Kelsen Le Parlement Le Destin De La Démocratie

la théologie même, la théologie du péché – une laïcité qui libérera de la religion le système juridique, en même temps qu’elle relativise le droit en dévoilant ses misères. Coup double ! J’ai quelquefois rêvé, dans le respect de son génie, d’un Kelsen que Luther aurait converti afin de lui épargner les affres d’un dilemme : ou bien la norme fondamentale dont il couronne sa construction est parole de Dieu, et le droit tout entier, en dessous, devient religion ; ou bien elle n’est que parole humaine

administratif, surtout dans les états socialistes ou dans les jeunes états issus de la décolonisation dans lesquels l’initiative privée ne pouvait prendre en charge l’immense charge du développement. Dans les sociétés industrielles qui sont des démocraties pluralistes, le dirigisme connaît parfois un reflux au profit de la dérégulation mais l’action de l’Etat est en général nécessaire pour atteindre le bien-être. Les fonctions de l’Etat et de l’administration s’étendent et se diversifient, ce qui

comme émanation de l'ascétisme.................. 345 Chapitre III – Christianisme et socialisme ................................................ 350 Chapitre IV – Du socialisme moral, et du néo-criticisme en particulier... 368 Chapitre V – La démocratie économique .................................................. 379 Chapitre VI – La morale capitaliste .......................................................... 387 Cinquième partie : le destructionnisme ........................................

advienne, les E peuvent décider entre eux de conclure un traité selon des formes différentes que celles énoncées dans la Convention de Vienne (oral, échange de lettre). - Définition coutumière : Accord conclu entre sujets du DI régit par le DI et destiné à produire des effets de droit.  Accord : rencontre de vlté entre des sujets. Peut porter sur différents objets (transaction, création d’une organisation internationale). Importance du consensualisme. En 1951, la Cour internationale de justice

Hans Kelsen… L’Etat c’est la contrainte, selon Kelsen. Il part du même principe que les théories allemandes. L’Etat c’est l’ordre de la contrainte centralisée. L’Etat est l’organe de la contraire. L’Etat exerce cette contrainte par le droit. L’Etat, c’est le droit. L’Etat, finalement, est l’ensemble des contraintes, ou c’est l’ordre né de la contrainte. Si l’Etat change les règles, elles restent applicables. Cela bat en brèche la théorie de l’autorégulation. On est dans du réalisme. Kelsen donne

vitrine que l’on veut bien nous présenter, montrent toutes les ambiguïtés de ce projet (qu’il s’agisse des programmes de démobilisation et de réintégration des ex-combattants, de l’économie politique du passage à la paix ou encore des aspirations à la démocratie et à la justice). La nature de l’action à mener dans le pays d’intervention renvoie, de fait, à une très grande diversité de conceptions. Des notions aux sens multiples Les notions de « paix » ou d’« environnement sûr et stable » auxquelles se

destruction. Aussi une philosophe Hanna Arende qui a montré que l’état nazi se caractérise par une sorte d’anarchie au sommet (chevauchement de compétence …) tout n’était pas clair au sommet, Hitler aurai organisé le désordre pour rester le seul garant du destin de l’Allemagne. L’état nazi pour elle était quelque chose d’instable. Elle a écrit pour le procès d’Eichmann (condamnation à mort) qu’il existe en chacun de nous des capacités de devenir un homme épouvantable mais potentiellement tout le monde en

distinction entre le religieux et le politique. - Pour les musulmans, la bible est sacrée, et que Mahomet a confirmé l’ancien testament pour annoncer sa révélation, le Coran s’ajoute à la bible et ne la détruit pas. Mais la constitution de l’Iran, (parlement, président etc.) reconnait un personnage : l’imam, qui est un guide et a le pouvoir si il le veut en vertu de sa haute juridiction de manière politique ou religieuse, de destituer un président de la république. Cette conception du droit révélé

La doctrine insiste surtout sur cette seconde acception : la capacité d’agir hors contrainte, librement selon ses choix, ses propres choix. La distinction est aussi importante car dans la dimension du politique de l’homme libre, pas synonyme de démocratie, les cités grecques n’étaient pas nécessairement des cités démocratiques, cf Sparte, car seils les hommes libres ont la facuolté de décider. Cf notion philo mnt de libeté : le libe arbitre : notion entraine des exclusions, y’a traditionnellement

de droit. Pour Kelsen, le droit est aussi une science normative. Si la règle de droit doit être obéie, c'est parce qu'elle est imposée par l'Etat. La règle juridique se diversifie dans un ordonnancement hiérarchisé. Les normes juridiques s'établissent en une sorte de pyramide à la base de laquelle se trouvent les arrêtés, puis décrets, subordonnés eux-mêmes aux lois édictées par le législateur, lequelles doivent être conformes à la Constitution. La Constitution peut être, pour Kelsen, la norme fondementale