Krugman

de cette crise… maintenant ! 1) Présentation de l’auteur et de son œuvre Il s’agit d’un ouvrage de Paul Krugman initialement publié en 2012 aux Etats-Unis sous la maison d’édition Melrose Road Partners, puis chez Flammarion la même année, en France, dans la collection Champs actuel. Dans la réédition de 2013, l’auteur mentionne avoir fini la rédaction de l’ouvrage en février 2012. Paul Krugman est un économiste américain né en 1953. Il écrit dans une tribune du Nem York Times depuis 1999 et a été

reculait légèrement en Allemagne. Les trois principales économies de la zone euro sont à l’arrêt, et toute la zone euro est menacée désormais par la déflation et une stagnation prolongée (certains économistes comme Michel Aglietta ou encore Paul krugman parlent même de stagnation séculaire). Près de 15 ans après la crise Japonaise et 6 ans après la faillite de Lehman Brother, il est plus que jamais l’heure de constater l’échec des politiques anticrise engagées. Les politiques d’austérités budgétaires

d’un produit. Sa découverte a grandement stimulé les recherches sur le commerce international. Son analyse constitue l’objet des modèles théoriques de l'EIB (Echange intra-Branche) qui ont été faites par Krugman (1979, 1980, 1981), Linder (1961) et Lancaster (1980). 1. Le modèle de P. KRUGMAN : Economiste américain, un keynésien favorable au libéralisme, prix Nobel 2008 et chroniqueur au New York Times. Le fondement de ces réflexions concerne principalement l’effet des rendements croissants

La mondialisation n’est pas coupable, Paul Krugman Introduction : Dans son ouvrage « La mondialisation n'est pas coupable », publié en 1996, Paul Krugman, économiste américain lauréat du prix Nobel d’économie 2008, réfute la thèse - qu'il qualifie de « pop » - soutenue par la majorité des économistes et des politiques selon laquelle les Etats seraient engagés dans une vaste compétition à somme nulle sur les marchés mondiaux, au même titre que des entreprises le sont sur leurs marchés. Ainsi,

vie du produit (Akamatsu 1962, Vernon 1966) II Les nouvelles théories du commerce international 1. Rendements croissants (Krugman) 2. Concurrence imparfaite et commerce international • Concurrence oligopolistique (Cournot 1838, Brander Krugman 1983) • Concurrence monopolistique • Différenciation verticale: approche néo-Chamberlin (Chamberlin 1933, Krugman 1979) • Différenciation horizontale: approche néo-Hotelling (Hotelling 1929, Lancaster 1980, Helpman 1987) III Analyse économique

aussi . 40 20 Les deux grandes branches de la théorie de la concurrence monopolistique Préférence pour la diversité • consommateurs Les aiment consommer un grand nombre de variétés • variétés sont Les équivalentes Chamberlin, DixitStiglitz, Krugman Préférence pour une variété • consommateurs Les « préfèrent » une variété • variétés ne sont Les donc pas équivalentes Hotelling, Lancaster 41 La ville linéaire de Hotelling le principe de différenciation minimale prix A A ’ B ’

téléphones portables), les caractéristiques des biens proposés par les entreprises d’un même secteur sont beaucoup plus hétérogènes. Nous verrons ainsi comment les économies d’échelle © 2012 Pearson France – Economie internationale, 9e édition – Paul Krugman, Maurice Obstfeld, Marc Melitz 168 Partie I – Les théories du commerce international internes et la différenciation des produits se combinent pour générer de nouvelles sources de gains de l’échange. Dans un second temps, nous introduirons

années 90-2000 on va se réintéressé aux districts industriels. Que ce soit de Weber ou Marshall. 2- Les développements contemporains a- Paul Krugman Paul Krugman s’inscrit dans le cadre de cette économie géographique. Son idée est : Comment expliquer la formation d’agglomération (de district) ? Ces nouvelles zones de productions économiques ? Pour Krugman cette logique d’agglomération est au cœur de la dynamique des échanges. Il fait l’hypothèse que nous sommes confrontés dans les domaines d’agglomération

international ont-ils en commun de nombreux déterminants. L’ouvrage fondateur de la théorie classique du commerce international de Bertil Ohlin, publié en 1933, avait pour titre Interregional and International Trade. La « nouvelle économie géographique » (Krugman, 1991) a renouvelé cette tradition. Commerce international et production des multinationales à l’étranger doivent être soigneusement distingués. L’étude des faits stylisés montre que les échanges mondiaux progressent plus vite que la production mondiale

Vocabulaire : délocalisation, IDE, chômage d'inadéquation, FTN, flexibilité, concurrence, compétitivité (prix et hors prix), filliales (ateliers, relais)   Auteurs : List (« protectionnisme éducateur »), Linder et Vernon (demande de différence), Krugman (La mondialisation n'est pas coupable : vertus et limites du libre échange), Smith, Ricardo, HOS, Sauvy (déversement)   Types de plans : Positif/négatif   I – La mondialisation crée du chômage pour les moins qualifiés et rend l'emploi plus flexible