Kindleberger

4. Les solutions mises en œuvre pour sortir de la crise : La mise en place de politiques inadaptés (politique restrictives qui a causé des forts chômages) a entrainé des répercussions mondiales. Selon certaines critiques, tels que celles de C. Kindleberger, les américains seraient la cause de la diffusion de la crise mondiale ou du moins responsable de cette dernière. La crise est devenue durable et mondiale. Notamment en France, où même si les effets étaient décalés, les remèdes politiques ont été

financés par le crédit (qui comportent habituellement une part importante de biens d'équipement importés) sont revus à la baisse. La grande dépression, par exemple, s'est traduite par une baisse de presque 90 pour cent de l'investissement brut (Kindleberger, 1973), et la crise asiatique par une diminution d'environ un tiers de l'investissement brut en Thaïlande et en République de Corée en 1998. Le crédit à la consommation risque aussi de s'en ressentir, ce qui, avec la perte de confiance des

flux finan semble-t-il, commencé à la fin des ciers, du développement de réseaux années 1960 avec les travaux de Hardin mondiaux de communication et de trans [1968] et de Russet et Sullivan [1971]. port. Plus récemment, on note également ceux de Kindleberger [1986], de Men5. Voir le travail de Jacquet, Pisanidez [1992], de Stiglitz [1995] et de Ferry et Strauss-Kahn [2001]. Sandier [1997]. 6. Si l'assemblée des Nations -Unies a 10. Kaul, Grundberg et Stern [1999]. une vocation toute naturelle à coor

trouvera une présentation succincte de cette théorie dans Gilpin (1987) ainsi que dans Kindleberger (1989). C. Deblock et B. Hamel, “ Bretton Woods et l’ordre économique international ” 22 Le problème, et c'est en ce sens que cette théorie est critiquable 20, ce n'est pas tant le fait que seule une grande puissance peut « produire » cette stabilité dans les relations économiques internationales, que Kindleberger et d'autres considèrent comme un bien publie, mais que, pour être stable, tout

En considérant d’abord que si tel n’est pas le cas, et donc si on combine une sorte de stabilité politique avec une instabilité économique, on a là les ferments d’une évolution venant de l’économique et non pas de la sphère politique. Charles Kindleberger, économiste auteur d’un livre sur la crise des années 1930. Il a appliqué cette approche à la monnaie. Il utilise le concept de leadership plutôt que d’hégémonie. Sur le plan économique à l’échelle globale, pour que se constitue un régime qui puisse

Londres, 2009 Asgeir Jonsson, Why Iceland ? McGraw Hill, New York, 2009 Armann Thorvaldsson, Frozen Assets, John Wiley & Sons, Chichester, 2009 Olivier Blanchard & Daniel Cohen, Macroéconomie, 5e édition, Pearson Education, Paris, 2009 Charles Kindleberger, Manias, Panics and Craches, 4e édition John Wiley & Sons, New York, 2000 Paul Krugman & Maurice Obstfeld, International Economics, 4e édition, Addison-Wesley, Reading, USA, 1997

dix dollar achetés, ils ne déposent qu'un dollar. Le taux d'emprunt dépend du taux d'intérêt à court terme ; la pérennité de ce système dépend donc de la différence entre le taux d'appréciation des actions et ce taux d'emprunt. Pour Charles Kindleberger[1], la cause immédiate réside dans le fait que dans les « deux semaines avant la chute du 24 octobre, les prêts de brokers pour les titres "autres" diminuèrent de $ 120 Mns, en grande partie à cause des retraits étrangers »[1]. D'un point de vue

Concise Encyclopedia [2] • (en) Richard Cobden, The working classes and the corn laws • Éric Denécé & Claude Revel, L'autre guerre des États-Unis, Économie : les secrets d'une machine de conquête, Robert Laffont, 2005. • Charles Kindleberger & Peter Lindert, Économie internationale, Economica, 1982. • « Le protectionnisme et ses ennemis », Le Monde diplomatique, mars 2009, p.18-22. Notes et références [modifier] 1. ↑ a, b, c, d, e, f et g Le Monde diplomatique, mars 2009

for his work. By trying to express his aims with rounded-off logical exactness, he can easily become a theorist whose actual work is only a caged-in exposition of conceptions evolved in terms of logic and words. » 7. Bibliographie - Charles P. Kindleberger, « Les Lois Economiques et l’Histoire », Economica, 1992 - Arnold Zellner, « Basic Issues in Econometrics », The University of Chicago Press, 1984 - Ernst R. Berndt, « The Practice of Econometrics, Classic and Contemporary », AddisonWesley Publishind

inappropriés et en rationnant le refinancement d'un système bancaire en faillite. La responsabilité de la FED dans l'aggravation de la première phase de la crise a été mise en cause notamment par M. Friedman, mais aussi par JK. Galbraith et C. Kindleberger. Face à un repli du PIB nominal de 50 % entre 1929 et 1933, et la faillite de 11000 banques, sur un total de 25600 en 1929, la BC est demeurée passive, laissant s'opérer la contraction de la masse monétaire résultant des faillites bancaires et