Keiretsu

des conglomérats. Entre 1950 et 1990, sous la pression américaine, les Zaïbatsu deviennent des Keiretsu c'est-à-dire des multinationales extrêmement puissantes qui s’associent entre elles et partent à l’assaut économique du monde. Le Japon entre alors dans une phase de croissance économique fulgurante. La Corée du Sud imite le « grand frère », avec le développement de grandes sociétés à l’image des keiretsu, les Chaebols. Les marques LG, Hyundai, ou encore Samsung sont des exemples de Chaebols coréens

Toyota structure ses fournisseurs (31 en tout) dans un ensemble, le keiretsu, où tous les partenaires ont leur mot à dire. L’objectif commun est la croissance des parts de marché, on observe d’ailleurs que Denso et Aisin Seiki sont respectivement 2ème et 6ème dans le classement mondial des sous-traitants automobiles en ne travaillant qu’avec Toyota. L’entreprise a fait profiter ses fournisseurs de sa croissance. Le keiretsu ne se limite pas seulement à la vente, ainsi le partenariat va plus loin

the execution phase was smooth without a strong imposition of the Chief operating officer. A very good point that ends up saving cost and generating money is the contraction of the Nissan Keiretsu. By doing that sourcing of car parts and components was based on market with price negotiation. In the past the Keiretsu set the price and Nissan had to pay the (high) price. Sharing platforms was also a need in order to become more performing, limiting the expense and invests but also using the share resources

années 1990, le yen a pris de la valeur, les produits sont donc devenus plus cher. Mais le pays arrive toujours à s’imposer sur le marché mondial tout en protégeant son marché national. h. Une réussite économique fragile La puissance des keiretsu qui pratiquent la sous-traitance (sur place ou à l’étranger), et la surveillance du MITI a pu créer un Japon réussit Mais le fonctionnement japonais fut critiqué par ses licenciements massifs et par le krach boursier asiatique en 1997. La société

l’occupation de Wei Hai-Wai, enfin l’ouverture au commerce nippon de nouvelles villes dont Tchong-King dans l’intérieur de l’empire. 5) Une révolution industrielle. Zaibatsu 財閥 / keiretsu 系列 Elle existe depuis très longtemps, des familles de l'ère Edo vont devenir des grands groupes financiers ou même de commerce. Ces keiretsu sont extrêmement liés aux plus libéraux sur un plan politique, et encouragent les processus des colonisations 5,2 % ====> 9 % production manufacture PIB japon Rôle important

dépenses militaires (1 % du PIB) et à une idéologie appelée harmonie industrielle. L’organisation économique du Japon a quelques traits caractéristiques :  Les liens étroits entre industriels, sous-traitants, et distributeurs dans des groupes appelés KEIRETSU ;  De puissants syndicats d’entreprise, peu de conflits, un mouvement de revendications salariales annuel (SHUNTO) au printemps.  De forts investissements dans la recherche et le développement Analyse des six secteurs clés de l’économie nipponne

dépassent le milliard de dollars pour l’industrie nationale. Les entreprises connexes (énergie, sidérurgie et chimie) en subissent des retombées importantes. La souveraineté du Japon est retrouvée en 1952 et les anciennes zaibatsu se reforment en keiretsu (conglomérats; groupes de patrons), beaucoup moins structurées mais cohérentes dans leurs politiques. En 1954 est signé avec les États-Unis un traité de défense mutuelle qui laisse beaucoup plus de marge de man uvre au Japon ainsi que la création

centralizing and globalizing Renault’s and Nissan’s procurement, these costs could be cut by 20 per cent. To accomplish this, however, Ghosn needed to overcome a key element of the Japanese environment; the keirestsu system. The keiretsu system, in which members of a keiretsu group own shares in each other, has been a mainstay of the Japanese economy since World War II. The system is designed to build trust and promote stable, long term cooperative relationships among suppliers and customers. 3

appelé « keiretsu » consiste en des prises de participations croisées : 30 à 50 % du capital des grandes entreprises sont détenus par des entreprises appartenant au même « keiretsu ». Ce dispositif maintient les entreprises hors de portée des investisseurs étrangers. Ce procédé, très présent dans le secteur automobile, permet d’entretenir une relation durable entre fournisseurs et acheteurs. Malgré cela, on constate un inconvénient majeur en rapport avec les prix pratiqués au sein du « keiretsu » parfois

ministère des finances). Les entreprises (parmi les plus puissantes du monde) qui ont une politique commerciale agressive et qui recherchent en permanence l'innovation (recherche-développement). Elles forment de puissants groupes industriels appelés les keiretsu (ex. Mitsubishi, Mitsui, Sumitomo, Fuyo (Banque Fuji), D.K.B. (Banque Dai-Ichi Kangyo) et Sanwa (Banque Sanwa) Les Japonais eux-mêmes, éduqués et formés pour servir l'économie du pays, avec un sens élevé de la hiérarchie et de la discipline (obéir