Krugman

s i quea r g ua nt ,pa rex empl e,de sbi a i sdel ’ a g r ég a t i on pourc ont e s t e rl ’ a déqua t i ondesc esi nnov a t i onsempiriques à la question posée, il faut attendre la « nouvelle économie internationale » et les premiers articles de Krugman (1979, 1980) pour disposer d’ unmodèl et hé or i quer el a t i v e ments i mpl ee tg énér a l1 qui démontre la possibilité de commerce sans avantage comparatif et donc sans différence de dotations relatives en facteurs de production. 1 Fondé sur

TRADE AND WAGES, Reconsidered by Paul KRUGMAN Prior to Krugman's work, trade theory emphasized trade based on the comparative advantage of countries with very different characteristics, such as a poor country exporting agricultural goods to a rich country in exchange for industrial products. However, in the 20th century, an ever larger share of trade occurred between countries with very similar characteristics, which is difficult to explain by comparative advantage. Each country may specialize

est la base de la concurrence monopolistique. A partir de 1976 grâce à KRUGMAN CANCASTER, DIXIT et STIGLITZ qui ont fait une fonction d’utilité avec différentiation des produits, ils l’appliquent au CI, donc on peut parler de différentiation des produits dans le CI, ce qui signifie qu’on peut parler de concurrence monopoliste dans le CI. Avec le CI, on ne parle que du commerce entre pays. Vers les années 1985 Paul KRUGMAN et HELPMAN montrent qu’il reste un problème que le CI ne peut pas traiter

normes contraignantes, freins administratifs...), encourager les exportations (subventions diverses, incitations fiscales, dévaluation, dumping comme le « protectionnisme offensif ») b) Des avantages du model libéral sont remis en cause par Krugman dans La théorie de la concurrence imparfaite et politique commerciale stratégique, 1987  c) Le paradoxe de West-Graham, 1923 : Ce paradoxe, d’abord énoncé par Graham, montre non seulement que le libre-échange peut défavoriser un pays, mais aussi

L’article exploite le problème de la crise européenne, en présentant tout d’abord les valeurs de la monnaie commune . En effet, l’Europe veut montrer à travers sa monnaie unique un modèle de paix de démocratie et de prospérité commune. Il pourra y avoir d’importants gains éconimique grace à l’augmentation des échanges attendus. Apres 50 ans de guerre acharnée,l’europe est considéré comme un modèle de réussite. Une monnaie commune qui traduit différentes valeurs: ➢ la paix

Modèle KRUGMAN Rappels : Le modèle HOS explique les echanges entre pays a dotations factorielles differentes Grace a l’echange , les quantités produite et consommés des biens augmentent et les prix s’egalisent avec le temps. Le modèle echoue dans l’explication de la plus grande partie des echanges entre pays developpés Donc le modèle Krugman va y remedié. Il se place dans un contexte different, de concurrence imparfaite. Concepts importants : Economie d’echelle : On a affaire a de multionationales

de la même raison. * Il devient professeur d’histoire et d’économie politique Il publie d’autres ouvrages : De la nature et du progrès du revenu (1815), Principes d'économie politique (1820), Définitions en économie politique (1827). PAUL KRUGMAN - économiste américain ne à New-York en 1953 - a enseigné au Massachusetts Institute of Technology, a Stanford University, à l’Université Yale et à la London School of Economics. il est aujourd'hui professeur d’économie et de relations internationales

L'Amérique que nous voulons De Paul Krugman [Avant propos, Chapitre 1,Chapitre 2] Notes préalables : Dans le livre de P. Krugman, il fait a plsrs reprises référence aux libéraux. → terme qui n'englobe pas le même sens qu'en France, aux Etats-Unix les libéraux = élus politique les plus à gauche (les plus favorables a l'Etat providence, dépenses sociales, action réglementaire de l'Etat...) New Deal : Poltique interventionniste de l'Etat ayant pour csqces de réduire les

livre de Krugman Dans cet article du 15 juin 2007, Paul Krugman s’inquiète du lien grandissant entre le commerce mondial et l’accroissement des inégalités –en matière de distribution des revenus- dans les pays riches. Il ne plaide évidemment pas pour une approche protectionniste mais les échanges commerciaux ne sont pas présentés comme une source de prospérité pour tous. Cette thèse est en contradiction avec le chapitre 4 de son livre “la mondialisation n’est pas coupable”, dans lequel Krugman souligne

de Paul Krugman. Pierre-antoine Meens Fiche de lecture « La mondialisation n’est pas coupable – Vertus et limites du libre-échange » de Paul R. Krugman. Plan : Introduction : présentation de l’auteur I/ L’ouvrage II/ La thèse de l’auteur III/ La méthodologie de l’auteur IV/ L’analyse critique Fiche de lecture « La mondialisation n’est pas coupable – Vertus et limites du libre-échange » de Paul R. Krugman. Avant d’entrer dans le vif du