Kindleberger

multinationale et les bénéfices qu'elle pouvait retirer de son investissement pour comprendre les motivations d'investissement direct à l'étranger. Section 1- S'internationaliser pour bénéficier au mieux d'avantages spécifiques A. Hymer et Kindleberger Dès les années soixante des auteurs ont appréhendé l'internationalisation sur la base d'un constat simple: pour supporter les avantages dont bénéficient les firmes locales ayant une bonne connaissance de leur marché national, les firmes étrangères

aviation « ns sommes face à des concurrents am qui produisent en $, alors que ns avons des couts en euros. A la parité actuelle, ces couts sont 50% plus élevés, ce qui met à mal notre competitivité, malgré tous nos efforts ». ->Critique po ( cf Kindleberger : une monnaie internat est la marque de la suprématie d’un pays) : president Chavez (venezuela) : les variations du $ au gré des priorités de Washington nuisent aux PED et l’utilisation de $ comme monnaie internat est une decision arbitraire et

lorsque l'entreprise n'est plus qu'une bulle d'air dans le tourbillon spéculatif ". Pour en savoir plus : " La finance ", Alternatives Economiques hors-série n° 75, 1er trimestre 2008. Histoire mondiale de la spéculation financière, par Charles Kindleberger, éd. PAU, 1994. " Les crises financières ", par Robert Boyer, Mario Dehove et Dominique Plihon, Rapport du Conseil d'analyse économique, éd. La Documentation française, 2004. Stabilité financière et banques centrales, par André Icard, éd. Economica

données du débat et le rôle des institutions internationales Les institutions ont un but économique précis qui est de produire et de gérer des biens publics globaux. Le terme de BPG vient de la notion de bien public international, qu’on doit à Kindleberger en 1986 dans l’article « International public good » où il explique que le commerce international est un bien public international. Cela a été une sorte de détonateur, beaucoup de biens et services globaux vont alors être traités comme des biens

acheter des titres avec une couverture de seulement 10 %. Le taux d'emprunt dépend du taux d'intérêt à court terme ; la pérennité de ce système dépend donc de la différence entre le taux d'appréciation des actions et ce taux d'emprunt. Pour Charles Kindleberger [1], la cause immédiate réside dans le fait que dans les « deux semaines avant la chute du 24 octobre, les prêts de brokers pour les titres "autres" diminuèrent de $ 120 Mns, en grande partie à cause des retraits étrangers »[1]. D'un point de vue

été suivie d’une nouvelle récession et d’une phase dépressive au début du XXI siècle. Certains n’hésitent pas à parler du 5e cycle Kondratiev. 11 C. Perspective historique des crises Il n’a pas de capitalisme sans crises financières. Charles Kindleberger a retracé sur longue période (du XVII siècle jusqu’à 1987) les grands épisodes qui ont déstabilisé les marchés, ruiner les institutions et redistribuer les richesses, on peut ainsi citer : -La crise des bulbes de tulipe (1634 – 1637) -La crise

monopole partiel enrayant la régulation par les prix. -Elle est marqué par un rôle accru de l’Etat dans l’éco, mais outils de la pol eco ne sont pas assez élaborés (l’admin publique découvre à peine le contrôle des variables macro). -Charles Kindleberger explique la durabilité de la crise par le refus des US d’assumer les responsabilités qui leur reviennent en tant que première puissance. Or c’est ce leadership même qui explique la mondialisation de la crise. Les US auraient dû jouer les régulateurs

acheter des titres avec une couverture de seulement 10 %. Le taux d'emprunt dépend du taux d'intérêt à court terme ; la pérennité de ce système dépend donc de la différence entre le taux d'appréciation des actions et ce taux d'emprunt. Pour Charles Kindleberger, la cause immédiate réside dans le fait que dans les « deux semaines avant la chute du 24 octobre, les prêts de brokers pour les titres "autres" diminuèrent de $ 120 Mns, en grande partie à cause des retraits étrangers »[1]. D'un point de vue technique

taux élevés ce qui a eu pour effet d’accélérer la chute du système bancaire et l’asphyxie de l’économie (début des années 30) o propagation par le biais du commerce international qui se contracte, aggravé par la montée du protectionnisme : selon Kindleberger, le tarif HS de 1930 est à l’origine d’une vague de représailles en chaîne et de la généralisation du protectionnisme (effondrement des deux tiers du commerce mondial entre 1930 et 1933) 2. Concernant les politiques face à la Grande Dépression

ajustable, à cette époque la parité de chaque monnaie s’exprime en or ou en dollars. Cette stabilité du taux de change a contribué au développement rapide des échanges internationaux durant les 30 Glorieuses. On parle de stabilité Hégémonique (Kindleberger), elle montre que cette stabilité du système monétaire est liée à la domination des USA et du dollar à cette époque. La stabilité s’explique aussi par des mouvements de capitaux peu développé et les parités sont aussi commandé par la sphère réelle