L Ambition Vice Ou Vertu

et représentation. ------------------------------------------------- Dom Juan de Molière ------------------------------------------------- Acte I, Scène 1 INTRODUCTION : « Tous les vices à la mode passent pour vertus », tel est le bilan de Molière, écrivain classique du XVIIème siècle, suite à l’écriture de cette pièce de théâtre Dom Juan. Dans cette œuvre, Molière cherche à châtier les mœurs de son époque à travers la comédie, et le personnage libertin de Dom

d'autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c'est tout ce qui me reste de ma vertu ? Songes-tu que je glisse depuis deux ans sur un mur taillé à pic, et que ce meurtre est le seul brin d'herbe où j'aie pu cramponner mes ongles ? Crois-tu donc que je n'aie plus d'orgueil, parce que je n'ai plus de honte ? et veux-tu que je laisse mourir en silence l'énigme de ma vie ? Oui, cela est certain, si je pouvais revenir à la vertu, si mon apprentissage du vice pouvait s'évanouir, j'épargnerais peut-être ce conducteur de

de sa paternité, il comprend qu’il ne doit plus rien attendre de ses filles, il reconnaît sa faute : gaieté, pas préparé dans le monde aristocratique, importance de l’argent et non des vertus Accuse ses filles d’insensibilité, il a donné trop de liberté Il souffre un cruel martyres. Mes filles, c’était mon vice à moi : elles étaient mes maîtresses La société, le monde roulent sur la paternité, tout croule si les enfants n’aiment pas leurs pères. Je leur ai donné ma vie, elles ne me donneront

comme dans la première partie de l'ouvrage où Balzac nous décrit le caissier parfait, et l'injustice dont est victime la société en ignorant la vertu du caissier couronnant le vice du banquier. Cependant à la fin il nous casse toute sa description en disant qu'un être humain normal est toujours attiré par l’appât du gain et il aura toujours des ambitions plus grande que s'il était rester dans une petite case bien rangé de la société. La clef de cette injustice se résume en un mot: l'argent. Balzac

l'accès de l'abbaye aux «hypocrites, bigots, cagots », gens de justice et usuriers (ch. LII). Sont admis les nobles chevaliers, les dames de haut parage et les chrétiens évangéliques. Première utopie du patrimoine littéraire français, elle révèle les ambitions d'une éducation humaniste et le souhait de concilier le christianisme (révélé par ses textes originaux) et l'épanouissement total de la nature humaine, selon une vision épicurienne. Rabelais règle aussi ses comptes avec la règle rigide du couvent

petite. Deux grands yeux languissants, cela ne trompe pas. Quoi de plus curieux pour le connaisseur que la débauche à la mamelle ? Voir dans une enfant de quinze ans la rouée à venir ; étudier, ensemencer, infiltrer paternellement le filon mystérieux du vice dans un conseil d'ami, dans une caresse au menton ; tout dire et ne rien dire, selon le caractère des parents ; – habituer doucement l'imagination qui se développe à donner des corps à ses fantômes, à toucher ce qui l'effraye, à mépriser ce qui la

emplissent notre existence." Balzac, auteur du XIX e siècle, est le père d'une œuvre immense qui s'est donné pour ambition de reproduire l'ensemble de la société française de son temps. Il va pour cela s'attacher à proposer une série de personnages dont certains récurrents, qui vont nous permettre, comme un album photo, de fixer des clichés des divers strates sociales et de ses ambitions.  Mais, pouvons nous dire que ce qu'il peint n'est que le réel, ou au contraire, force-t-il le trait pour que

son expérience peut l’aider à réussir dans sa vie. II) Vautrin développe alors une image assez négative et en même temps assez cynique de la société et des moyens d’y réussir. A) La société est un univers immoral, dénué de valeurs et de toute vertu. - En effet, c’est le désir d’argent qui selon Vautrin guide les hommes et détermine leurs relations : => champs lexical de l’argent fourni (sommes précises) -> vision de Vautrin d’une obsession de la société de l’argent. => tous les groupes

emplissent notre existence." Balzac, auteur du XIX e siècle, est le père d'une œuvre immense qui s'est donné pour ambition de reproduire l'ensemble de la société française de son temps. Il va pour cela s'attacher à proposer une série de personnages dont certains récurrents, qui vont nous permettre, comme un album photo, de fixer des clichés des divers strates sociales et de ses ambitions. Mais, pouvons nous dire que ce qu'il peint n'est que le réel, ou au contraire, force-t-il le trait pour que

perdu toute la complicité qu’il avait avec Figaro. On le voit comme l’héritier de Dom Juan et il affronte un valet qui lui résiste plus efficacement que Sganarelle. Figaro l’emporte par l’esprit, la vertu et la passion sur un maître qui s’appuie sur la justice pour le faire taire. Cela témoigne d’une ambition sociale et d’une conscience de soi très modernes. Le caractère de Figaro gagne en profondeur dans cette deuxième pièce, où il devient le cœur de l’intrigue, sachant user du langage, malgré quelques