L Albatros Syllabe

constate qu’il est aussi question de l’esprit dans chacun de ces poème. Voici la liste des poèmes : L’Albatros La Muse Malade Spleen : Quand le ciel bas et lourd Tout Entière L’Albatros Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes

pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! L’albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes

sublimes, de l’Idéal. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- “L'albatros” Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement

la tristesse est plus précise : nostalgie du passé, inquiétude de se sentir emporté, sans pouvoir réagir par "un vent mauvais". Le rythme traduit ce sentiment complexe fait d'angoisse et d'abandon, par le jeu délicat des vers de trois et quatre syllabes. Ces mètres courts donnent à la rime qui revient à intervalles réguliers, des résonances particulièrement suggestives. Le deuxième poème, 《Elle était déchaussée》, est un poème romantique prônant de privilégier l'expression des sentiments et des sensations

ou la thématique d'un poème et sa construction technique, son rythme, les champs lexicaux, les effets créés par association de mots et d'idées. Par exemple: L'albatros de Baudelaire Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes

premier mouvement. Elle fait donc référence au contraste qu'il y a entre la société et les poètes, les artistes en général. Baudelaire exprime dans ce texte sa propre condition d'auteur, se remémorant le traitement que les Hommes font subir aux Albatros sur leur navire, mais qui se réfère directement au monde artistique. Ce rejet que la société emploie envers les personnes qui se démarquent du lot. Tout d'abord, il y a les deux espaces confrontés : le ciel, espace de l'albatros, et le pont du

les cieux le matin prennent un libre essor, - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes! Charles Baudelaire L'albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes

de Marie évoquée par la beauté du paysage, la synesthésie des sens, l’attirance charnelle qu’elle évoque chez l’auteur mais aussi dans l’invitation exprimée tel un bercement. A travers le mouvement onduleux du poème alternant heptasyllabe et pita syllabe tels les rythmes sémillants des « Djinns » hugolien, le poète, charmeur de serpent cherche à séduire le lecteur. Typique du voyage baudelairien, le poème prend forme dans l’évocation et la rêverie. L’étude des verbes révèle que le pays évoqué est

poème L’antithèse (l’opposition) : v. 6, v. 9, v. 10 La comparaison : v. 8, v. 13 La métaphore filée : v. 13 à v. 16 Le parallélisme : v. 2, v. 3, v. 6, 3e strophe C- La versification Le compte des syllabes (césures et hémistiches) : les vers se composent tous de douze syllabes. L’hémistiche est assez régulier, sauf au vers 11, 13 et 14. Les rimes : il y a alternance régulière de rimes féminines et masculines, sauf pour le dernier quatrain où la rime unique est masculine. Les rimes

française. Il condamne les images recherchées, le symbolisme complexe, les recherches lexicales. *La poésie s’adresse au gens de la cour d’où la nécessité de l’usage courant de la langue. réglé* par une versification rigoureuse. Arrangeur de syllabe. XVIIième siècle Théophile de Viau Ne soucie nullement des poètes antiques/contemporains. Veut écrire librement. Dans la solitude, loin des autres mais proche de la nature. Voiture XIXème siècle Lamartine : Auteur des Méditations