Kant Le Langage

volonté de vérité qui nous apparait comme évidente. Tout est fait en nous de sorte à ce qu'une loi morale ou une conscience morale nous oblige à chercher la vérité et a rejeter le faux. Dans un 1er temps, nous traiterons du devoir de véracité selon Kant et de celui de chercher la vérité. Puis dans un second temps nous parlerons de la vérité d'après Nietzsche au travers de Deleuze, pour finir par la vérité de James selon Bergson. Pour beaucoup, le désire de savoir est la condition naturelle de

Dieu : la théorie de l’innéisme. Cependant, la clarté d’une proposition ne suffit pas nous assurer de sa vérité. La synthèse de Kant : une révolution copernicienne La question de la vérité se décentre, elle ne porte plus sur les choses mais sur l’esprit qui se tourne vers les choses. Il s’agit de préciser les conditions de possibilité de toute connaissance (Kant). L’être en soi (le noumène) échappe à l’esprit qui n’a accès qu’au phénomène : la chose telle qu’elle se manifeste à travers les structures

libresOrigineCONSCIENCEINCONSCIENTSUJETPouvoirNiveauxRêves, lapsus, actes manquésMorale => Droit => PolitiqueSujet, liberté, responsabilité
=> DroitHypothèseRapports? sujet du langage (enfant non désiré) LacanLimites-- CONSCIENCE Moi = le moi est incontestable et inconnaissable: la conscience de soi n'est pas connaissance de soi (Kant). Bien distinguer l'existence qui ne se déduit pas, et ne se définit pas (un acte ne se définit pas) et l'essence. (Utiliser Sartre: Être c'est se faire par ses projets

c’est bien dans l’origine qu’on pourra le saisir dans toute sa pureté. Et seule la philosophie peut le faire, car elle est cette parole qui se risque à dire l’origine. Et tout d’abord l’origine du mot (si tant est que l’on pense dans un langage, le mot peut nous faire penser).Le terme religion a deux étymologies possibles : • Relegere : recueillir, rassembler (de legere rassembler, au fig.: lire). L’étymologie dit ici l’aspect sociale de la réalité religieuse : les hommes se rassemblent

ou le cinéma… Tous ces arts recourent au langage…qui n’a pas de signification propre en lui-même. Celle-ci lui est donnée, fruit de conventions…et illustre bien ma nécessité de l’autre, de sa présence, de son écoute, de sa capacité à me comprendre. Et ce qui est valable pour le langage l’est d’autant plus pour l’évocation de références culturelles ou de figures stylistiques. L’œuvre d’art, me la faisant expérimenter, me dévoile cette nécessité. Le langage – et donc toutes les œuvres qui en découlent-

de vue cosmopolitique (1784) ouvrage de maturité. (Problématique Aristotélicienne – langage, cadre de socialisation épanouissement, perfectibilité de l’homme au sein de la société.) (Problématique de Hobbes - l’homme est un loup pour l’homme, rationalisation) (Rousseau agressivité qui repose sur la socialisation par hasard… Il ne faut pas revenir en arrière mais faire évoluer cette société en bien.) Kant a derrière lui la tradition de Hobbes, de Rousseau, de Aristote… Il va nous proposer une

conscience, une représentation du monde m’accompagne. Mais en même temps, la conscience est ce qui me place en position de sujet, seul, parmi tous les êtres vivants, à posséder le sentiment de mon existence. De Socrate (« Connais-toi toi-même ») à Kant, les philosophes classiques accordent donc à la conscience une place centrale : « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui

Concepts : liberté politique , état de nature , perfectibilité , éducation La liberté (liberté politique) chez Kant et Rousseau Qu’est-ce que la liberté ? Il y a plusieurs sortes de liberté , mais ce qu’il faut savoir c’est qu’elles ne sont pas toutes véritables.Tout dépend de quelle façon elle est exercée et acquise ; par exemple il y a une différence entre être esclave et être libre de choisir un quart de travail ou un autre ou être fondamentalement libre.Chaque être humain et animal le sont à

nous déshumanise. I- - La culture tente avant - tout de sortir l’homme de l’animalité. L’homme acquit le langage essentiellement par la culture, le langage est une condition primordiale à l’accès à l’état d’humain ; en effet Kant analyse dans son ouvrage «  Anthropologie du point de vue pragmatique » le sujet comme un être de culture possédant le langage grâce à la formation de l’éducation. L'éducation est étymologiquement l'action de « guider hors de » ce serait alors le fait

Conjectures sur les débuts de l’histoire humaine   Introduction : Dans ce texte extrait des Conjectures sur les débuts de l’histoire humaine, Kant avance une hypothèse pour expliquer ce qui fait de l’homme un être à part dans la nature. Ce passage démontre ainsi que l’arrachement du sujet à la nature est le résultat de l’usage de ses facultés intellectuelles ; on peut alors penser la culture selon l’idée d’un progrès et comme la réalisation de sa nature propre, c'est-à-dire morale.  C’est donc