le mécanisme déterministe: l'horloge. Il s'agit dans tous les cas d'un chemin déductif qui ajuste parfaitement les moyens à une fin au point de pouvoir être identifié

sens, n'est-il pas justifié de désobéir? N'est-il pas en effet légitime, moralement et même politiquement, de désobéir à une loi si elle est injuste et que je me soucie du bien-être de ma nation? Il en va de même pour la loi morale, d'ailleurs : ne peut-il pas être justifié, légitime, c'est-à-dire raisonnable, de désobéir à la loi morale? Est-il, par exemple, toujours juste de ne pas mentir?          Mais, encore faut-il pouvoir prouver que la loi est injuste pour justifier ma désobéissance. Or

davantage que  la  désobéissance  ne se  justifie  pour elle­même, l’obéissance n’a   sa propre  raison d’être. Elle  se  justifie  plutôt à  considérer ce  que  Kant met en  valeur  comme  « l’insociable  sociabilité  de  l’homme »,  à savoir une « inclination à entrer en société » inclination doublée cependant d’une  «  répulsion à  le  faire menaçant constamment de désagréger la société. » (Idée d’une  histoire universelle…  Prop  4).  Schopenhauer,  un  disciple  de  Kant,  illustre  ce  phénomène  par