L Albatros Syllabe

peut voir que le chêne conteste cette fable,avec un terme péjoratif au vers 3 « détestable » et la connotation négative de la répétition au vers 5 « plier, plier toujours. Reprise parodique de la versification. • Alternance de vers de 8 syllabes et de 12 syllabes • Introduction de vocabulaire familier « marmot », jeu de mots entre « plier, plier toujours» et «le pli de 1’humaine nature ». Cette reprise parodique permet à Anouilh, comme à La Fontaine, d’opposer deux conceptions de la vie. 2- Deux

supérieur. Il va voir ce monde dans un éclair, il ne va pas pouvoir y rester. Pour y accéder, il utilise de la drogue. Baudelaire estime que l’échappatoire ultime est la mort. Il va donc souvent essayer de se suicider. Métaphores pour Baudelaire Albatros : Pas à l’aise sur Terre, mais à l’aise en vol Icare : Vole avec ses ailes pour atteindre le soleil, mais se tue en chutant. Il va faire une montée avec la descente (ce que l’on nommera « mouvement ascensionnel ») Rimbaud ne pense pas par contre

vers en comptant le nombre de syllabes qu'il contient. vers < versus en latin = sillon, ligne, vers Mesurer la longueur d'un vers  l'étude de la métrique < métron en grec = mesure 1° / comment déterminer le mètre ?    il faut compter chaque syllabe prononcée un E en fin de mot ne se prononce pas (on l'appelle "E muet", ou "E élidé") - quand il est en fin de vers - quand le mot suivant commence par une voyelle ou un H muet le E en fin de mot compte pour 1 syllabe quand il est suivi d'un mot commençant

« L’albatros » - Les fleurs du Mal – Baudelaire 1- Analysez la composition du poème. Le poème est composé de quatre strophes de quatrain. Chaque vers est composé de douze syllabes, ce sont donc des alexandrins. Les rimes sont des rimes croisées « équipage »  « mers » « voyage » « amers ». Il y a une alternance de rimes féminines et de rimes masculines. Ce sont toutes des rimes pauvres. 2- Etudiez la progression du poème. Sur quel jeu d’opposition repose-t-elle ? Dans le premier quatrain

sonnet Capacités : amener les élèves à réfléchir sur la ressemblance entre le poète et l’albatros Support : L’Albatros de Charles Baudelaire Durée : 1 heure Niveau : tronc commun 15 Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes

| | |CC de but pour s'amuser |Cruauté des hommes, gratuite | |Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, |Présent |Narration, histoire mais le thème met en opposition l'homme et l'animal| |

 y retrace les persécutions que les marins infligent à l’oiseau, pour en faire l’allégorie de la douloureuse condition du poète. Lecture : « Je me propose de vous lire ce poème… » Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches

Tout d’abord, nous pouvons voir que les poètes veulent critiquer la société dans laquelle ils vivent. On peut particulièrement le voir dans le poème « L’albatros » de Charles Baudelaire, datant de 1861, où le poète compare le peuple à des albatros qui sont des sortes de jouets pour les membres de l’équipage, qui eux sont les bourgeois. Il montre bien que le l’empereur ne s’intéresse pas à son peuple. Dans le poème de Victor Hugo « Les Châtiments » de 1853, on peut voir que l’empereur est considéré

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’L’albatros’’ sonnet de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches

pauvres, insuffisantes et quelconques, et ne se permettant d’ailleurs rien - sauf la paresse, l’inattention prouvant radicalement une incurable indélicatesse d’oreille, par exemple ces tas d’alexandrins qui sans raison, par ci par là, n’ont que onze syllabes. L’assonance imprévue ne lui est pas invite à musique exotique, mais tremplin à coq-à-l’âne. Il n’est pas artiste, mais on pardonne tout devant des plaintes parfaites et immortelles comme : Le poète contumace. Tout passé au crible ! On peut