L Affirmation De La Souveraineté Au Moyen Age

volonté du peuple. Le nouveau roi annonce de ce fait, à son tour, le 18 mai, la mise en place d'une commission ayant pour objectif la rédaction d'un nouveau texte. Cette nouvelle charte sera libérale et prônera le retour à la souveraineté royale, rejetant ainsi la souveraineté nationale de la Constitution mise en place par le gouvernement provisoire. En réalité, comme le montrent ses déclarations de Hamm et de Vérone, Louis 18 souhaite renouer avec l'absolutisme d'avant la Révolution, mais sait qu'il

la démocratie au 18ème siècle (I). Par la suite, il apparaît intéressant d’observer comment ces deux notions se sont mutuellement enrichies pour devenir aujourd’hui presque comme une évidence aux yeux des peuples occidentaux. On nuancera cette affirmation en étudiant le cas de sociétés pour lesquelles la démocratie et la séparation des pouvoirs ne sont pas encore acquises (II). I. Un contexte historique révolutionnaire, source d’un renouveau politique : la cohabitation difficile de deux

est une forme de gouvernement dans lequel le chef de l'Etat n'est pas héréditaire et donc dans laqeulle les pouvoirs sont séparés. La particularité de la république française est qu'elle tient compte des acquis révolutionnaires, notamment de la souveraineté de la nation ainsi que de l'égalité entre les citoyens. Il y a un vas et viens dans des régimes monarchiques ou républicains, on ne pas lequel choisir. C'est le régime républicain qui l'emporte (ceci se passe au cours du XIXème siècle en France)

grecques ne peuvent d’être apparentées à de grands Etats centralisés. Chaque cité dispose de ses propres organes de gouvernements délibératifs, exécutifs et judiciaires. La Grèce antique est constituée par des cités autonomes disposants de la pleine souveraineté. A partir du 4ème s av JC, le roi Philippe de Macédoine et Alexandre Le Grand entreprennent de vaste conquête territoriale. Ils vont porter les frontières du royaume macédonien jusqu’au fleuve l’anus. Avant et après es conquêtes l’Europe ne constitue

particulièrement notre attention pour illustrer les fondements du droit. I) Le droit, un phénomène social Comme l'exprimait les romains « ubi societas ubi jus » ce qui signifie : toute société correspond 0 un droit. Nous observerons la véracité de cette affirmation en raison du lien indissociable qu'il existe entre le droit et la société mais aussi en raison de l'illusion que constitue une société sans droit. A) Le lien indissociable entre droit et société Le droit et la société sont indissociables en ce sens

périodes critiques (que l’auteur oppose aux périodes organiques). Il finit par considérer que tout l’âge métaphysique est une longue période critique. Il n’y a donc que deux périodes organiques. C) La revanche de la société Moyen-âge = âge théologique. Il faut retrouver un âge positiviste. A la base l’individu n’a aucun droits, que des devoirs. L’individu doit être absorbé dans d’humanité et l’universel. Le pouvoir doit être divisé entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Le pouvoir temporel

magistrats professionnels) sont convoqués afin de rendre la justice conformément aux lois, selon celle qui doit s’appliquer. Ce mallus pourrait être rapproché à celui des droits communs aujourd’hui. Quand le mallus a rendu sa décision il n’y a pas de moyen de faire appel de la décision, il est totalement issu de ta tradition franque. Les francs avaient cette façon de rendre la justice afin de rapprocher la justice du peuple. C’est une justice rudimentaire. • le tribunal du Palais : c’est celle du roi

fixer l’étymologie du terme Europe. Partie préliminaire : 2 chapitres : Chapitre 1 : l’Europe : l’évolution d’un mot : Quel est le sens du mot Europe le + lointainement possible ? Quel sens a le mot Europe ? (chez grec, chez romain, au moyen âge). Est-ce que le mot Europe a un sens particulier après l’époque franc ? Le mot Europe n’a pas toujours été d’un usage courant. Parfois dans l’histoire ce terme disparait au profit d’un autre. Section 1 : l’Europe dans l’antiquité (fin en

Genèse et affirmation des régimes totalitaires (5) Introduction : Un régime totalitaire asservit une société à un Etat régnant par l’idéologie et la terreur. Utilisé dans les années 1920 par Mussolini pour caractériser le régime qu’il venait de créer en Italie, le terme « totalitaire » a progressivement englobé de nouveaux types de régimes, nés dans l’entre-deux-guerres : d’abord l’Allemagne nazie, puis l’URSS stalinienne. Pour autant, ces régimes sont-ils comparables dans leur monde d’accession

sociale. * Le gouvernement par le peuple : la souveraineté est exercée directement, personnellement par chaque citoyen. * Etre citoyen est : * Un honneur (il faut être digne, pas d’impiété, pas d’ambition dévorante) * Un devoir (obligations imposées) * Une fonction prenante (donner tous son temps à la cité). On parle d’un métier de citoyen : commander et obéir à la fois, et être un homme politique à plein temps. 5/ Quels sont les moyens pour éviter le pouvoir personnel à Athènes