L Activité D Assurance Peut Elle Considêrée Comme Concurrente Ou Complémentaire Des Activités Bancaires

disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d’étudiant, il n’a pas été relu et vérifié par www.Marketing-etudiant.fr . En conséquence croisez vos sources :) RAOUIA ELHAKIMI 1 Hautes Etudes Bancaires Financières et Managériales Mémoire de fin d’études Y a-t-il une différence entre la théorie du CRM et sa pratique ? Stage effectué au sein de : RMA WATANYA Réalisé par : RAOUIA ELHAKIMI Encadré par : Mr ZEROUAL KOUDAMA RAOUIA ELHAKIMI 2

L’essentiel des techniques bancaires Sommaire S ommaire Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1. Les caractéristiques économiques du marché des particuliers et des professionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2. Les enjeux de la relation client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3. Les Soldes Intermédiaires de Gestion de la banque

autorisation de l’Éditeur ou du Centre Français d’Exploitation du Droit de copie, 20, rue des Grands-Augustins, 75006 Paris. © Éditions Groupe Eyrolles, 2008 ISBN : 978-2-212-54115-1 Jean-Marc Béguin Arnaud Bernard L’essentiel des techniques bancaires Sommaire S ommaire Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1. Les caractéristiques économiques du marché des particuliers et des professionnels . . . . . . . . . . . . . .

nom de marque, logo, marque de service ou autre désignation commerciale utilisée pour représenter les Produits de la Société décrits dans l’annexe E. 2. NOMMINATION DU DISTRIBUTEUR 1.1 NOMMINATION La société nomme le Distributeur comme Distributeur exclusif des produits sur le territoire et le Distributeur accepte ce poste. a. Dans la limite autorisée par la loi, la Société (i) ne devra plus nommer aucun autre distributeur ni agent sur le territoire pour les produits mis à

résultat avec un Produit Net Bancaire qui s’accroît de 3,2 %. Le cabinet Fitch Ratings a confirmé en 2012 les notations délivrées à la BMCI, F1+ et AAA, les meilleurs ratings au Maroc, reflétant la gestion dynamique de la BMCI et sa bonne maîtrise des risques, ainsi que sa capacité à se conformer aux standards internationaux. La BMCI a par ailleurs obtenu en 2012 la certification selon le référentiel ISO 9001 version 2008 pour l’ensemble des processus de son activité monétique, ainsi que la reconduction

| |2. |Création des banques islamiques……………………………..........................p11 | |3. |Adoption du système bancaire islamique ………………………………………..p12 | |3.1 | Pakistan………………………………………………………………………………………..p13 | |3

le droit COMM par rapport à ce droit civil est le droit de a richesse qui circule. Le droit COMM est un droit qui est un droit pro. Il s’applique à des contrats qui sont spéciaux adaptés aux opérations de circulation des richesses. Le DC se définit comme le droit applicable aux appli commerciales effectués par les commerçants. Le DC regroupe différents droits (le droit des affaires, des sociétés, le droit des ENT en difficultés, le droit de redressement judiciaire et la liquidation judiciaire, le droit

DROIT DES AFFAIRES INTRODUCTION Qu'est-ce que le droit commercial ? Assez ambigu pour le définir, on peut considérer que c’est l’ensemble des règles de droit privé qui régissent l’activité du commerçant au sens large (banquier, industriel, transporteur). Cependant cette vision est assez étroite, car il existe un monde économique global qui dépasse largement le secteur commercial (artisanat, agriculture, secteur libéral) qui se moque des frontières arbitraires posées par les juristes. La

nombre d’informations plus ou moins personnelles, en tout cas communiquées par les individus eux-mêmes. Ces informations et ces sites représentent autant d’opportunités de contacts qualifiés à exploiter. Aux USA et en Europe, plusieurs banques et assurances ont pris l’initiative d’être présentes sur les réseaux sociaux les plus utilisés tels que Facebook et Twitter, pour capter « le client de demain », utilisateur massif de ces plateformes, surtout dans le contexte actuel caractérisé par une crise

représente une problématique importante pour les entreprises marocaines sous-capitalisées. Vu les limites démontrés par les financements classiques, les PME se tournent de plus en plus vers le capital risque qui est considéré comme un moyen de financement complémentaire et non concurrent au système traditionnel. Cependant, d’origine récente au Maroc, le capital-risque ne dispose pas d’un cadre spécifique incitatif pour son développement. Le capital risque au Maroc s’est récemment développé face aux besoins