Kant Supposons Que Quelqu Un Affirme

7 3 Développement 3.1 Types de sujet . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.1 Un seul concept . . . . . . . . . . . 3.1.2 Deux concepts . . . . . . . . . . . 3.1.3 Une question . . . . . . . . . . . . 3.1.4 Une citation . . . . . . . . . . . . . 3.2 Quelques types de plan . . . . . . . . . . . 3.2.1 Le plan dialectique . . . . . . . . . 3.2.2 Le plan de réhabilitation . . . . . . 3.2.3 Le plan de dégradation . . . . . . . 3.2.4 Le plan criticiste . . . . . . . . . . 3.2.5 Le plan inconnu . . . . . .

bateau. Supposons qu’il fasse des changements très graduels : une infime partie du bateau est changée à chaque fois. Au bout d’un certain nombre de changements, le bateau de Thésée actuel, par rapport au bateau de Thésée original, n’a plus aucune pièce en commun : toutes les parties du bateau ont finalement été changées. S’agit-il alors du même bateau ? Si l’on affirme qu’il ne s’agit pas du même bateau, on rencontre un problème que l’on appelle celui de la transitivité de l’identité. Supposons que l’on

La vie imite l’art, bien plus que l’art n’imite lavie  » WILDE. «  L’œuvre d’art n’est pas la représentation d’une belle chose, mais la belle représentation d’une chose  » KANT. Citations : «  Le mot ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal  » BERGSON. «  Les limites de mon langage signifient

l'absence de choix, il n'y a pas non plus de responsabilité, de faute ou de péché, puisqu'il n'y a pas d'autre possibilité que celle envisagée. La nature est selon nous innocente parce qu'elle n'est pas libre, et c'est inversement parce que nous supposons que les hommes le sont que nous les accusons. Mais cette hypothèse en appelle une autre : si tout dans la nature est nécessaire, les hommes ne peuvent avoir le choix entre différentes possibilités que s'ils obéissent à d'autres lois que les siennes

pourtant très similaires, ce qui laisse soupçonner quelque trafic dans le sens des mots, quelque détournement majeur, quelque brigandage langagier, lesquels sont toujours annonciateurs des pires dominations et des pires tyrannies. Qu’est ce qu’on veut donc nous faire croire en disant que la fin justifie les moyens ? Et en disant le contraire ? Justifier c’est faire (facio latin) juste, rendre juste ; donc le problème ici est clairement : comment quelque chose devient-il juste ? Mais cette transformation

Fiche de lecture : Analytique du beau, in Critique de la faculté de juger, (Kant) Mouvement du texte Citations Analyse des concepts Première partie (§1-5) : Kant détermine la qualité du jugement de goût Le jugement de goût n’est pas un jugement de connaissance, car la représentation d’un objet donné est rapportée au sujet et au plaisir (ou au déplaisir) causé par l’objet ; par conséquent, ce n’est pas un jugement logique mais esthétique, ce qui signifie que son principe déterminant est

20 Le fondement de la morale PAGEREF _Toc194758056 h 21 La source de la moralit PAGEREF _Toc194758057 h 21 Annexes PAGEREF _Toc194758058 h 21 Quelques ides supplmentaires PAGEREF _Toc194758059 h 21 Le taosme PAGEREF _Toc194758060 h 21 Le pardon PAGEREF _Toc194758061 h 21 Une thorie de la magie PAGEREF _Toc194758062 h 22 Le devoir dtre heureux (Kant) PAGEREF _Toc194758063 h 22 Il y a tout de mme de belles actions (Montaigne) PAGEREF _Toc194758064 h 22 Juger et comprendre PAGEREF _Toc194758065

c’est le sentiment que nous avons de ne pas dépendre de quoi que ce soit qui nous fait déduire que nous sommes indépendants. Nietzsche le présente comme étant le raisonnement que tous les hommes font, ce qui revient à dire que les philosophes, comme Kant, qui défendent la thèse du libre arbitre ne font rien d’autre que reprendre un raisonnement du peuple. Cette supposée indépendance peut être appelée libre arbitre, c’est-à-dire pour parler comme Descartes de « la faculté positive à se déterminer

dont la société fourmille sont une entrave à la liberté ; mais ne peut-on au contraire les comprendre comme ce dont la liberté se nourrit ? La liberté est-elle un droit absolu immédiat, ou est-elle au contraire quelque chose à conquérir, à mériter et à cultiver ? Question : Est-elle quelque chose de donné, ou faut-il la construire ? 1. La liberté comme pouvoir de se déterminer. a) La liberté comme nécessité ? La liberté n’est ni caprice ni fantaisie. Mais ne peut-on pas, parfois, faire en sorte

manière d'être ou moeurs. Morale, éthique et moeurs sont des regles qu l'on doit obeir. Mais alors que les moeurs varient avec les cultures et l'époque, la morale peut se definir comme un ensemble de conduites permises à l'homme. Dès que l'on fait quelque chose que n'est pas moralement bonne, on aura une punition. Le regard des autres compte sur nous. L'éthique nous enseigne où est notre bien, cet une sagesse qui a comme fin le bonheur et une sagesse veritable. Être sagesse signifie être moralement