L Affirmation De L Absolutisme

représentent une puissance économique très importante. Ces bourgeois ne rendent compte que c’est injuste car ils font briller la France et n’ont aucun droit … Les philosophes des Lumières vont ainsi amener une nouvelle réflexion politique sur cet absolutisme. Diffusion dans les esprits et rénovation intellectuelle : ils décident de renverser le gouvernement par la révolution française. 1789 – 1799 : 10 années de révolution, la période la plus riche pour les historiens. Car pendant cette période sont

notion de souveraineté. Dérive du latin, elle a été dégagée au 16ème siècle après l'apparition de l'Etat. Au 16ème s. Bodin est le premier à essayer de systématiser cette notion de souveraineté pour essayer de justifier le pouvoir royal et son absolutisme. Dans l'ouvrage « les 6 livres de le République » il la définit comme la puissance absolue et perpétuelle de la République sachant qu'il faut entendre République au sens d'Etat. Il entend que le souverain ne connait pas de limites à l'exercice de

le galop d'essai. La quête royale d'une indépendance politique s"'exprime à l'égare des deux puissances dominantes de l'époque, l'empereur et le pape, en ce sens on peut dire que le roi est en quête d'une souveraineté externe/. Paragraphe 1 Affirmation du roi vis a vis de l'empereur Le roi souverain souhaite reconstruire sa souveraineté et en user de la façon al plus complète possible. Cela passe nécessairement par la contestation des revendications universalistes de l'empereur germanique

entamer le processus de gestation et au 16° on entre dans la voie moderne. Cet état va s’affirmer contre deux entités. Une entité supra nationale que sont les empires et une entité infra nationale qu’est l’organisation féodale du pouvoir. Cette affirmation négatrice va contribuer à la construction de la souveraineté et à la construction des deux faces de cette souveraineté, car elle a une face externe et une face interne car un état souverain l’est d’un point de vue externe donc au niveau international

volonté de quitter l’espace de la représentation sans faire l’impasse sur l’acquis de la modernité. 35Pratiques « postmodernes » qui revendiquent la pluridisciplinarité et une forme de relativisme incompatibles avec le dogme moderniste fondé sur un absolutisme de l’art. 36Pour cela ils vont redéployer toute « la mécanique » de la mise en œuvre et déconstruire les codes de représentation et de signification de l’art : véritable critique de la représentation (piège, faux-semblant idéologique) qui agit

L’ANCIENNE FRANCE C’est une monarchie, le gouvernement d’un seul, que nous allons étudier à son époque d’apogée, au temps de l’absolutisme monarchique, sous le règne personnel de Louis XIV ( 1661-1715). Précision de départ : il ne faut pas confondre absolutisme et despotisme. L’absolutisme - même s’il y a contradiction dans les termes - comporte des limites, des règles d’organisation et de fonctionnement des institutions, que le monarque doit respecter. Quant au despotisme, il désigne le gouvernement arbitraire

pouvoir dans la seigneurie visée. §2 – la suzeraineté royale et l contrôle de la hiérarchie féodale La notion de suzeraineté affirmé dès le début du XIIe siècle par l'abbé de saint Denis (sugère) conseillé de Louis VI, la doctrine suggère deux affirmations => le roi est au sommet de la pyramide seigneurial, c'est à lui qu'aboutissent toues les chaînes vassaliques. Il ne doit lui même l'hommage à personne. Cependant cette suzeraineté ne donne au roi un autorité imparfaite, comme tous seigneurs

L’activité législative qui fut intense sous la révolution se caractérise par une  réaction de l’ancien régime et traduisit un esprit individualiste et libéral. Ainsi, la Révolution se montrera implacable contre tout ce qui heurtait l’idée d’égalité : affirmation que le principe de la propriété individuelle est un droit de l’homme prolongeant le droit à la liberté, suppression de la hiérarchie des terres. Proclamation de la liberté des conventions dans le domaine du commerce et de l’industrie. Suppression

l’historiographie anglaise a donc longtemps été déterminée par la perspective « Whig ». L’Angleterre se différenciant des pays européens continentaux car ils ont très rapidement eu une politique libérale, une liberté, contrairement au continent (absolutisme) au sein d’un occident qui a lui-même la suprématie sur le reste du monde. Actuellement, nous assistons à une déconstruction. Cette ancienne manière de concevoir la périodisation (homogène, unitaire), mais pas d’alternatives possible. L’histoire

au-delà de la Révolution française, marqueront durablement l'Europe et le monde. Le XVIIIe siècle (1715-1800) est présenté comme le "Siècle des Lumières", métaphore qui désigne la victoire de la raison (philosophes) sur les ténèbres. C'est une affirmation fondée mais il faut savoir que les superstitions, l'obscurantisme (ignorance, faute de connaissances) règnent encore en maître sur l'ensemble de la population. Les sciences balbutient encore, même si les méthodes expérimentales se mettent progressivement