Kant Vs Bentham

terrestre). Hume conteste la causalité en tant que concept métaphysique. La causalité n’est pas distincte de l’expérience. Mais cette théorie est difficilement soutenable c’est d’ailleurs sur ce point là que Kant a été réveillé. L’habitude ne peut certainement pas établir une loi scientifique. Kant réfléchi pendant 11 ans il n’écrit plus rien. Au bout il écrit la critique de la raison pure. Une objection sur Hume : on imagine mal comment dans ce cadre les lois peuvent exister. Les lois de la nature

qu’il y a des différences. La question est de savoir si ces différences peuvent nous donner des critères de distinction. Toutes les deux sont des règles de conduites. I. Différence de domaines a) La théorie classique de l’inclusion Bentham : le domaine de la morale est plus vaste que celui du droit, et le domaine du droit y est inclus. 3 types de devoirs : * De l’homme envers lui-même * De l’homme envers les autres * De l’homme envers Dieu * Le droit ne détermine

type démocratique. Les hommes sont libres dans la société civile parce que c’est eux qui concourent à la formation de la Loi, de la volonté générale. • La nature humaine, fondement des droits de l’homme : la philosophie des Lumières de Montesquieu à Kant La philosophie des Lumières c’est le nom qu’on donne aux grands auteurs philosophies du 18ème siècle. Ici, pour s’en tenir aux auteurs français, on peut citer deux grands auteurs : Montesquieu et Voltaire. Montesquieu estime qu’il faut faire confiance

de corps politiques.  relations entre individu et État (mm si pas ressortissant  relation interne à État).  relation entre corps politiques càd structures collectives n’ayant pas finalité individuelle. RI relèvent du droit international (J. Bentham, introduction au ppe de la morale et de la législation). RI st plus que de la diplomatie. Ministères des aff étrangères. Intermédiaire d’agents diplomatiques. Section 2 - histoire des RI. §1 - Monde sans RI, de l’époque romaine à la Renaissance

culturelles, sociales etc..) Ce sont des échanges de marchandises, personnes, circulations d’informations, d’idées, capitaux, etc... Internationales : Origine -> adjectif que l’on trouve pour la première fois dans les écrits d’un philosophe britannique : BENTHAM Jérémy ( philosophe utilitariste qui emploi le terme international a la fin du 18ème siècle) en 1789 , il écrit un ouvrage dans lequel on trouve le terme INTERNATIONAL LAW, il distingue le droit international et les droits à l’international. Au paravant

La pression des ONG, de l’utilité publique à la manipulation a- Des moyens de pression efficaces et diversifiés b- L’incidence de la pression des ONG sur les entreprises : le cas de Total en Birmanie cLe risque de dérives des ONG: le cas « Greenpeace vs. Shell » dans l’a ffaire Brent Spar B. Les agences de notation : une pression nécessaire mais controv ersée a- Historique des agences et de leurs actions b- Leur remise en cause C. Les fonds et inv estissements éthiques : un nouv eau moyen de pression

Jacques T. Godbout (2000) Le don la dette et l’identité Homo donator vs homo œconomicus Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, bénévole Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel : mailto : mabergeron@videotron.ca Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http://classiques

seulement qu'un modèle de rationalité, c'est-à-dire la rationalité utilitaire, soutenue soit par la vérification expérimentale ou l'utilité. Ce modèle de rationalité est au cœur de la modernité occidentale. Défendu par les pères de l'utilitarisme, Jeremy Bentham ( 1748-1832 ) et John Stuart Mill ( 1806-1873 ), ce modèle appuie un ordre qui profite au plus grand nombre possible de personnes et nuit le moins possible ( Scarre, 1996 ). En 1861, Mill a ainsi décrit l'utilitarisme : La doctrine qui donne comme

encore par leur seul intérêt. Et il est bon qu’il en soit ainsi car il ne peut exister d’autre fondement possible aux normes éthiques que la loi du bonheur des individus ou de la collectivité des individus. En effet, en fin de compte, comme l’écrit Bentham, ne sont justes et rationnelles que les décisions qui vont dans le sens d’une maximisation de l’utilité, c’est-à-dire qui produisent le plus grand bonheur pour le plus grand nombre. © Groupe Eyrolles La raison, débarrassée de toute transcendance

encore par leur seul intérêt. Et il est bon qu’il en soit ainsi car il ne peut exister d’autre fondement possible aux normes éthiques que la loi du bonheur des individus ou de la collectivité des individus. En effet, en fin de compte, comme l’écrit Bentham, ne sont justes et rationnelles que les décisions qui vont dans le sens d’une maximisation de l’utilité, c’est-à-dire qui produisent le plus grand bonheur pour le plus grand nombre. La raison, débarrassée de toute transcendance et de toute finalité