Kant époque éclairée

mathématique sur les autres sciences T 5 p 184 : la mathématique universelle T 17 et 18 p 194 T 19 p 195 T 21 p 197 Kant, T 3 et 4 p 293-295 : La révolution copernicienne T 9 p 298 Hegel, T 5 p 328 : Tout est contradictoire ! Bachelard, T 6 p 484 Einstein, T 1 p 476 Lectures Descartes, Discours de la Méthode Kant, Seconde Préface de la Critique de la Raison Pure Kuhn, La structure des révolutions scientifiques Jean STAUNE, Notre existence a-t-elle un

contradiction avec elle-même, et (comme le dit Leibniz) ce qui est non-contradictoire indique (voire démontre) ce qui est possible mais non pas ce qui est réel et existant ; seule l’expérience sensible peut montrer ce qui existe réellement. On peut ainsi (avec Kant) distinguer ce qu’est penser et ce qu’est connaître : penser est l’activité de l’esprit qui raisonne aussi rigoureusement que possible, c’est-à-dire enchaîne les représentations (les idées, les énoncés) en veillant à ne pas se contredire (et en le

savoir lorsqu’il est encadré par la rationalité dévient la caractéristique de la science. Ainsi, elle poursuit le même but que la science, à savoir la recherche de l’efficacité qui est l’attribut de la technologie. Ce qui est aussi marquant à cette époque, c’est le rapport entre la science la technique. Si autrefois, la science était définir comme l’aspect théorique et la technique comme l’aspect pratique, à l’époque Moderne, l’on assiste à une fusion deux notions. On ne fait plus de distinction entre

nous accoutumer au bien, et pour nous rendre la vertu familière. C’était le but de Moïse et d’autres bons législateurs, des sages fondateurs des ordres religieux, et surtout de Jésus-Christ, divin fondateur de la religion la plus pure et la plus éclairée. Il en est autant des formulaires de créance ; ils seraient passables, s’il n’y avait rien qui ne fût conforme à la vérité salutaire, quand même toute la vérité dont il s’agit n’y serait pas. Mais il n’arrive que trop souvent que la dévotion est

élus défilent dans la ville et sont célébrés par la population ce qui est susceptible d’accentuer l’intérêt de celle ci pour le vote. 3°) la diversité des consultations : on ne vote pas toujours pour élire des représentants. En France à une certaine époque on élisait les gradés de la garde nationale. Il faut rappeler la pratique des referendums qui permet d’interroger la population sur une question politique. Napoléon III a soumis le rattachement de la Savoie à la France au referendum.  la diffusion

ZENKER — Histoire de la philosophie chinoise 3 TABLE DES Notes — Bibliographie — Index MATIÈRES PREMIER LIVRE : DE L’ÉPOQUE CLASSIQUE A LA SOCIÉTÉ DES HAN Avant-propos Première partie : L’époque préclassique. I. Introduction. II. L’ époque préhistorique . Deuxième partie : L’époque classique. III. IV. V. VI. VII. VIII. IX. X. Les précurseurs. Lao-tse. K’oung -tse (Confucius). Le taoïsme classique après Lao-tse. Mei-ti et le meitisme. Les sophistes et le développement de la logique en

un concept. Le général est pensé au delà du particulier. Ce dernier se présente à nous sous le mode de la diversité, du changement. Capacité de rassembler le divers sous un même concept, étant en lui même précédé d'un article. Cela montre à cette époque la volonté de surmonter la diversité telle qu'elle se présente à nos sens. Il existe toute sorte de façon d'être humain. Si on dit l'Homme, on vise ce qui est commun aux hommes et aux femmes. L'Homme est un animal qui possède le logos : la parole

classification aristotélicienne des régimes politiques Il ne mélange pas l’éthique, l’économie et le politique. Critère de classification pr les régimes politiques : nombre de gouvernants / leur état d’esprit. 1) 2 types de monarchies Monarchie absolue et éclairée : le roi travaille ds l’intérêt de la cité. Victorieux, pvr héréditaire ou non (non-viagère). monarchie absolue, Il a le souci du bien public. La tyrannie 2) L’oligarchie Baisse du rôle de l’argent, nomocratie accrue. 4 formes. Argent conditionne

éducative oblige, nous le verrons, moins à regarder derrière qu’à scruter l’horizon ; l’expiation sacralise la douleur. Elle lui prête des vertus éducatives, en faisant de l’expérience douloureuse un moment rédempteur  [7]. Et pourtant, Platon, Leibniz, Kant ou encore Hegel défendent le principe de l’expiation. Si nous menions une enquête auprès de nos contemporains, nous serions sans aucun doute surpris de voir les suffrages qu’elle recueille. Quels sont les arguments qui plaident en faveur de l’expiation

dans leurs droits usurpés ; dans les pays où l’affreuse inquisition19 est établie, elle fournit des exemples fréquents de sacrifices humains, qui ne le cèdent en rien à la barbarie de ceux des prêtres mexicains. Il n’en est point ainsi des contrées éclairées par les lumières de la raison et de la philosophie, le prêtre n’y oublie jamais qu’il est homme, sujet, et citoyen. 19. Juridiction ecclésiastique d’exception instituée pour la répression, dans toute la chrétienté, des crimes d’hérésie et des